Réalisation d’élève en arts plastiques dans le cadre du cours de Mme Carrette
(année scolaire 2014-15)
Une soirée sur la place
C’est un endroit bien éloigné de ton palace
Tu t’émerveilles des simplicités de la vie
Une soirée sur la place
Tellement belle, ainsi décorée de glace
Et plus que tout, ton sourire rend cette soirée réussie
Une soirée sur la place
Une de celles où on s’en fiche de perdre la face
De toute façon, chaque instant est parfait en ta compagnie
Une soirée sur la place
Malgré la neige et le froid tenace
Jamais, de ton sourire, tu ne te départis
Une soirée sur la place
Peuplée de tant de grimace
Est seule capable de t’attirer, chère souris
Une soirée sur la place
Qui n’est en fait qu’une postface
Annonçant que l’ange, pour toujours sur Terre a laissé son amour démuni
Dans le cadre de « Lycéens au cinéma », notre classe de seconde 6 s’est rendue au cinéma de Fontainebleau le vendredi 11 décembre voir le film :
« Les plages d’Agnès »
Agnès Varda est née le 30 mai 1928 en Belgique.
Avant son quatre vingtième anniversaire, elle prend la décision de raconter son parcours de vie personnel et professionnel : à travers des lieux différents : plages, maison. Dans le film les plages d’Agnès, celle-ci nous fait par d’une autobiographie et d’un autoportrait d’elle-même.
C’est un film documentaire : c’est un film constitué d’images fixes et fragmentées : « assemblage d’image arrêtées ». Pour définir son film, elle parle « d’autobiographie docu mentir ». Elle porte un aspect critique sur sa vie. Elle raconte qu’avant d’être cinéaste elle a d’abord été photographe.
Elle fait partie du mouvement de la Nouvelle Vague comme Rossellini, Claude Chabrol ainsi que François Truffaut. La Nouvelle Vague est un mouvement formé de décors naturels et d’autoportrait elle fait en quelque sorte un portrait des autres en même temps qu’elle. Ce mouvement est apparu à la fin des années 1950. Dans le cadre qu’elle filme, les installations misent en place font penser aux arts contemporains, elle joue avec les cadres dans l’image et à l’extérieur : « pleins de cadres dans le cadre » c’est une succession de cadres.
Les images arrêtées donnent un côté d’archives. Pour elle, les miroirs ont une importance majeure dans ses films. Elle aime l’image et elle est désireuse de mettre des mots sur les images et aime participer aux choses plasticiennes.
Elle n’a pas de figurants pour son film, elle laisse les personnes aller et venir dans le cadre. Dans son film elle présente les personnes qui partagent son quotidien durant le tournage du film. Elle fait aussi de l’autodérision. Elle transforme une partie de rue en plage improvisée.
A la fin du film, Agnès Varda se trouve dans une pièce avec quatre vingt balais ramenés par ses proches, elle les a comptés un par un. Elle a beaucoup travaillé sur la pellicule. Pour elle, le temps était sa pire frayeur. Et a couru après celui-ci pendant tout le film.
NOTRE AVIS : c’est un film assez long dans sa durée, mais qui retrace bien sa vie dans l’ensemble. Il faut aimer les autobiographies et le fait qu’elle soit crue dans ses propos. Il est conseillé pour un public qui soit assez mature pour pouvoir le comprendre et l’apprécier à sa juste valeur.
par Chloé Comptour et Maÿliss Guettard, élèves de 2de6
L’action de ce manga se situe peu après la catastrophe de Fukushima. Nobumi, jeune illustrateur jeunesse décide d’envoyer des livres aux enfants victimes de la catastrophe pour leur redonner le sourire. Mais il se heurte à l’incompréhension et la méprise d’autres personnes. Il décide donc d’aller là-bas pour aider à reconstruire la zone sinistrée en tant que bénévole. Il découvre alors quelque chose que l’on ne peut voir à travers les télévisions et autres médias. Grâce à cette découverte, il trouve un nouveau sens à sa vie et à son travail.
MON AVIS : ce manga, dépeignant les relations entre bénévoles et sinistrés ainsi que le ressenti de tous ceux présents sur les lieux, est inspiré de l’œuvre de NOBUMI. George MORIKAWA a reçu l’aide de nombreux mangakas pour réaliser cette œuvre qui vaut le détour.
Disponible au CDI, vous pouvez aussi participer au Concours de Mangas, et votez pour votre manga préféré !!!!
par Marie, 1ère
Sujet d’invention réalisé par les élèves de seconde dans le cadre de l’accompagnement personnalisé
« La femme de l’eau »
La jeune femme se tenait là, dans la clairière perdue d’une forêt sombre. Elle se tenait assise sur un rocher au sein d’un lac et la lumière de la clairière reflètait l’eau autant que l’eau reflètait la lumière. Je la vis sous le soleil, elle était belle, elle était magnifique, elle était resplendissante. Je restais caché pour pouvoir observer cette étrange créature qui me fascinait. Elle possédait de longs cheveux bruns tombant gracieusement sur ses frêles épaules. La chaleur de ses joues réchauffait la paleur de son teint et les pétales rouges de sa bouche chassait l’apreté de son regard épineux d’humble si pur, qu’aucun joyau du monde ne serait égaler. Sa robe de satin argenté, se perdait dans l’infinité de l’eau comme les étoiles dans l’astre de la nuit.
Telle Vénus sortit de l’eau, elle posa son regard de glace sur moi, je sentis mon être transir et brûler puis tout devint noir.
Miangaly et Margalide, élèves de seconde
« Le survivant »
Dans une forêt enneigée de Sibérie, la vie s’était éteinte en même temps que l’arrivée de l’hiver glacial qui frappait cette région isolée de la civilisation. Elle s’était endormie avec ses occupants qui d’ordinaire faisaient régner la joie et la gaieté dans ce paysage. Une épaisse couche de neige recouvrait le sol si bien qu’il semblait s’asphyxier avec cet épais manteau de velours. Les arbres en cette saison, étaient totalement dénudés. La vie s’était figée en eux comme la sève qui coulait dans leurs veines. La forêt avait perdu son dense feuillage comme un cerf perdant ses ramures à cette époque de l’année. Au milieu de ce paysage hostile, un petit arbre survivait seul malgré son âge. Sa résistance au froid était étrange, on aurait dit qu’il vivait dans un autre temps.
Tristan et Alexanne, élèves de seconde
Comme nous l’avons écrit dernièrement, toutes les classes de seconde ont une thématique annuelle. Les 1ère L ne sont pas en reste.
Puisque Mme Berthot et Mme Damon ont à coeur de proposer une thématique intéressante aux élèves de 1ère L dans le cadre du projet de classe à parcours culturel (PAC)
« 1ère littéraire : découvrir l’Antiquité autrement à travers la littérature et l’art »
Il s’agit pour cette classe littéraire de :
-Découvrir des lieux culturels forts présents dans notre environnement proche
-Remonter aux sources de la culture humaniste par l’accès à l’Antiquité / par les récits mythologiques et les représentations
*Cyclop à Milly la Forêt : septembre 2015
*Rencontre au CDI avec l’écrivain Julien Bosc en partenariat avec la Mèl : 7 décembre 2015 (lecture des ouvrages / métier / chaîne du livre : de l’écriture à la vente) / poésie
*Château de Fontainebleau, Galerie François Ier : janvier 2016
*Exposition au Louvre « Les mythes fondateurs… » : date de janvier reportée en avril 2016
*Réécritures : livre numérique « la Sirène à travers les âges » – Concours d’écriture : mars 2016
*BNF : date non définie
– visite théâtralisée animée par deux comédiens « Imaginer un amour à la bibliothèque » + atelier d’écriture autour des amours antiques
*BNF : date non définie
– atelier « Qu’est-ce qu’un livre ? » (création d’une forme de livre imaginaire : récits mythologiques)
*Réalisation de supports de communication et créations artistiques/numériques élaborées au CDI…
Si j’étais …
Une pierre : granit
Une couleur : violet
Une boisson : eau
Une recette de cuisine : pot au feu
Un dessert : mousse au chocolat
Un bonbon : caramel
Une plante : cactus
Un animal : zèbre
Un paysage : mer
Un pays à vivre : Australie
Un geste : signe de main
Un tissu : lin
Un personnage célèbre : Napoléon
Un homme ou femme de lettre : J.J. Rousseau
Un instrument de musique : batterie
Un jour de l’année : 2 décembre
Un film : « Dolce vita»
Une musique : Rock and Roll
Un tableau : « Joconde »
Un livre à emporter sur une île déserte : Robinson Crusoé
Un monument : pyramide
Un moment fétiche : sieste
C’était Mme Dominique Ricollet de Laurette Fugain pour Jas’Actu
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