Aujourd’hui nous sommes allées à la rencontre de nos surveillants pour découvrir toutes les ficelles de leur métier. Nous leur avons posé quelques questions que nous vous partageons aujourd’hui.
Qu’est ce qui t’as poussé à devenir surveillant(e) ?
Laetitia : Je ne sais pas, ce n’est pas loin de chez moi…
Kévin : (rires) Ca c’est présenté comme ça.Personellement je cherchais un stand-by dans mes études pour réaliser des projets personnels.
Josiane : J’aime bien les adolescents et le travail de surveillant est très varié.
Eran : Je veux continuer mes études alors au lieu de ne rien faire…
En quoi consiste ton travail ?
L: C’est un travail de surveillance, de bienveillance et de pédagogie.
K: C’est s’assurer que tous les élèves passent le portail en sécurité et se sentent bien au collège.
J: C’est un travail de surveillance, d’écoute, d’aide, on doit servir d’intermédiaire entre les élèves et tous les interlocuteurs du collège.
E : Nous devons encadrer les élèves, les aider tout au long de l’année et les aider à travailler.
Est-ce que tu aimes ce que tu fait ?
L: Oui si tu fais ce métier, c’est que tu l’aimes.
K: Oui car l’échange avec les jeunes est intéressant et on est au plus près des élèves.
J: Oui pour toutes les raisons que j’ai déjà données.
E: Oui car j’aime être en contact avec les plus jeunes.
As-tu un autre métier en dehors du collège ?
L: Je suis sapeur pompier volontaire et je fais des activités manuelles avec les enfants.
K: Je suis sapeur pompier volontaire, ce qui me passionne.
J: Je suis bénévole à l’association des donneurs de sang.
E: Je fais du foot en club, ce qui me permet d’encadrer les plus jeunes.
Qu’est ce qui est le plus dur/embêtant dans ton métier ?
L: D’être neutre, impartiale, ne pas faire de différences et rester sérieux.
K: Faire face au dificultés qu’on peut avoir avec certains jeunes qui ont une attitude inadaptée à la vie collective.
J: De voir les enfants en souffrance et de ne pas pouvoir les aider.
E: Être toujours au bon endroit et attentif.
Propos recueillis par Emilie et Sarah.