Archives de catégorie : Critiques de livres

« Joyland » de Stephen King

[ATTENTION : Cet article peut contenir un certain nombre de « spoiler » léger]

C’était il y a un peu plus d’un an. Le talentueux Stephen King (dont la réputation n’est plus à faire), le roman « Joyland » de Stephen King sortait pour le plus grand plaisir de son public Américain. Il fut plutôt bien accueilli par le public, puisqu’il restera, pendant plus de 6 semaines, au top des ventes, et sortira immédiatement en livre de poche.

Si c’est un des plus grands succès de Stephen King à ce jour (avec Shining, Ca, Carrie…), c’est aussi un de ses romans les plus doux. Si, dans Cujo, l’auteur nous décrit un certain nombre de scènes « horrifiantes », ce n’est pas forcément le cas dans cet ouvrage.

Tenez-en compte tout de suite ; vous vous verrez compter l’histoire de Devin Jonesy, étudiant américain. Celui-ci décidera de passer son été 1973 dans le parc d’attraction  « Joyland », ou un parc au passé sombre. En effet : quelques années auparavant, une jeune femme fût tuée et vulgairement jetée dans le côté du train fantôme. Les habitués de S. King se douteront que « Tout n’est pas blanc » (ceux qui on déjà eu la chance de lire ce livre comprendront), puisque certains employés racontent « déjà avoir vu le fantôme du train fantôme ».

Cependant, je trouve que cet histoire de fantôme passe au second plan. Pire même, on nous promet faussement des clowns et une atmosphère angoissante : ce que l’on ne retrouve pas dans le livre. Presque toute la « terreur » est relayée après la situation de couple de Jonesy (il rompra avec sa petite amie pendant son stage à Joyland, ce qui l’encouragera à prendre une année sabatique).

A. Tavares, 2de 4

Le Pacte des Marchombres, Pierre Bottero

Pierre Bottero a écrit de nombreux livres sur un monde fantasy parallèle au nôtre appelé Gwendalavir. Les plus connues de ses trilogies sur ce monde sont « Les mondes d’Ewilan » et « La quête d’Ewilan » qui racontent les aventures de l’héroïne éponyme. Mais une autre trilogie sur ce monde existe également. Il s’agit du « Pacte des Marchombres » qui narre l’histoire d’Ellana Caldin, une marchombre que l’on retrouve dans les aventures d’Ewilan.

Cette trilogie qui se compose des livres « Ellana« , « L’Envol » et « La Prophétie » est un peu particulière car si les deux premiers tomes se déroulent avant les trilogies d’Ewilan dans la chronologie, le troisième narre les évènements qui ont eu lieu  après celles-ci. Ces livres se déroulant en Gwendalavir également, on retrouve des personnages que l’on a déjà vus dans les autres trilogies (Salim, Ewilan et Edwin notamment).

Le premier tome narre l’enfance de l’héroïne ainsi que son entrée chez les marchombres (une guilde secrète dont les membres cherchent à atteindre la liberté que les Hommes ont perdu et qui parlent de leur choix de vie comme d’une Voie infinie où ils avancent le plus loin possible). Le second tome relate la suite et la fin de la formation d’Ellana ainsi que sa rencontre avec Ewilan (ce qui fait le lien avec les trilogies « Les Mondes d’Ewilan » et « La Quête d’Ewilan« ). Le troisième tome conclut cette série en détaillant les évènements qui vont secouer Gwendalavir après la fin des aventures d’Ewilan.

Ces trois tomes permettent de mieux comprendre l’état d’esprit d’Ellana et d’approfondir ses connaissances sur ce monde (Ellana ne connaît pas l’existence d’un autre monde avant de rencontrer Ewilan, elle vit donc uniquement dans Gwendalavir et voit son monde d’un autre œil que celle-ci). ils sont également très intéressants pour les informations qu’ils apportent sur les marchombres, ces personnes cultivant le secret et ne recherchant que la liberté : « La Voie du Marchombre ne t’apportera ni la richesse ni la reconnaissance Ellana, mais quelque chose que les Hommes ont oublié. […] La liberté. » (Jilano, maître marchombre, Tome 1 « Ellana« ).

L’écriture de Pierre Bottero apporte une fraîcheur qui permet d’entrer facilement dans l’histoire. Ce style est très controversé mais il plaît à de nombreux amateurs de fantasy. En effet, il utilise de nombreux personnages aux parcours diverses qui portent sur leur monde un regard différent selon leur histoire et leur caractère : l’une le regarde sans à priori, l’autre avec ignorance, un autre avec étonnement.

La série « Pacte des Marchombres » est une série que je vous conseille fortement si vous avez aimé celles sur Ewilan, et que vous voulez en savoir plus sur Ellana Caldin !

Marie MATRAY, 2nde3

Critique littéraire (un peu sévère) : « Magie Noire »

« Magie Noire » est un roman écrit par Andrew Prentice et Jonathan Weil.

Tout d’abord, il se passe dans «une Londres» de 1592 légèrement modifiée. Elle est régie par une organisation de voleurs ainsi que par des fanatiques religieux. Jack est un voleur qui se fait enrôler, sous le vif encouragement de sa mère, par cette organisation. Cependant, un jour, il vole la bourse de la mauvaise personne et sa mère le paiera de sa vie.

Personnellement, je n’ai pas trop aimé ce livre. J’ai trouvé que le sujet abordé était bien pensé et le résumé prometteur, seulement l’écriture n’était pas à la hauteur.
L’un des principaux reproches que j’aurais à faire aux auteurs est que, même s’ils écrivent du point de vue interne, ils ne savent pas vraiment faire «vivre» leur personnage. On sait quel sentiment il a parce que c’est écrit.

Il y a aussi certains passages que j’ai trouvés sans grand intérêt sur lesquels les auteurs se sont attardés alors qu’ils ont laissé de côté d’autres moments qui me paraissaient important pour l’évolution de l’histoire. De ce fait, certaines choses étaient dures, voire impossible à comprendre.
Par contre, je pense que les nouvelles aptitudes acquises par Jack auraient pu être plus exploitées, tout comme les attaques de Nicholas Webb (l’assassin de sa mère).

Comme je l’ai dit plus tôt, je ne trouve pas ce livre très vivant : je ne me suis pas sentie absorbée par les rebondissements et le suspens, bien que présent, n’éveillait pas assez mon intérêt.

La fin a semblé bâclée, comme si les auteurs s’étaient rendus compte qu’ils n’avaient pas réussi à réunir les éléments surnaturels aux actions des personnages. En parlant de ça, à mon avis, l’aspect surnaturel, ou au moins celui de la magie noire aurait pu être mieux travaillés.

Je suis navrée pour cette critique très négative, cependant je vous invite tout de même à lire ce livre : ce n’est que mon avis personnel fait à partir de mes impressions et de mes goûts. La preuve, « The Guardian » et « Literary Review » ont fait une critique élogieuse à propos de cette œuvre.

Je pense donc que j’ai un réel problème avec l’écriture de ces messieurs, mais peut-être vous conviendra-t-elle, qui sait ?

Bonne lecture !

Natacha

Critique littéraire : « In The After »

Il s’agit du premier roman de Demitria Lunetta (une jeune auteur des Etats-Unis).


L’ouvrage raconte l’histoire d’une jeune fille, Amy, qui a appris à survivre seule avec une enfant (rencontrée au hasard) dans un monde envahie par les aliens. Elles finissent par être découvertes par des rescapés avec qui elles vont devoir apprendre à vivre, même s’ils cachent quelques secrets plus ou moins terribles.


Le livre est découpé en trois parties également réparties (à quelques unités près) : « Après », « New Hope », « Les Gardiens ».
Les personnages sont attachants, surtout Amy qui se comporte vraiment comme une adolescente normale au départ. On constate d’ailleurs une évolution entre «la Amy» du début du roman et celle de la fin. Il est cependant dommage que Baby (l’enfant) soit un peu mise de côté dans les deuxième et troisième parties.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser à la lecture du résumé, le livre n’est pas très sanglant. Par contre, on ne peut pas retirer à l’auteur de très bien savoir manier l’art du suspens. Personnellement, je comprends pourquoi l’Association des libraires américains a distingué cette œuvre comme l’un des meilleurs livres jeunesse 2013.

On est entraîné en plein cœur de l’action dès le début du roman, ce qui est très agréable. L’auteur nous plonge directement dans le contexte et se sert des pensées d’Amy (elle écrit au point de vue interne avec un narrateur présent) pour relater quelques faits passés au lecteur sans vraiment faire d’ellipse. Je trouve que l’on s’identifie facilement au personnage.

A partir de la deuxième partie, Demitria Lunetta commence à alterner entre le passé et le présent. Au départ, je n’arrivais pas trop à me repérer, mais au fur et à mesure de la lecture on comprend.
(juste une petite chose, dommage : la traductrice a remplacé toutes les terminaisons en «ais» de l’imparfait par «é», une faute de plus en plus courante, mais qui pourtant saute aux yeux).

 Je vous conseille donc vivement ce livre. Bonne lecture !

Natacha

 

Critique littéraire : « Un homme parmi les loups »

Il s’agit d’une autobiographie écrite par Shaun Ellis

avec Penny Junor.

Il commence par raconter quelques passages de son enfance, décrire les personnes importantes qui l’ont entouré et des éléments importants de ces moments. L’histoire commence vraiment une fois qu’il est devenu adulte et qu’il a fait la connaissance des loups. Il parle de leur rencontre hasardeuse, de la passion qui est née en lui et de comment il l’a vécue. On peut dire qu’il a fait beaucoup de choses dans sa vie, ce qui le rend très intéressant à lire. Le début peut paraître un peu long, mais le texte me semble tellement bien écrit que ça ne m’a pas posé de problèmes. D’ailleurs, il m’a plus semblé lire un roman qu’une autobiographie !

Shaun Ellis met beaucoup l’accent sur son ressenti, ce qui peut créer une impression de familiarité quand il parle des loups. Il arrive à tenir le lecteur à bout de souffle, le rendant nerveux quand lui l’a été. Il pourrait presque lui transmettre sa passion.

J’ai beaucoup aimé la préface qui porte un message fort, révélateur des intentions de l’auteur.
Cet ouvrage nous apprend aussi plein de choses sur les loups (et la survie dans la nature pour ceux qui sont intéressés) sans que ça ne m’ait paru pesant. On sent que l’auteur maîtrise son sujet et qu’il est vraiment habité par cet amour de la nature, des animaux, mais surtout des loups.

C’est un livre que je conseille vraiment, surtout parce qu’il peut nous donner matière à réfléchir, même si on est pas un grand fan des loups et qu’on s’en fiche un peu de l’écologie. Il y a beaucoup d’aventures dans ce livre, et c’est bien de découvrir un peu tous les genres pour se forger son esprit critique.

Bonne lecture !

Natacha

Les Légendaires

Cette série « Les Légendaires » est une bande dessinée réalisée par Patrick Sobral, éditée par la maison d’édition Delcourt. Elle compte à ce jour 16 tomes,  le 17ème est prévu pour octobre 2014. L’auteur a annoncé qu’il y en aurait environ 25…

Genre : Shonen Manga, Fantasy / Heroïc fantasy, Jeunesse.

L’intrigue prend place dans un monde fantastique. Deux ans avant le début de l’histoire, c’est un groupe de héros, les Légendaires, connu et respecté de tous. Ils sont cinq et incarnent les vraies valeurs oubliées (noblesse, courage, intelligence, etc.).

Lors de leur dernier combat contre les forces maléfiques, les choses se sont mal terminées !

Eve

Ce qu’en pense Allan du webzine  : « Je vais vous parler d’une bande dessinée. Les légendaires vivent dans un monde imaginaire qui s’appelle  Alysia,  et c’est l’histoire d’héros (légendaires) qui combattent les forces du mal. Il ont été rajeunis… »

Je vous invite à lire !

Ah la fameuse et dépréciée critique de livre… Pourtant, bien mené, cet exercice peut s’avérer un plaisant travail d’investigation au cœur même des plus grands ouvrages qui aient jamais échu entre nos mains. Encore faut-il savoir s’y prendre. C’est pourquoi, nous allons faire quelque chose de légèrement différent aujourd’hui : en lieu et place de la fastidieuse étude de texte, je vous propose plutôt un avis condensé sur l’objet de ma lecture du moment : les « Lettres à un jeune Poète » de Rainer Maria Rilke.

Ce livre, outre l’immense bagage poétique qu’il recèle, m’a profondément touché et continue encore de le faire après trois ans, raison pour laquelle je le relis et vous en parle aujourd’hui. Si vous avez suivi mes quelques articles sur ce webzine, vous avez sans doute aperçu quelque part, perdu au milieu d’un océan de mots agencés en phrases, un poème. Or je pense qu’il est essentiel que je vous dise que ce poème, c’est Rilke qui me l’a fait découvrir en moi-même.

J’ai reçu ce livre de la part d’une personne extraordinaire : mon professeur de Culture Humaine et Religieuse (la matière n’a jamais aussi bien porté son nom que lorsque cette femme enseignait) elle m’avait d’ailleurs également offert un autre ouvrage profondément beau et marquant que je vous conseille vivement : « le Prophète » de Khalil Gibran. Nul besoin de vous dire qu’à l’époque où elle m’a offert ce livre, la poésie ne m’intéressait guère; comme chacun d’entre vous qui avez été forcés d’en étudier les grands classiques en cours, je la trouvais inintéressante et pathétique. Mon avis a changé quand j’ai lu la première lettre de Rilke.

Car voyez-vous cette lettre, et tout ce livre d’ailleurs possède la force magique que seuls possèdent les grands chefs d’œuvre littéraires, cette force qui traverse le temps et les époques pour venir s’adresser directement à quelque chose qui dort au fond de votre esprit (je n’ose encore parler de l’âme) et qui attendait patiemment que vous trouviez la clé pour y accéder. Cette clé était pour moi le livre. Rilke y montre toute la gloire de l’artiste dont le travail ne consiste pas à simplement créer ou « faire de l’art » au sens esthétique de l’expression mais à « rechercher en lui par la voie de la solitude et de l’introspection le secret de choses et du monde ». C’est de ce travail de recherche que nait toute forme d’art et c’est cette solitude de l’artiste que nous enseigne le poète.

Quel lien avec vous aujourd’hui seraient tentés de me dire les plus têtus d’entre les condisciples et avec raison. Le livre ne s’adresse en fait pas simplement au futur artiste qu’est Franz Kappus ou même moi qui vous en parle. Non la vraie force de ce livre c’est qu’il invite tout un chacun à faire l’expérience de cette bienfaisante solitude qui permet d’entendre tout l’univers chanter au fond de son âme. C’est un livre universel et éternel, un enseignement unique même si Rilke n’en est pas le seul détenteur et j’espère sincèrement que, si vous le lisez un jour, vous saurez apprécier à sa juste valeur le cadeau qui vous sera fait (ou que vous vous serez fait) en recevant cette merveille.

Au plaisir de partager la joie de lire avec vous !

Arnaud

« Les Héros de L’Olympe », une suite tant attendue

« Les Héros de L’Olympe » est une série fantastique écrite par Rick Riordan, suite de la série « Percy Jackson ». Le premier livre « Le Héros perdu » est sorti le 12 octobre 2010 aux États-Unis, et en France le 4 mai 2011. « Le Fils de Neptune », le deuxième tome de la saga, est sorti le 4 octobre 2011 aux États-Unis puis le 1er Mars 2012 en France.

« Le Héros perdu » est le premier livre de la saga des « Héros de L’Olympe ». L’histoire est écrite de trois points de vue différents. Celui de Jason, fils de Zeus, celui de Piper, fille d’Aphrodite, et celui de Léo, fils d’Héphaïstos, contrairement à la saga de « Percy Jackson » qui ne comptait que le point de vue d’un personnage.

Le troixième tome de la saga est prévu pour le 1er Mars 2013. En attendant une suite de la première adaptation de « Percy Jackon : Le Voleur de Foudre », est prévu pour le 14 Aout 2013, « Percy Jackson : La Mer Des Monstres ».

Evelyne

 

3,14 à la mer !

Le livre

« L’histoire de Pi », roman de Yann Martel publié en 2001, conte l’incroyable histoire de Piscine Molitor Patel dit « Pi », jeune indien de Pondichéry qui, survivant d’un naufrage, se retrouve 227 jours sur un bateau de sauvetage en compagnie d’un tigre du Bengale.

Ce roman a, en premier lieu, été refusé dans 5 maisons d’édition londoniennes pour être enfin accepté par Knopf Canada. Le livre a ensuite reçu un grand nombre de récompenses tels que le prix Brooker de fiction. Le roman a gagné également le prix sud-africain Boeke en 2003 et, en 2004, le prix d’Asie-Pacifique de littérature comme meilleure fiction pour adultes des années 2001 à 2003 ou encore le prix Hugh-MacLennan.

Ce livre a été adapté au cinéma le 19 décembre 2012. J’ai trouvé le film assez fidèle au livre malgré la modification de certains passages pour pouvoir être tout public.

Mon avis

 

J’ai trouvé ce roman magnifique, l’incroyable histoire de Pi Patel est tellement magnifique et intense qu’on a du mal à sortir de cet ouvrage.  C’est un livre qui, malgré de fortes influences fantastiques, nous semble, lorsque nous le lisons, étrangement réaliste. C’est sans doute cela qui m’a le plus plu, le fait que tout soit tellement expliqué que cela nous parait presque, en fin de compte, logique. Je dirais donc que c’est un livre incroyable qui vaut vraiment la peine qu’on le lise !

Alexandre

« Fondation » par Isaac Asimov

« Fondation » est le premier livre du cycle écrit par Isaac Asimov.

Série de romans récompensée par le Prix Hugo de « Meilleure série de science-fiction/fantasy de tous les temps ».


Au début du XIIIème millénaire de l’ère Galactique, lors de l’apogée de l’Empire, en termes de puissance et de surface, sur la capitale de ce dernier : est  Trantor. Un savant du nom Harry Seldon invente la psychohistoire, une science qui, sur des bases de psychologie et de mathématiques, permet de prédire les grandes lignes de l’avenir en anticipant les grandes évolutions des système de société. En se basant sur ce procédé, Seldon prédit l’effondrement de l’Empire d’ici cinq siècles et, ensuite, trente mille ans de chaos. Pour réduire cette sombre période à un millénaire, ce dernier propose de créer, sur une planète éloignée, une fondation composée des scientifiques les plus éclairés de l’époque ainsi que leur progéniture, chargés d’écrire l’ « Encyclopedia Galactica » regroupant toutes les technologies et les sciences de l’Empire Galactique.

Le roman, composé de cinq nouvelles racontant des moments importants de l’histoire de la Fondation caractérisés par des « Crises Seldon », sont les grandes menaces que devront affronter la fondation au cours de son histoire, publiées, originellement, séparément entre 1942 et 1944 pour être ensuite réunis en un seul et même livre en 1951.

 

Ce livre considéré comme le Livre à avoir lu lorsqu’on est amateur de science-fiction mérite, selon moi, grandement son titre. C’est un livre passionnant avec une organisation politique, religieuse et sociale très développée et complexe. On peut remarquablement bien observer l’évolution du système de cette communauté et l’évolution du mode de penser de ses habitants.

J’ai pris plaisir à lire ce roman, je le recommande car c’est un livre qui emporte vraiment le lecteur.

Alexandre