Source : lejournaldunet.fr

« Écrire un article en temps et en heure sur la procrastination est une tâche difficile. «Demain je m’y mets» est une phrase que beaucoup de Français prononcent chaque jour, à voix haute ou pour eux-mêmes! »

Aujourd’hui, je vais vous parler de quelque chose de TRÈS important pour les collégiens : la procrastination. Alors forcément, ce mot là ne dit pas grand chose à tout le monde, donc tout simplement c’est le fait de toujours remettre au lendemain ce qui peut être faire le jour même (c’est la flemme quoi!).

Faire signer la dernière interro? Demain.
Réviser ses cours? Ce week-end.
Aller voir sa grand-tante dont on ne sait même plus le nom? Peut-être l’année prochaine… ou pas 🙂

La journée mondiale de la procrastination a été créée en 2010 par un éditeur français, David d’Equainville, également auteur du « Manifeste du 25 mars contre la tyrannie de l’hyper-urgence ». Le but selon lui ? Dédramatiser la tendance à reporter certaines tâches au lendemain et souligner les bienfaits de la procrastination.

Sur le site Internet JeChange.fr, un sondage réalisé en 2018 à partir d’un échantillon représentatif de la population révèle que nous faisons partie des champions de la procrastination. 49% des adultes consacrent au moins une heure de notre journée de travail à procrastiner, 27% entre une et deux heures et 22% plus de deux heures !

La journée de la procrastination a lieu le 25 mars ! Pourquoi ne pas la célébrer avec ses amis? Après tout, la flemme, c’est sacré !