Société

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LES DÉCORATIONS DE NOËL

Chaque année, les villes, les villages, les maisons se parent de lumière pour célebrer Noël.

Cette année sera un Noël un peu spécial qui ne pourra pas vraiment se fêter  comme nous l’aurions aimé à cause de la pandémie de la Covid 19.

Mais nous devons rester optimistes et nous sommes heureux de voir une fois de plus les belles illuminations de Noël.

Cette année, grâce à une amie de Begoña Velasco, découvrons les belles illuminations du port de Sanary-sur-Mer, pas très loin de Toulon.

      

  

 

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LES OEUFS DE PÂQUES

Par Aristea Afrodita Ortiz Tiliakou- A2.2

OLYMPUS DIGITAL CAMERATsouréki

À Pâques, en France, on décore des oeufs. En Grèce aussi.

Chaque année, à Pâques, dans ma famille, nous célébrons les traditions de la Pâque orthodoxe (cette année, le 12 avril 2015). Nous allons à notre maison de campagne pour préparer toutes les choses.

Cette année, nous avons fait des brioches typiques de Pâques, appelées Tsouréki. Ce sont des brioches que nous faisons avec nos propres mains (mélanger, pétrir, tresser,etc). C’est une recette traditionnelle pour cette époque. La brioche est décorée avec un oeuf de couleur. Sur la photo nous pouvons en voir deux. Un avec l’oeuf rouge et l’autre avec l’oeuf vert.

Nous avons aussi peint 102 oeufs avec différentes couleurs.  Il y avait des couleurs, comme par exemple le rouge, le vert, le bleu et le jaune. J’ai mis aussi des autocollants sur quelques oeufs.

Le samedi et le dimanche de Pâques, nous mangeons toutes les choses que nous avons cuisinées et nous les offrons à tous nos amis.

Je suivrai cette tradition tous les ans. C’est une belle tradition.

Ici, vous trouverez la recette:

http://www.paprikas.fr/article-tsoureki-brioche-de-paques-chez-les-grecs-102291201.html

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LA MYTHIQUE COURSE CYCLISTE PARIS-BREST-PARIS

Par Carolina Izquierdo-B2.1

Paris – Brest – Paris : un défi mais surtout une histoire de surpassement :
En 1889, le directeur du « Petit Journal », Pierre Giffard, voulait démontrer que la bicyclette était un moyen de transport très pratique pour voyager. C’est pour ça qu’il organise la première PBP, une course de 1200 kilomètres à une époque où l’asphalte n’avait pas encore été inventé.

Pour la première édition, seulement les hommes français pouvaient participer, mais dix ans après la course est devenue internationale et aujourd’hui les randonneurs à bicyclette de tous les coins du monde se réunissent tous les quatre ans pour faire la plus spéciale et la plus célèbre des courses  cyclistes : 1200 kms à parcourir en 90 heures maximum où la force et la résistance du corps mais surtout de l’esprit seront mis à l’épreuve.
La PBP, c’est une course unique qui réunit les randonneurs à vélo avec les gens du nord-ouest de la  France ; c’est un spectacle très beau à voir. Depuis sa première édition, le nombre de participants a beaucoup augmenté. Aux trois dernières éditions (2003, 2007 et 2011) plus de 5000 randonneurs ont pris le départ.
Hommes et femmes de 45 pays environ comme la France, les États-Unis, l’Allemagne, l’Italie, le Royaume Uni, l’Espagne, l’Australie, le Canada, le Japon, le Brésil… participent à l’événement. Mais pas tout monde peut participer ; il y a une condition afin d’éviter un grand nombre d’abandons. Il faut que tous les participants de la PBP aient réalisé et fini, dans l’année de l’épreuve, les Brevets des Randonneurs Mondiaux du 200km, 300km, 400km et 600 km qui s’organisent sous les règlements de l’AUDAX CLUB PARISIEN, organisateur de la PBP, dans plus de 40 pays dans le monde. Bien que la majorité des participants utilise un vélo conventionnel, les vélos spéciaux comme les tandems, les triplettes ou les tricycles peuvent aussi participer.

Au long de la course, il y a des lieux de contrôles où plus de 1500 bénévoles travaillent pour aider les randonneurs. Ils ne sont pas payés et ont seulement la satisfaction de participer à un événement comme la PBP et l’expérience de connaître des gens du monde entier. A chaque contrôle, les randonneurs peuvent dormir, se nourrir, pendre une douche, voir le médecin, changer de vêtements… tout est organisée pour qu’ils aient tout  ce dont ils ont besoin.

Mais une des fonctions les plus importantes des contrôles est que les participants doivent timbrer leur carte de route pour démontrer qu’ils ont fait la course entière en moins de 90 heures et en conséquence l’homologuer et atteindre leur objectif.
Depuis 2007, on peut suivre les participants online. Tous les randonneurs ont un « chip » attaché à une des roues du vélo de manière que chaque fois qu’ils arrivent à un des contrôles, ils passent sur une bande rouge. Automatiquement, l’information du chip s’actualise et chacun  peut savoir où est  son père, son mari, sa sœur.

Ces sont les contrôles des dernières éditions:

•     Dreux : seulement au retour ; km 1151.
•    Mortagne :  seulement au retour ; km 1067.
•    VIllaines-la-Juhel : km 220 et km 988.
•    Fougères : km 306 et km 902.
•    Tinteniac : km 360 et km 848.
•    Loudéac : km 445 et 763.
•    Carhaix-Plouguer : km 521 et km 687.
•    Brest : km 604.

Les randonneurs ne trouvent pas  de l’aide uniquement aux contrôles ; dans la rue il y a des gens qui mettent un table avec de la nourriture et des boissons de façon totalement gratuite, parce que c’est l’esprit de la PBP. Comme par exemple un couple qui prépare un restaurant improvisé dans son garage et donne des crêpes avec un petit papier avec leur adresse. Ils demandent aux randonneurs de leur envoyer une carte postale de leur ville d’origine pour leur collection.


Après 90 heures de souffrance, de ne pas avoir dormi, de  fatigue… on arrive à Paris avec la satisfaction d’avoir fini la mythique PBP. Malgré le grand effort à faire, tous les participants s’amusent et s’aident ; c’est cela qui fait de la PBP une vraie Randonnée.

N.B. Le Paris-Brest est aussi un gâteau, en forme de roue de bicyclette, qui a été créé en 1910 par le pâtissier Louis Durand, inspiré par cette course cycliste.

 

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ONG  KERGUY M’BOUR

Par Onelia Alvarez-B1.3

(lundi 30 juin 2011)

 

 

Ce weekend, je suis allée en France, avec mon mari, dans  la vallée de la Loire, où habitent nos amis, pour participer à une fête bénéfique de l’ONG « Kerguy M’Bour », qui est une association formée par un groupe d’amis réunis en organisation officielle le 9 Novembre 2007 avec l’objectif de construire un centre socioéducatif à Falokh, au Sénégal.

La comtesse d’Echuilly, qui est vice-présidente de l’Association, est propriétaire d’un château, le château d’Echuilly, du XVIII siècle, qui appartient à sa famille depuis plusieurs générations et où elle organise chaque année une fête dans le but d’obtenir des fonds pour l’Association.

La fête a lieu dans la soirée et Madame la Comtesse reçoit ses invités devant la grille du château, pour leur donner la bienvenue et les accompagner à une promenade-visite du château et de ses jardins.

A la fin de la visite, les participants sont invités à un apéritif dans la cour du château et ils passent ensuite à la salle des Tapisseries où est servi le dîner. Dîner qui est composé de plats, tous délicieux, préparés par les participants à la fête et donnés généreusement en faveur de l’Association.

Après le dîner, on organise une petite tombola avec les cadeaux qu’offrent quelques invités : peintures, sculptures, gravures ou vins d’Anjou, pour collaborer avec l’Association qui s’adresse esssentiellement aux jeunes les plus démunis du Sénégal.

Un grand bonheur pour ces enfants.

Onelia pendant son exposé  à l’Institut Français


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LES GRANDES VACANCES

Résumé réalisé par Paz Tellez (niveau B1) à partir du document vidéo « 1960, les grandes vacances », de l’émission Passé Simple.

 

Au début du XXème siècle, les vacances étaient réservées à peu de privilégiés qui disposaient de beaucoup d’argent et de temps libre, les classes sociales dominantes.

Celles-ci allaient habituellement aux stations thermales (Vichy, Aix-Les-Bains) et à la plage, au Touquet (Nord-Pas-de-Calais) et à Deauville (Normandie) et voyageaient avec des moyens de transport de luxe comme les fameux paquebots : le Normandie et le Queen Mary et le célèbre train Orient Express qui leur permettaient de merveilleux voyages autour du monde.

À cette époque-là, les inégalités sociales étaient très grandes, les travailleurs n’avaient pas droit à des congés payés ni à un seul jour de repos par semaine;  ils travaillaient sept jours sur sept pendant les douze mois de l’année. C’est un peu plus tard, qu’ils ont obtenu un jour de repos par semaine, le dimanche. Les gens allaient alors dans les guinguettes sur les bords de la Marne, ou ils allaient se balader aux champs.

Déjeuner des canotiers, d’Auguste Renoir (1881)

C’est en 1936, avec le Front Populaire, que les Français ont obtenu les premiers congés payés, deux semaines. Peu vont partir en vacances, les autres restent pour faire du bricolage et du jardinage.

Seulement vingt pour cent de la population partait en vacances en 1950. Mais en 1960 grâce à la voiture les gens ont gagné la liberté et ont pu faire des déplacements plus long qui ont produit des ruées sur les plages. À cause de ceci, le littoral a commencé à être bétonné et beaucoup de lieux de la côte, peu à peu ont perdu leur charme.

Dans les années 70 grâce aux charters aussi, il a été possible à la plupart de la population de voyager à l’étranger et de connaître beaucoup de pays lointains (les États-Unis, L’Inde, la Tunisie, la Suède…etc.). On assiste au développement des clubs de vacances comme le Club Méditerranée.

Aujourd’hui il y a eu un changement important. Les gens cherchent un tourisme de qualité et la recherche de l’authenticité et le retour à la nature.

Note: Les guinguettes tirent leur nom du  » guinguet  » le petit vin blanc bien vert (produit en Île de France) que l’on y versait à la fin du XIXème siècle. Découvrez à ce propos la très célèbre chanson « Ah! le petit vin blanc »:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=xzBjR11MQ6Y[/youtube]

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Le 11 novembre, chaque année, la  France célèbre l’armistice de 1918 qui marque la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918). Ce jour est  férié en France ( jour du Souvenir ) . Le 11 novembre 2010, à 12h, les étudiants de l’Institut Français ont pu assister depuis leur salle de classe à cette commémoration qui a eu lieu en présence de l’ambassadeur de France et de nombreuses personnalités.

Découvrez, à ce propos, Joyeux Noël, ce très beau film de Christian Carion (2005) qui évoque la trêve de Noël 1914 et les épisodes de fraternisation entre soldats ennemis qui passent le 24 décembre dans les tranchées.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=vh6FL4z9lpQ[/youtube]

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Un étudiant (José Gutierrez- J.G.S.Compte) du groupe B1.1 s’est alors souvenu qu’il avait assisté à une autre commémoration, à Paris, le 7 mai. Le 8 mai est la date commémorative de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe (8 mai 1945). Le 7 mai,  la veille, a lieu un hommage aux morts de cette guerre.  Il nous propose donc quelques photos pour notre journal.

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