Le cancer, un calvaire

Le cancer du poumon empoisonne aujourd’hui de plus en plus de vie

Cette maladie peut se développer sous deux formes : à petites cellules ou à non petites cellules (celui-ci représentant près de 80 % des cancers du poumon).

Pour guérir les victimes de cette tumeur, 3 solutions peuvent être utilisées : la chirurgie (pour les cancers bronchiques non à petites cellules), la radiothérapie ou la chimiothérapie (pour les cancers bronchiques à petites cellules).

Ce cancer est l’un des plus meurtriers (après celui du pancréas) avec par exemple en 2012, plus de 30 000 décès des suites de cette maladie. Les hommes sont plus touchés que les femmes ; c’est pour cela que ce cancer pulmonaire est l’une des premières cause de mortalité chez l’homme. Les facteurs pouvant être le tabagisme (4 cancers du poumon sur 5 sont liés au tabac), l’absorption de drogue, l’exposition à des substances cancérogènes ou radioactives et à une forte pollution atmosphérique.Afficher l'image d'origine

Tout un corps de métiers suivent le patient (pneumologue, oncologue médical, chirurgien, oncologue radiothérapeute, pathologiste, psychiatre, psychologue, spécialiste de la douleur, infirmier, kinésithérapeute, aide-soignant, diététicien, assistant social…) afin que le cancer ne se généralise pas, pouvant devenir mortel.

Les symptômes du cancer du poumon peuvent être :                                                                           une toux (qui s’intensifie), une douleur au thorax, une respiration difficile, une perte de poids subite, une perte d’ appétit, de la fatigue, des maux de tête ou des crachats de sang.    Si ces problèmes s’accumulent, il faut faire une radio du thorax. Ensuite, si les médecins détectent une anomalie, une fibroscopie bronchique est à faire (grâce à une biopsie). Suivant les résultats, il faut faire des scanners (abdominales/cérébrales), des échographies ou encore des IRM (Imagerie par Résonance Magnétique nucléaire).

Margot, sde 2