3. Retour de stage, 3.1 Observation d’une séance de français 3.2 la relation entre l’enseignant et les élèves

  1. Retour du stage

J’ai fait mon stage à l’école maternelle Pierre Gringoire à Hérouville saint claire. J’étais dans une classe de 20 élèves dans la section des grands (des enfants entre 5-6 ans). Beaucoup d’enfants avaient une origine étrangère. Mon stage a duré deux semaines. Pour moi c’était quelque chose de spécial et nouveau. Aux Pays-Bas nous n’avons pas d’école maternelle. Comme moi j’ai l’habitude de travailler avec des enfants de onze ans ou plus, c’est difficile de comparer mon expérience avec mes élèves aux Pays-Bas …

Malgré tout, j’ai eu une bonne expérience à mon stage. J’ai travaillé avec les enfants sur plein de choses. On a travaillé à écrire les lettres, capitales et minuscules, compter jusqu’à vingt, exprimer notre émotion. Je devais surveiller dehors des fois et à la fin j’ai fait une présentation sur mon pays.

Maintenant je vous presente les choses que j’ai observées.

 

3.1

Pour commencer, avant d’avoir une relation avec les élèves et l’enseignant j’ai fait une observation des supports qui sont utilisés. J’ai choisi de commencer avec ça afin que ça me donne une vue plus objective.

Les livres qui sont utilisés ont de grandes illustrations. Il y a une histoire mais les enfants qui utilisent les livres n’arrivent pas encore à lire. Un des livres lu par l’enseignant s’appelle Boucle d’ourse. C’est  l’histoire d’une ourse qui veut se déguiser en fille pour le carnaval, mais papa ours n’est pas d’accord. Je pense que le message que ce livre envoie est bien, mais que cela peut causer des problèmes avec les parents.

Il y a des puzzles et d’autres jeux pour apprendre l’alphabet et apprendre à compter qui sont bien pour les enfants de cet âge. Les tables, les appareils dans la salle de gym, les petits vélos dans l’école, tout ça a l’air d’être sans problème.

Après avoir discuté avec les profs, j’apprends que tout cela c’est bien fait, mais qu’ils ne peuvent pas demander des choses. Il y avait un jeu pour apprendre à reconstruire des situations avec des enfants où il avait besoin de jetons. Apparemment c’etait trop demander alors la prof a demandé aux enfants de ramener des bouchons de couleurs différentes.  » Si tu veux faire quelque chose de spécial, il faut le régler toi-même ».

Comment la maitresse parle aux enfants me plait beaucoup. Quand elle corrige un enfant elle le dit d’une façon: ‘’les enfants qui font cela, ce n’est pas bien.’’ De le dire de cette façon donne à l’enfant l’opportunité de changer sans que ce soit trop personnel. Elle n’utilise que des mots que les enfants comprennent et elle n’est pas vulgaire.

J’ai vu deux autres profs, dans une classe de CP et de CM1, et là c’était une autre histoire… Je trouvais que les professeurs étaient trop directs avec les élèves et qu’elles étaient parfois juste impolies.

La prof que j’ai observée pendant deux semaines était très forte pour connaitre les différences entre les élèves. Quand je lui racontais une histoire sur un élève elle savait tout de suite ce dont je parlais et avant qu’un cours commence elle me disait quels élèves avaient besoin de plus d’aide que les autres et les élèves qui savaient se débrouiller seuls.

 

3.2

J’ai remarqué que la relation entre la prof que j’ observe et les élèves est comme il faut. Les élèves l’écoutent et ils osent dire ce qu’ils pensent. Quand un eleve dit une phrase avec une erreur, la maitresse le repete d’une bonne façon et fait répéter l’eleve. Les élèves l’appellent ‘la maitresse’  mais ils connaissent tous son nom.

Dans la classe de CP et CM1 j’ai vu des grandes différences. Les élèves osent beaucoup moins. Dans la classe de CM1 j’ai aidé les élèves. J’ai surtout eu la question de savoir s’ils avaient bien écrit le mot. Neuf fois sur dix c’était bien. Je pense que ces élèves sont très forts mais ils manquent de confiance en eux. Quand j’entends comment la maitresse leur parle, je me demande pourquoi…

Quand je discute avec l’enseignante de la section des grands, j’entends qu’elle choisit d’abord les enfants, après le programme. Je l’ai même entendue dire que le programme change beaucoup de fois, la raison pour cela c’est parce que chaque année elle a d’autres  élèves et elle adapte le programme pour eux.

Discutant pendant la grande recré avec les autres profs il y a une chose qui m’a choqué. Les profs en France n’ont pas le choix de la classe où ils veulent enseigner. Pour moi cela me semble très bizarre. Enseigner à des enfants qui ont deux ou trois ans et à des enfants qui ont onze ans, c’est une grande différence. Ça m’a l’air logique d’enseigner dans les classes que tu preferes enseigner.

Observation d’une séance de français

Pendant mon stage à Caen, j’ai observé une séance de français dans laquelle il s’agissait d’une séance de lecture. Pendant ce cours, les élèves ont commencé à travailler avec un nouveau livre: « Joker » par Susie Morgenstern.

Les supports utilisés

Pendant le cours, les supports suivants sont utilisés. On a donc utilisé le livre « Joker » par Susie Morgenstern. Tous les élèves disposaient d’un exemplaire. Le professeur avait aussi préparé plusieurs fiches pour guider les élèves pendant la lecture et  les aider à comprendre mieux ce qui se passait dans l’histoire. Pendant la séance observée, on a utilisé la fiche 0 et 1. Sur la fiche 0, les élèves devaient compléter quelques informations générales concernant le livre. Sur la fiche 1, les élèves devaient répondre à quelques questions de contenu, après avoir lu quelques pages.

   

   

L’organisation de la séance

D’abord le professeur a commencé par expliquer que les élèves devraient être très prudents avec les livres parce ce  n’étaient pas ceux de l’école : les livres étaient empruntés à une autre école. Le professeur a commencé par ça parce qu’il trouvait important que les élèves apprennent à être respectueux avec leur matériel. Après avoir dit ça, il a distribué les livres. Quand tous les élèves ont reçu un livre, ils ont du regarder la couverture du livre. Ils devaient commencer par faire des hypothèses concernant l’histoire, ils devaient donc dire ce qu’ils pensaient qu’il allait se passer avant de lire le livre. Les réponses des élèves étaient très diverses et le professeur les écoutait tous. Après, ils ont parlé de l’information qui se trouvait à l’arrière du livre, y compris l’auteur et la maison d’édition. Puis, ils devaient lire le texte à l’arrière du livre et on a discuté de manière collective de ce que les élèves avaient compris. Ils ont aussi formulé une hypothèse commune concernant le Joker: qui est-ce qui peut être le Joker? En formulant cette hypothèse, ils ont en même temps inventé une histoire autour du Joker. Après avoir fait ça, il était le temps de vérifier les hypothèses. Les élèves ont reçu la fiche 0 et ils devaient la remplir au crayon. Sur cette fiche, ils devaient remplir quelques informations générales concernant le livre et à la fin ils devaient remplir une auto-évaluation courte. Après le travail avec la fiche 0, les élèves devaient commencer avec le vrai travail: lire le livre. Le professeur leur donnait la tâche de lire quelques pages en silence (donc individuellement). Quand ils étaient prêts ils devaient lire cette partie une deuxième fois. Puis ils lisaient ces pages de manière collective: il y avait alternativement un élève qui devait lire à haute voix. Ensuite le professeur posait quelques questions sur le contenu de la partie lue. Les élèves devaient répondre à ces questions, après quoi le professeur résumait ce qu’on avait déjà découvert dans le livre. Comme ça les élèves avaient un résumé très clair des informations recueillies, donc aussi les élèves un peu plus faibles pouvaient suivre l’histoire. Après avoir lu la première partie, les élèves recevaient la deuxième fiche: fiche 1. On a d’abord parcouru cette fiche de manière collective et les élèves devaient la remplir individuellement.

Eléments qui m’ont surprise

Les élèves lisent le livre entier dans la classe, et je trouve ça un peu étrange. Quand je devais lire des livres dans le passé, je devais les lire à la maison. Notre professeur nous disait toujours quels chapitres nous devions lire à quelle date. A cette date, il y avait un contrôle pour tout le monde. Parfois on nous disait aussi de supprimer quelques chapitres, mais on ne fait pas ça ici. Tout le livre allait être lu et repris de manière collective et à l’aide des fiches.

Retour de stage

Mon stage a eu lieu dans l’école élémentaire Jean Moulin à Caen dans une classe de CM2. J’ai donné plusieurs cours moi-même et j’ai aussi pu observer beaucoup dans ces deux semaines. Pendant l’observation j’ai d’abord regardé quelques aspects liés à la relation entre l’enseignant et les élèves. Après j’ai observé la différentiation par le professeur dans cette classe. Ensuite j’ai observé une séance entière de français.

Pour commencer j’ai donc observé la relation entre l’enseignant et les élèves. Au début de mon stage je trouvais que les élèves et l’enseignant étaient tous les deux alternativement au centre, mais que ça dépendait de la situation. Après avoir observé la classe et avoir discuté plusieurs jours avec le professeur, j’ai complètement changé d’avis. J’ai vu que les élèves étaient toujours au centre, parce que le professeur faisait tout en fonction d’eux. Il adaptait tout son matériel et posait ses questions de telle sorte qu’il stimulait les élèves à entrer dans l’apprentissage. Les élèves semblaient aussi fascinés et captivés à cause de son approche. Comme j’ai déjà mentionné, j’ai parlé beaucoup avec le professeur pendant ces deux semaines. J’ai vu qu’il pouvait toujours expliquer ses approches et pourquoi il faisait les choses de cette manière. Je trouve ça un aspect très important, parce que ça montre qu’il ne fait pas n’importe quoi. Il réfléchissait toujours sur ces méthodes pour faire apprendre les élèves. Je trouvais aussi positif qu’il changeait beaucoup ses méthodes, comme ça les cours n’étaient pas unilatéraux et les élèves pouvaient se concentrer plus longtemps sur les sujets. Un autre aspect qui montre que les élèves étaient toujours au centre, est que le professeur les écoutait et parlait avec eux si nécessaire. Il les guidait quand il voyait qu’il s’agissait d’une situation sérieuse. Il évaluait donc très vite s’il devait vraiment les écouter (parce que c’était une situation sérieuse) ou si les élèves voulaient juste parler de quelque chose de moins important. Les places des élèves dans la classe étaient aussi choisies intentionnellement par le professeur. Il a mis les élèves plus forts ensemble à l’arrière de la classe, comme ça leur niveau pouvait continuer à augmenter à cause de l’influence des autres. Il y avait aussi des élèves qui devaient apprendre à travailler individuellement, donc le professeur les a mis séparément pour qu’ils ne puissent pas demander d’aide aux autres élèves. Il a aussi mis les élèves avec des difficultés d’apprentissage au premier rang de la classe, comme ça ils pouvaient bien voir le tableau et il était plus facile pour eux de poser des questions. Le professeur pouvait aussi garder à l’œil s’ils avaient tout compris. Je trouve que c’est très positif qu’il a pensé à toutes ces choses à l’avance, ça montre vraiment qu’il veut tout faire pour aider les élèves.

Après, j’ai regardé l’autorité du professeur dans la classe. C’était un homme confiant, grand et avec une barbe longue. Il se tenait toujours très debout et il parlait fort, donc il transmettait toujours une autorité standard. Il  disait aux élèves quand ils faisaient quelque chose très bien, mais il était aussi très honnête quand ils faisaient quelque chose de mal. Quand c’était le cas, il disait tout simplement ‘non’ ou ‘pas du tout’ et je trouvais que c’est parfois un peu démotivant pour les élèves. A mon avis, il devait travailler à être un peu plus encourageant de temps en temps. En général le professeur avait une manière spéciale d‘interagir avec les élèves. Ils avaient une bonne relation, et ça faisait qu’il y avait de place pour des blagues et de l’humour. Le professeur était très honnête avec les élèves et il les avertissait avant de se fâcher. Il ne traitait pas les élèves comme des petits enfants , et ça faisait qu’ils étaient sous l’impression qu’il attendait  beaucoup des élèves. A mon avis, c’était aussi la raison pour laquelle les élèves se comportaient de façon moins immatures dans la classe que pendant la récréation. Bref, je trouve que le professeur forçait le respect sans que les élèves aient peur de lui.

Quand je compare la relation entre le professeur et les élèves, et les méthodes du professeur avec celles du système éducatif en Belgique, je peux tirer quelques conclusions. Le professeur avait son propre style de donner cours, et je trouve ça très positif. A mon avis, tout le monde doit trouver son propre style après avoir fait la formation pour devenir professeur. En Belgique on suppose que c’est toujours le cas, parce que tout le monde doit trouver le style qui marche pour lui dans la classe. Je trouve que c’est très bien que les professeurs aient aussi cette liberté en France. En fait, pour moi c’est un peu difficile de comparer ce domaine avec celui de Belgique parce que normalement je ne donne pas cours à l’école primaire. Outre ce fait, je peux retrouver plusieurs points communs. Par exemple les professeurs intègrent aussi plusieurs méthodes de travail et l’alternance d’assez de matériel est aussi important. La seule chose que je trouve différente, est qu’en Belgique on fait plus de travail en groupes et en coins. Pendant mon stage à Caen, j’ai vu plus de travail de manière collective ou par paire. Je pense que l’autorité du professeur est approximativement la même qu’en Belgique, je pense que c’est parce que nous avons environ les mêmes standards. Le professeur avec lequel j’ai travaillé était le seul de l’école qui travaillait beaucoup avec un tableau interactif. Il intégrait donc des TIC dans ces cours, mais en Belgique on fait ça plus qu’en France. Nous apprenons aussi à l’école comment intégrer les TIC plus dans la classe.

Pour finir, j’ai aussi observé la différenciation par le professeur pendant mon stage. Il trouvait cet aspect très important parce qu’il voulait que tous les élèves puissent évoluer à leur propre niveau. Il essayait toujours de différencier autant que possible, et c’est aussi arrivé plusieurs fois qu’il devait improviser sur place pour pouvoir le faire. Un exemple de cette différenciation est le placement des élèves dans la classe, comme j’ai déjà expliqué. Le professeur y a réfléchi beaucoup en avance, pour donner à  tous les élèves des chances optimales pour apprendre. Par exemple, les élèves forts étaient placés ensemble. Comme ça ils pouvaient atteindre un niveau plus haut ensemble. Il y avait parfois une atmosphère compétitive, qui stimulait les élèves à travailler mieux. Tout le monde dans la classe pouvait aussi travailler à son propre niveau et à son propre rythme. Dans la classe, il y avait un élève autiste. Elle était placée à l’avant de la classe et il y avait un professeur de plus qui venait pour l’aider et lui faciliter l’apprentissage. L’élève recevait donc une éducation sur mesure. Le professeur comptait toujours sur les réponses des élèves plus forts pour y parvenir aussi progressivement avec les élèves moins forts. Il les apportait avec lui dans son histoire et ils parvenaient ensemble au résultat en se basant sur le travail des élèves plus forts. De cette manière il pouvait aussi économiser un peu de temps et l’utiliser pour par exemple faire des exercices supplémentaires avec les élèves qui en avaient besoin.

Les frontières de nos relations a l’école.

La profession d’un enseignant est difficile. Chaque fois il faut chercher des approche  à l’élève. Il est insuffisamment de savoir sa note moyenne. Il faut prendre en considération son caractère, origine, religion, famille, humeur, physiologie, intérêts; jour de la semaine, temps d’année, etc… Parfois le professeur peut être incorrect, car il ne connait bien un élève. Parfois il peut influencer positivement à lui, car il le sait des pieds à la tête.

On dit que l’école c’est deuxième maison, et la maîtresse est la deuxième mère. ?’est très raisonnablement. Les enfants fréquentent l’école 5 fois par la semaine, dès matin jusqu’au soir, ils y passent plus qu’une moitié du jour. La socialisation des enfants se passe ici. Ils apprennent lire, écrire, s’exprimer bien avec leurs camarades. La première chose que les professeurs suivent traditionnellement en Russie après qu’ils obtiennent une classe c’est organisation d’  »Une séance des parents ». On fait ça pour prendre connaissance  à eux et leurs enfants, élaborer une stratégie du travail et d’éducation. Les parents disent ce que leurs enfants ont raté et où Ils ont réussis. Le problème aussi est ce que maîtresse est seule tandis qu’elle a 25 élèves qui ont les meurs différents, même que des niveaux de la formation, mais il faut éduquer chacun.

Les élèves savent faire des bêtises, mais ils sont sensibles aux demandes de la maîtresse, en plus, ils son capables d’accepter la critique et se changer. J’ai trouvé que le professeur doit être exigeant mais équitable, toujours prêt d’aller au secours. Le professeur est une personne qui sait donner non seulement des consignes, mais aussi des conseils.

Pendant mon stage à l’école française « Les Vikings », j’ai remarqué beaucoup de méthodes uniques de madame Maurice. Au début, il est nécessaire à dire qu’elle est une maîtresse respectée. Il a une bonne réputation parmi les élèves et les autres professeurs.

D’habitude, le mardi on avait des cours supplémentaires où les élèves qui sont en retard font les exercices. Le rôle de la maîtresse est expliquer les règles a nouveau. Elle fessait ça trop gentille. Je voudrais appeler l’atmosphère comme ça, une atmosphère amicale.

Encore une chose qui m’a attiré, c’était la différentiation des méthodes relativement des ages des élèves. Par exemple, le professeur de CE1 pouvais expliquer n’importe quelle chose très simplement et dans une forme très intéressant et très accessible, ce que lui permettait de concentrer l’attention des enfants. Puis, quand on passe au CM1 ou CM2 le professeur devient un peu plus exigeant. Il se communique avec des élèves comme s’ils soient des adultes aussi, cependant les situations divers arrivent.

Je peux conclure que descriptions des relations entre l’enseignant et les élèves peuvent varier, mais ce qui est le plus important c’est être un professeur affectif, mais exigent. Sans gentillesse et compréhension il n’y aura pas du progrès de la socialisation, sans exigence il n’y aura pas du progrès d’éducation et de la formation.

Des relations entre l’enseignant et les élèves

Dans la majorité des cas, l’enfant admire son maître ou sa maîtresse. Le petit enfant a peu d’expérience de la vie et il se sent en sécurité avec son enseignant. L’enseignant de maternelle est un guide, un médiateur pour les enfants. Il éduque les sens, enseigne le travail en équipe. Il occupe donc une place centrale dans les apprentissages. Le début de la scolarisation est une expérience décisive.

Je pense que des relations entre l’enseignant et les élèves doivent se fonder sur des plusieurs caractéristiques :

La première caractéristique est une subordination. La subordination est avant tout la discipline et le respect des adultes. Sans subordination, il y a des cas comme des violations de discipline ou des quelques règles en général. La subordination dans notre vie et le contrôle de la discipline et de la distance.

La deuxième caractéristique est une compréhension mutuelle. Le problème de la compréhension mutuelle entre l’enseignant et l’élève est actuellement aujourd’hui, car de nos jours il n’y a presque pas de lieu entre les générations. Le principal but pour l’élève et l’enseignant et de chercher à comprendre, parce que c’est vraiment important pour les activités d’apprentissage réussies.

Et la troisième caractéristique est interaction amicale. C’est soutenir la plupart du temps état sans conflit comme entre les élèves et aussi bien entre les élèves et les enseignants. Y compris le respect par les enseignants et par les élèves.

Quand j’étais à l’école pendant mon stage pédagogique j’ai remarqué toutes ces caractéristiques. Des relations entre les élèves et la maitresse étaient chaleureuses et amicaux. Les enfants ont l’écouté avec intérêt. C’est m’a plu beaucoup de voir ces relations, de voir l’ambiance conviviale dans la salle de classe.

Observation d’une séance de français

Quand j’ai été au stage pédagogique j’ai eu beaucoup des séances, parmi eux il était la séance de français. Cette séance a impliqué l’orthographe, la lecture, la littérature, l’écriture et la grammaire. La maîtresse a répété avec les enfants quelques règles au début du cours, et après ils ont fait des exercices.

Nous avons eu la dictée de mots. Mais comme dans la groupe les enfants avaient l’âge différents, la maîtresse disait des mots plus simples pour les enfants de six ans.  C’est la chose qui m’a surpris, parce que en Russie il n’y a pas de différence dans le travail en classe parmi les enfants de l’âge différents.

Les enfants lisaient des certaines prépositions du texte à son tour et la maîtresse a corrigé s’ils faisaient des fautes. Les exercices et les textes ont été prélevés du manuel qui s’appelle « Apprendre lire avec plaisir ».

Pour corriger l’orthographe d’enfants la maîtresse a utilisé les exercices sur les feuilles où les enfants devaient remplir les mots ou les lettres manquants. Et puis ils ont vérifié ensemble.

Encore la maîtresse a utilisé des livres différents pour lire l’histoire à la fin du cours. Principalement ils étaient les racontes, par exemples, « la Cendrillon » ou « La blanche-neige ».

Pendant les cours français les enfants ont utilisé des petits dictionnaires qui s’appellent « Le Larousse des tout-petits » pour des verbes, pour des adjectifs, pour les noms. L’auteur de ces dictionnaires Agnès Rosenstiehl.

Je pense que ces cours de français sont très utiles pour moi, parce que j’ai pris l’expérience pédagogique pour ma spécialité. Je peux utiliser des certains supports pour mon stage et pour mon travaille en Russie à l’avenir.

 

Mon stage pédagogique

Ici, à Caen, j’ai fait le stage pédagogique à l’école maternelle qui s’appelle « Ecole maladrerie ». J’ai eu le groupe d’enfants de 6-7 ans. J’ai observé les cours et j’ai passé deux cours.

Au premier cours J’ai raconté de mon pays, de la Russie, de sa culture, de sa langue. J’ai montré des vidéos de la capitale Moscou et de ma ville natale – Saint-Pétersbourg – la capitale culturelle de la Russie. Et au deuxième cours j’ai raconté de dessins animés russes. Nous avons regardé deux épisodes de dessin animé russe très populaire qui s’appelle « Masha et L’ours » ou « Masha et Mishka ». Nous avons regardé ce dessin animé à la langue française. Les enfants ont l’aimé beaucoup. Et ensuite j’ai leur proposé de dessiner leurs personnages préférés de dessins animés. Et puis les enfants ont expliqué de leur choix : le personnage préféré c’est qui et pourquoi ils l’aiment. C’est vraiment intéressant. Et à la fin de nos cours les enfants ont me donné ses dessins.

A ce stage pédagogique je me suis intéressé le système d’enseignement parce que il y a une grande différence entre le système d’enseignement en Russie et en France.

La première chose que j’ai remarqué c’est les horaires de cours. Les enfants en France vont à l’école vers 8 :45 et après à midi ils reviennent à la maison pour manger, ensuite ils vont à l’école de nouveau vers 13 :45 jusqu’à 16 :30.

La deuxième chose c’est la réunion d’orientation avec des enfants avant les cours pour annoncer des nouvelles ou, par exemple, répéter des règles.

Et la troisième chose c’est le travaille avec des tables, avec des ordinateurs, avec des rétroprojecteurs. Il y a beaucoup de technique pour les petits enfants. Ils utilisent beaucoup de programmes avec des joies qui conçus pour l’entraînement de la mémoire visuelle. Par exemple la joie sur l’ordinateur avec des images différentes. C’est la méthode de découverte des images par association.

Je suis vraiment heureuse que j’ai fait ce stage pédagogique, parce que c’est l’expérience inappréciable pour ma spécialité, et surtout pour mon niveau de la langue française.

La relation entre l’enseignant et les élèves

Pendant mon stage pédagogique à l’école française j’ai regardé les relations entre l’enseignant et les élèves. C’était très intéressant pour moi en tant que futur enseignant. Dans cet article je voudrais décrire ces relations, un comportement et des actions de l’enseignant.

Avant tout, il m’a plu beaucoup que l’enseignant a donné les cours avec intérêt. Il a toujours essayé d’attirer l’attention des élèves.

Il a changé souvent les types de travail pour les enfant. Par exemple, ils conjuguent les verbes pendant 15 min. puis, ils lisent le texte pendant 20 min. , puis, ils peignent ( pour développer la motricité ). Ainsi, l’enseignant donne aux enfants la possibilité de se reposer un peu, mais ils continuent à travailler.

Il m’a plu aussi que l’enseignant a permis aux enfants de s’asseoir sur sa chaise. Je crios que cette méthode implique l’égalité entre l’enseignant et les élèves.

Il m’a plu aussi que l’enseignant a organisé les débats philosophiques pour les élèves. Ils ont discuté les questions de la morale, du comportement, de l’amité. Il est créé pour que les élèves puissent exprimer leur opinion. Pendant ces débats philosophiques l’enseignant leur écoute et donne des conseils.

Pendant toute la journée l’enseignant a contacté avec les élèves. Il les a rencontré près de l’école, il est sortie avec eux dans le cour et il leurs a accompagné à leurs parents après l’école.

En conclusion, je voudrais dire que l’enseignant a une grande importance dans la vie des enfants. C’est une très grande responsabilité parce que «tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé». C’est pourquoi l’enseignant doit être patient, honnête, juste et responsable.

Observation d’une séance de français

Mon stage pédagogique est passé à «L’école primaire Eustache Restout». Il a duré pendant deux semains. J’ai visité beaucoup de séances, par exemple, l’anglais, l,art, les mathématiques.

D’abord, je voudrais noter les choses qui m’a plu beaucoup:

  1. Les élèves essayent de trouver l’information eux-mêmes. Ils réfléchissent beaucoup et ils cherchent les réponses aux questions pendant une interrogation.
  2. L’enseignant tient compte des caractéristiques psychologiques des enfants. Je pense que c’est très important.
  3. Pendant les cours il existe toujours une ambiance très convivial.
  4. L’enseignant a eu un plan de chaque séance.

Je voudrais décrire une séance du français que a été la plus complet et effective à mon avis.

D’abore, les élèves ont écrit la dictée. L’enseignant, son assistant et moi, nous avons corrigé les fautes avec les élèves. C’était très intéressant d’ecrire la dictée pour les enfants parce qu’elle était beaucoup de nouveau vocabulaire. Toutes les fautes ont été corrigées.

Plus tard les élèves ont cojugué les verbes au «Indicatif Présent», «Indicatis Imparfait» et «Indicatif Passé Composé».

Puis les enfants ont lu un texte pour apprendre le nouveau vocabulaire. Les nouveaux mots ont été écrit sur la planche avec la signature «Ne pas effacer le tableau!».

C’est très intéressant que l’enseignant a essayé d’utiliser ces mots le plus souvent possible.

À la fin du cours l’enseignant et les élèves ont résumé les principaux résultats.

Un cours du français suivant a commencé avec une interrogation et répétition des mots et des règles.

Retour de stage

En France j’ai fait mon stage pédagogique pendent deux semains à l’école française. J’ai fait la connaissance avec les enseignant et ma collègue française. Mon premier but de mon stage a été la connaissence avec le systéme scolaire. J’ai compris qu’il est très différent du système en Russie..

Les choses différente que j’ai noté:

  1. Une durée de la leçon.

À l’école française une leçon dure environ 1.5h., à l’école russe – 45 min.

  1. La grande pose.

À l’école française la grande pose existe. Elle dure environ 1h.45min. En Russie nous avons une pose à 30 min. à l’école primaire, mais les élèves se reposent et mangent à l’école.

  1. Les petites poses.

En France les élèves peuvent aller à se reposer dans la rue pendant la pluie. En Russie, normalement, c’est interdit.

  1. Un matériel didactique.

À l’école française les élèves utilisent les feuilles de papier imprimées, à l’école russe les élèves ont beaucoup de manuels différents.

Mon deuxième but a été l’amelioration de mon niveau de la langue française. J’ai essayé de communiquer toujours avec les enseignants, les enfants et  ma collègue. Nous avons discuté beaucoup de choses intéressantes. Par exemple, la littérature, l’histoire, la cuisine russe et française.

J’ai raconté aux enfants les histoires des personnages principaux des contes et des dessins animés russes et j’ai lit un petit marceau de la conte en la langue russe.

Je pense que mon stage pédagogique est passé bien. J’ai appris beaucoup de choses intéressantes et utiles.

Je suis sûre que c’est utile pour mon avenir.