Un monde de théorie : Harry Potter
Voici une théorie concernant le quatrième tome de la saga de J.K. Rowling : « Harry Potter et la coupe de feu ».
Vol d’apparence
On peut l’affirmer, le portoloin utilisé par Harry et Cédric à la fin de la Coupe de Feu était conçu pour effectuer un aller-retour. Pourtant Voldemort avait prévu de tuer Harry. Pourquoi dans ce cas, le portoloin était-il ensorcelé pour pouvoir revenir du cimetière à l’entrée du labyrinthe ?
Certains fans avançaient l’idée que Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom avait prévu de renvoyer le corps du jeune Potter pour montrer à la fois sa capacité à tuer cet enfant mais aussi pour terroriser à nouveau le monde des sorciers. Hors cela va à l’encontre des propos du mage noir. En effet, ce dernier promet à Nagini (son serpent) que l’animal pourra déguster le corps d’Harry.
Un Potterhead a alors proposé une autre théorie. L’objet était prévu pour Voldemort ; celui-ci lui aurait permis de pénétrer dans la célèbre école de magie avec ses mangemorts. Mais à ce moment précis, personne n’est au courant de son retour et Poudlard est plein d’employés du ministère, il serait idiot d’appliquer cette idée. Le plan de Voldemort ? Prendre l’apparence de Harry, grâce à du Polynectar. En effet, personne ne se méfierait de Harry – ou de quelqu’un qui lui ressemble – de retour du labyrinthe. Devenu champion du Tournoi des Trois Sorciers, le jeune Potter serait alors amené au près de Dumbledore et de nombreuses personnes importantes du monde des sorciers (tel que Cornelius Fudge). Au moment opportun, tuer le directeur de Poudlard serait un jeu d’enfant. De plus, arriver à Poudlard lui aurait également donné l’opportunité d’acquérir un objet ayant appartenu à Godric Gryffondor, le seul fondateur dont il n’a pas trouvé de reliques à transformer en Horcruxe.
Je vous l’accorde, ce plan n’avait aucune chance de fonctionner : Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom aurait été incapable de tromper Ron, Hermione, Sirius, ou même Dumbledore (sans parler de son incapacité à tuer Harry). Mais c’est là que Voldemort montre sa plus grande faiblesse, son mépris et ignorance de l’amour.
M.W.
