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L’Aube sera grandiose d’Anne-Laure Bondoux

L’Aube sera grandiose

Ce roman d’Anne-Laure Bondoux a été publié en 2017 chez Gallimard Jeunesse.

L'aube sera grandiose par Bondoux

Résumé :

Nine sort de la piscine, se fait happer par sa mère Titania qui l’emmène dans un endroit inconnu. Elle doit tirer un trait sur ses projets de départ. Pas de fête, pas de compétition.  Mais voilà que commence une nuit blanche, longue et qui, pourtant suffit à peine. Car Titania a décidé que c’était le moment de lui révéler son histoire, son passé, sa famille. D’abord en colère contre sa mère, Nine comprend peu à peu son geste et découvre cette mystérieuse cabane au bord d’un lac, théâtre de tant de souvenirs. Au fil du récit de Titania,  les sentiments de la jeune fille changent. Au matin, quand l’aube se lève sur le lac, plus rien n’est comme avant.

Mon avis :

Ce roman est magnifique. L’écriture d’Anne-Laure Bondoux est très fluide. On suit bien l’intrigue, entrecoupée de pauses.

Abigail, sde 4

La couleur des sentiments de Kathryn Stockett

La couleur des sentiments de Kathryn Stockett

La couleur des sentiments de Kathryn Stockett est son premier roman. Il a été publié en 2009 en anglais, puis en 2011 en français aux éditions Actes Sud. C’est un succès international.

La couleur des sentiments par Stockett

Résumé :

En 1962, à Jakson dans le Mississippi, les femmes noires sont engagées en tant que bonnes. Elle s’occupent des enfants, de la cuisine, du ménage. Aibileen en fait partie. Humiliée part son employeuse, Miss Hilly, elle s’occupe de a fille Mae Mobley. Minny se fait renvoyer pour un mot de trop. Miss Skeeter, jeune femme de bonne famille,  recherche son ancienne bonne Constantine, qui l’a élevé et qui a disparu sans laisser de trace. Au cours de cette recherche, elle se rend compte des lois raciales qui sévissent encore aux États-Unis. Le destin de ces trois femmes va être lié par la rédaction d’un livre dénonçant le dur quotidien des Noires. Mais le Klu Klux Clan surveille, et tout le monde ne voit pas d’un bon œil cette amitié entre une Blanche et deux bonnes Noires.

Mon avis :

Ce livre est tout simplement magnifique. Il nous raconte le quotidien éprouvant de ces femmes noires, qui forcent l’admiration. Il nous raconte  la violence, l’amour mais aussi le courage dont font preuves ces bonnes. On vibre aux côtés de Skeeter, de Minny, d’Aibileen. On souffre avec elles, on tremble avec elles, mais on sourit aussi avec elles. Kathryn Stockett réussit à faire passer des émotions intenses au travers de quelques mots. j’ai lu La couleur des sentiments d’une traite, sans m’arrêter. C’est vrai que l’épaisseur du livre peut faire peur, mais l’action est bien menée, et l’histoire est palpitante. Un certain suspens est maintenu jusqu’à la fin (notamment avec la découverte finale de « la Chose Épouvantable Abominable » de Minny). Ce roman est vraiment très bien écrit, j’ai adoré !

DISPONIBLE AU CDI !!!

Abigail, 2nd4

Sweet Sixteen d’Annelise Heurtier

Sweet Sixteen

Sweet Sixteen est un roman d’Annelise Heurtier. Il a été publié en 2014 aux éditions Casterman.

Sweet sixteen par Heurtier

Résumé :

1957, Arkansas. Le Lycée Central de Little Rock ouvre pour la première fois ses portes à neuf étudiants noirs suite à une décision de la cour suprême. Annelise Heurtier nous raconte l’histoire de Molly Costillo, inspiré de Melba Patillo, qui a réellement Fait partie de ces neufs étudiants.

Molly, une jeune fille noire, a bientôt seize ans. Grace, jeune bourgeoise blanche, prépare une fête pour ses « Sweet Sixteen ». Comme chaque année, elle se prépare à faire sa rentrée au lycée de Little Rock. Molly s’apprête à y rentrer pour la première fois.

« Rentrée 1957. Le plus prestigieux lycée de l’Arkansas ouvre pour la première fois ses portes à des étudiants noirs. Ils sont neuf à tenter l’aventure. Ils sont deux mille cinq cents, prêts à tout pour les en empêcher. « 

Annelise Heurtier nous fait suivre l’histoire de ses deux héroïnes, aux destins diamétralement opposés. pourtant, elles ont toutes deux quinze ans, rêve d’un monde meilleur et sont amoureuses. Ce roman nous raconte au-travers de ces deux jeunes filles, la loi décisive qui a amorcé un changement radical.

Mon avis :

J’ai beaucoup aimé ce livre et la façon dont il est écrit. Malgré le fait de suivre les pensées de deux héroïnes différentes, on ne se perd pas et on reste concentré sur l’histoire. Annelise Heurtier a brillamment réussi à nous retranscrire la violence et la haine auxquelles les neuf étudiants vont devoir faire face. Ce changement de point de vue nous permet d’ailleurs d’aborder les mêmes événements de manières différentes.

En bref, ce livre est bien écrit, l’histoire est palpitante et nous tient en haleine jusqu’à la fin ! Il est facile à lire, pas si long que ça. Un roman que je recommande vivement !

DISPONIBLE AU CDI !!

Abigail, 2nd4

 

L’herbe bleue de Béatrice Spark

L’Herbe bleue, journal intime d’une jeune droguée

L’Herbe bleue, un roman de Béatrice Spark a été traduit en français en 1972. L’auteure est une psychologue américaine, ce livre est fortement engagé dans la lutte contre la drogue aux États-Unis.

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Résumé :

Ce roman, écrit sous la forme d’un journal intime, raconte l’histoire d’une adolescente de 15 ans, mal dans sa peau.  Il nous livre sa descente progressive aux enfers, depuis le jour où elle prend à son insu de la drogue, jusqu’à celui de sa mort.

« Une goutte de pluie vient de s’écraser sur mon front et elle m’a fait l’effet d’une larme tombant du ciel. Est ce que les nuages et les cieux pleurent sur moi, vraiment ? Est ce que je suis réellement seule dans ce monde gris et triste ? Est-il possible que Dieu lui-même pleure pour moi ? »

Mon avis :

J’ai trouvé ce livre assez poignant. En tout cas, une fois lu, on a surtout pas envie de tomber dans la drogue. Il m’a fait pleurer, ou espérer, suivant les humeurs de l’héroïne.

Toutefois, il a été écrit il y a environ 50 ans, et le style est parfois un peu difficile à comprendre. Il rend compte d’un point de vue très restreint concernant la drogue, je pense que la vision d’aujourd’hui a changé.

En conclusion, j’ai aimé ce livre qui reste plus que jamais d’actualité, malgré certains points négatifs.

Disponible au .C.D.I.

Abigail, 2nd4

 

 

Everything, everything de Nicola Yoon

Everything, Everything

Everything, everything est un roman de Nicola Yoon. Cette auteur née en Jamaïque, habite aujourd’hui à Los Angeles. Ce livre est son premier roman.

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Résumé :

Madeline Whittier est atteinte de la maladie de « l’enfant bulle »., une forme de Déficit Immunitaire Combiné Sévère. Le moindre contact avec le monde extérieur peut la tuer. Depuis 17 ans, elle vit cloitrée dans sa chambre, avec sa mère et Carla, son infirmière. Jusqu’au jour où elle croise le regard d’Olivier, qui déménage dans la maison d’en face.

« Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre. »

Mon avis :

J’ai adoré ce livre. C’est, de loin, un des meilleurs livres que j’ai lu. Impossible de le refermer avant de l’avoir fini ! En lisant rapidement le résumé, j’avais peur d’ouvrir un livre où l’héroïne se plaint, et n’accepte pas la maladie.  Le roman est totalement différent. L’auteure nous fait bien comprendre que, malgré sa maladie, Madeline est heureuse.

Le récit raconté par Madeline, est entrecoupé de différentes touches personnelles associées à ce qu’elle vit  : des mails, des graphiques, des notes…  La lecture est assez fluide, et les chapitres sont courts.
Un gros rebondissement donne une fin tout à fin différente de ce à quoi on s’attendait.

Je vous le conseille vivement, ce roman est tout simplement génial, et très touchant.

Disponible au C.D.I. !!!

Abigail, 2nd4

Léa, une nouvelle écrite par Abigail

LEA

Léa leva les yeux de son portable. Le bus était arrivé à son arrêt. Avec un soupir, elle enfonça les écouteurs dans ses oreilles et se leva. L’automne touchait à sa fin et sur les arbres nus quelques feuilles se balançaient, au rythme des bourrasques de vent. La nature elle-même semblait morte. En descendant du bus, Léa songea à l’enfer de ce lundi qu’elle allait devoir affronter. A l’horizon s’entassaient des nuages noirs. Dans le ciel de Léa aussi. Que des soucis, des moqueries…

Elle enclencha la musique de son téléphone. Des airs aux accents rock résonnèrent dans ses oreilles. De toute façon, il valait mieux cela qu’entendre leurs commentaires blessant.

En marchant dans la rue, elle se demandait s’ils se rendaient compte du lent travail de démolition qu’ils accomplissaient en elle. Petit à petit, la confiance et l’estime de soi avaient disparus, suivi de son sourire et de sa joie de vivre. Tout avait commencé à son arrivée dans un nouveau lycée. Elle avait déménagé.

Dès le départ, Léa avait su qu’elle n’était pas la bienvenue. Malgré les sourires et les « bonjour ! » enthousiastes qu’elle leur adressait, ils avaient commencés à se moquer d’elle. A les entendre, elle avait la peau trop claire, le mauvais sac, des chaussures passées de mode… Pourtant, dans son ancien établissement, tout allait bien. Elle avait des amis, elle était heureuse, elle sortait durant le week-end au lieu de rester enfermer dans sa chambre en pleurant. Ensuite étaient venus les coups. Au départ, un coup de coude en se retournant, puis on l’avait plaqué contre le mur à la sortie, et maintenant on la suivait chez elle en la menaçant. Son corps était constellé de bleus qu’elle s’efforçait de dissimuler sous ses habits. Léa n’avait rien dit à ses parents. Qu’aurait-il pensé ? Qu’elle était faible ? Qu’elle ne savait pas se défendre ? Non, tout sauf cela.

Arrivée devant le lycée, Léa songea un instant à faire demi-tour. Elle entra quand même et s’assit dans un coin, seule. Les élèves arrivaient progressivement. On les voyait déjà se moquer de Léa. Ils la montraient du doigt, et chuchotaient entre eux. La jeune fille ferma les yeux pour ne plus les voir, et essaya de se concentrer sur la musique qui sortait de ses écouteurs. Peine perdue. Sous ses paupières, ils étaient encore là.

Soudain, la sonnerie égrena son timbre rêche. Léa se leva et entra dans sa classe. Son professeur n’était pas encore arrivé. En allant s’asseoir au fond, elle remarqua un garçon du premier rang. Alex. Même si il ne lui avait jamais parlé, Léa espérait qu’un jour il fasse cesser ses moqueries. Au fond, c’était le seul qui n’y avait pas pris part. Une voix la tira de ses pensées :

-Eh toi ? Qu’est-ce que tu fais encore ?

-Toujours en train de mater des mecs ?

Léa serra les dents. Surtout, faire comme si de rien n’était. A ce moment-là, Alex ce retourna et s’écria :

-De qui ? La grosse ?

Léa n’était pas grosse, elle était même plus fine que la plupart des filles de sa classe. Le premier reprit :

-Eh ouais, on l’a surpris en train de te regarder. Au fait, quand est-ce que tu te décides à commencer un régime, toi ?

Les élèves riaient bêtement. Léa, elle, aurait voulu disparaître.

Tout d’un coup, elle sentit qu’on lui enlevait sa chaise. Elle tomba par terre au milieu des rires et des moqueries. Les larmes commencèrent à couler. Maintenant, elle  ne faisait plus rien pour les cacher. Son petit monde s’écroulait. Elle pleurait, pendant que les autres riaient. Un élève s’approcha d’elle, le bras en l’air, près à la frapper.

Soudain, la porte claqua, et le professeur entra. En voyant Léa en train de pleurer par terre, elle se figea :

-Que faites-vous à cette jeune fille ? demanda-t-elle, menaçante.

-Rien madame ! Elle est tombée, alors on l’aide à se relever, répondit l’élève, qui tirait Léa par la manche.

-Ah tant mieux. Vous êtes bien gentil. Bon, reprenons. Il me semble que l’on étudiait les vecteurs…

Le cours continua sans que Léa n’y prenne part. Ses larmes coulaient lentement le long de ses joues. Des larmes d’impuissance, de douleur, de peur. Pour elle, tout lui semblait noyé dans un brouillard opaque. Elle ferma les yeux, et se laissa porter par cette brume blanchâtre qui envahissait peu à peu son champ de vision.

Les jours passaient, apportant chacun leur lot de moqueries et  de coups. Léa les endurait sans rien dire. De temps en temps pourtant, sa carapace se fendillait et elle ne pouvait s’empêcher de pleurer. Seule, comme d’habitude.

Elle souffrait. Tous les matins, se lever de son lit était une épreuve. Sans cesse, cette douleur sourde dans la poitrine, ce sentiment affreux de solitude battait doucement, en même temps que son cœur torturé.

En cours, elle restait comme hébétée, sans rien dire. Elle paraissait totalement fermée, hermétique. Comme si elle était entourée d’une bulle que personne ne pouvait briser. Ses parents ne voyaient rien. Elle ne leur disait rien, et leur cachait tout.

Pourtant, un soir où les insultes avaient été plus blessantes qu’avant, et les coups plus forts, Léa rentra chez elle anéantit. Pendant qu’elle marchait, elle laissa ses larmes trop longtemps retenu couler le long de ses joues meurtries.

En arrivant chez elle, elle n’avait plus la force d’affronter le dîner avec ses parents. Elle prétexta un mal de tête pour aller s’enfermer dans sa chambre.

Sa mère, inquiète, lui cria à travers la porte fermée :

-Veux-tu que j’aille te chercher de l’aspirine ?

Léa, en larmes sur son lit, se dit qu’elle ne pouvait plus vivre comme cela. C’était continuer de souffrir, ou bien mourir. Cette idée se développa peu à peu en elle, jusqu’à s’imposer. De toutes façons, n’avait-elle pas envie qu’ils arrêtent ? Après, ce serait fini.

Elle sauta, aussitôt sur ses pieds. L’aspirine…

-Maman ? Je vais chercher l’aspirine moi-même !

-D’accord, Léa, repose toi bien.

Dans l’armoire à pharmacie, elle prit des boîtes de médicament au hasard, et rentra dans sa chambre les bras chargés. Elle déposa tout sur le lit.

La jeune fille, un verre d’eau à la main, regarda les comprimés bariolés. Elle prit une profonde inspiration et les avala, un par un. Elle saisit ensuite une feuille et un stylo, et écrit une lettre à ses parents. Elle raconta tout, dénonça les coupables.

Finalement, la jeune fille s’étendit sur son lit, jeta un dernier regard à sa chambre, puis ferma les yeux. Sa respiration devenait de plus en plus irrégulière.

Quelques heures plus tard, la mère de Léa monta dans la chambre de sa fille pour prendre de ses nouvelles. Elle trouva la jeune fille étendue sur son lit. Son cœur avait déjà cessé de battre, et plus aucun souffle ne sortait de sa bouche. C’était fini.

par Abigail, sde 4

Partez en Grèce cette semaine

Partez en Grèce lors la SEMAINE grecque au Théâtre de Fontainebleau !
De nombreux événements Affiche Semaine Grèce
dont  trois évènements en particulier :
-la soirée du mardi 2 avril à 18h  pour aller découvrir les expositions et également assister à des propositions chorégraphiques, chantées et jouées d’élèves de la ville ;
-la soirée du mercredi 3 avril à 20h30, spectacle discussion/philo pour tous par Dominique Paquet qui anime la soirée  ;
-la soirée du jeudi 4 avril qui démarre à 19h avec une dégustation de vins Grecs ! Et qui s’enchaine avec un concert à 20h30 donné par Katerina Vlahou et ses musiciens, artistes généreux !
Quatre artistes photographes, peintres et aquarellistes qui exposeront salle du Hall Tavernier.
Les élèves de seconde Arts Visuels de JASA exposent lors de cette semaine  au théâtre de Fontainebleau !!!
Travail en collaboration avec les professeurs d’arts plastiques, d’histoire, de mathématiques, de français et le professeur-documentaliste.
Transmis par AK, sde

« Ensemble, c’est tout »

« Ensemble, c’est tout »

Bonjour, je vais vous présenter le livre « Ensemble, c’est tout » de Anna Gavalda

"ENSEMBLE, C'EST TOUT" d'ANNA GAVALDA - le blog bookiweb

L’auteure :

Anna Gavalda a fait des études de lettres à Paris en 1990. Elle a ensuite été professeure de français à Voisenon. En 2000, elle obtient le Grand Prix RTL-Lire avec son recueil de nouvelles « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part ». En 2004, elle publie finalement « Ensemble, c’est tout ».

Le résumé :

C’est l’histoire de quatre « éclopés de la vie ». Camille, jeune artiste surdouée, vit ou plutôt survit en faisant des ménages la nuit. Frank, brillant cuisinier, ne vit que pour sa grand mère. Paulette, 83 ans, se laisse mourir en maison de retraite. Philibert souffre de TOC, connaît l’histoire sur le bout des doigts, et fait la honte de se famille. Il possède un grand appartement à Paris, où ils échouent l’un après l’autre. Pour tenter de construire quelque chose. Entre disputes et crises de rire, les personnages se croisent…

Mon avis :

J’ai juste adoré ce livre. Le style de l’auteure est exactement celui que j’aime : beaucoup de points, du suspens, des phrases chocs. Les chapitres alternent le point de vue des personnages, sans que l’histoire retourne en arrière. Même si l’épaisseur du livre peut en effrayer certains, on le lit sans pouvoir s’arrêter (je porte encore les cernes de ma presque nuit blanche ! ). Je le conseille fortement !!!!!

Petit plus : il est disponible au CDI :)

Abigail, 2nd4

 

Le complexe du papillon

Aujourd’hui je vais vous parler du roman « Le complexe du papillon » de Annelise Heurtier.

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Avant tout, une petite présentation de l’auteure :

Annelise Heurtier est née en France en 1979. Elle a commencé à écrire en 2007.

Le résumé :

Mathilde est une adolescente comme les autres, complexée par son corps. Elle décide alors d’entamer un régime pour avoir le corps  mannequin dont elle rêve. Petit à petit, elle perd pied et bascule dans l’anorexie.

Mon avis :

J’ai beaucoup aimé ce livre. En effet, l’anorexie est un sujet qui me touche de près, alors des livres le traitant, j’en ai lu ! Je trouve que l’auteure  a réussi à retranscrire les émotions de Mathilde : d’abord le déni, puis l’incrédulité, et finalement l’impuissance face à cette maladie. Je le conseille vivement !

Abigail, 2nd4

 

 

 

« Promise »

« Promise » de Ally Condie
Aujourd’hui, je vais vous parler du roman « Promise » de Ally Condie. Ce livre est en fait le premier tome d’un trilogie.
https://s2.qwant.com/thumbr/0x380/5/8/35c6d0d6de5bfe917c32bb10f26116cd38dbbc726ca6ca2ef1880733d97631/62583431.jpg?u=http%3A%2F%2Fp4.storage.canalblog.com%2F46%2F48%2F729131%2F62583431.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1Voici une petite biographie de l’auteure :
Ally Condie, en réalité Allyson Condie, est née dans le sud de l’Utah, aux États-Unis. Ancienne professeure d’anglais, elle se consacre maintenant à l’écriture.
Résumé :
Cassia est une jeune fille de 17 ans, qui vit dans un monde contrôlé par le « Société ». Celle-ci a sauvé la planète du grand réchauffement, et décide désormais de présent et de l’avenir de chaque personne. Elle régente tout : habillement, repas, futur mari ou femme et va jusqu’à programmer le jour de votre mort…
Lors de son banquet de couplage, Cassia découvre que son promis est son meilleur ami. Mais lorsqu’elle veut visionner les informations contenues sur la micro-carte, un autre visage s’affiche. Un visage connu. Cassia se met alors en recherche de celui qu’elle aime. Peu à peu, elle découvre les faces cachées de la société…
Mon avis:
J’ai adoré ce livre. Je trouve que l’écriture est assez fluide. L’auteure arrive à préserver le suspens tout au long du roman, même à la fin. Une fois ce livre finit, on n’a qu’une envie : lire le tome suivant !!
Abigail, 2nd4