Archives quotidiennes :

Un journaliste au « Jas’Actu »

M. Yoann Vallier est journaliste à  » La république de Seine et Marne« . Il m’a permis de l’interviewer.

M. Vallier : Bonjour, avec plaisir.

J : Comment êtes-vous « tombé » dans le milieu du journalisme ?

M.V : C’était plutôt un hasard, je me destinais à des études de droit, j’ai un Deug de Droit. Je ne me plaisais pas dans cette voie, j’avais l’impression de m’embarquer dans quelque chose qui ne me plairait pas. Le hasard a ensuite fait que j’ai commencé à écrire des articles pour un site internet de Football à l’âge de 20 ans, je me suis finalement plu dans cette univers. Je me suis dis  » Pourquoi pas cette voie là ? ». Je me suis alors renseigné afin de changer de voie  pour faire une licence en information-communication et une école de journalisme pour me rendre compte si oui ou non cela me plairait. J’ai ensuite fait un stage à la radio « France bleu Melun« . J’ai grandi et muri pour me rendre compte que cela me plaisait vraiment.

J : – Avez-vous un sujet de prédilection ?

M.V : – Au départ, avec ma formation, mes premiers amours étaient le sport. Je me suis rendu compte assez rapidement que c’était un peu limité comme domaine et assez répétitif. Je me suis donc dirigé vers le journalisme local où on peut vraiment traiter différents types de sujets. En revanche je préfère la politique mais cela fait parti de mon métier de m’intéresser à tout, c’est ce qui le rend intéressant.

J : – Vous parliez de sport, mais en aimez-vous d’autres, comme par exemple l’équitation ?

M.V : – L’équitation, au départ ce n’était pas forcément ce qui me plaisait. Mais en m’occupant de Fontainebleau la capitale du cheval, il a bien fallu que je m’y intéresse car j’ai souvent fait des articles sur le Grand Parquet. Je m’en suis intêressé. Avec le journalisme il faut savoir s’adapter au sujet, ce qui rend le métier passionnant mais difficile.

J : – Si vous deviez quitter le monde du journalisme, vers quoi vous dirigeriez-vous  ?

M.V : – J’irais dans le monde de l’édition, parce que parallèlement à mon métier de journaliste, je suis en train de monter une maison d’édition pour des auteurs Seine et Marnais. C’est un projet qui me passionne. Je suis aussi auteur. A coup sûr, si je devais quitter le journalisme ce serait vraiment dans ce domaine là que je m’épanouirais. C’est un domaine varié qui finalement ressemble au journalisme car il touche à l’écrit.

J : – Très bien, merci.

M.V : – Au revoir.

Lohren