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Le groupe Arenadour reprend le pôle thermal d’Amnéville
Dans un contexte difficile, en lien avec le Covid-19, le groupe Arenadour a officialisé la reprise du pôle thermal d’Amnéville (Moselle). En effet, le maire de la commune, Eric Munier, a annoncé lundi 1er mars 2021, la reprise par le groupe Arenadour du pôle thermal (Thermapolis, Villa Pompéi, Cure Saint Eloy).
Le groupe Arenadour, qui gère plusieurs établissements thermaux à Dax, dans les Landes, a officialisé la reprise du pôle thermal d’Amnéville (Thermapolis, Villa Pompéi, et Cure Saint Eloy), Les 277 emplois sont préservés.
Selon Lorraine Actu, après une année 2020 difficile, pour cause de fermeture liée au contexte sanitaire, les établissements thermaux d’Amnéville doivent se préparer à rouvrir au cours de l’année 2021.
Développer le thermalisme
Michel Baqué, le président du groupe Arenadour, estime que » le thermalisme a un rôle à jouer dans la durée ». L’activité est reprise dans un contexte de difficultés financières, auxquelles s’ajoutent les pertes en lien avec le Covid-19. La fréquentation des établissements thermaux d’Amnéville est passée de 600 000 visiteurs en 2019 à 200 000 visiteurs en 2020.
S’insérant dans le projet » Destination Amnéville », qui veut développer un nouveau projet touristique de la ville d’Amnéville, le groupe Arenadour veut élargir la clientèle à toute la France. Michel Baqué rappelle effectivement que 90 % des visiteurs sont des curistes locaux.
Selon France Bleu, la Région Grand Est participe également au projet en investissant deux millions d’euros. Jackie Helfgott, Président de la commission Tourisme du Grand Est, estime que le thermalisme est » une filière d’avenir pour développer l’attractivité du territoire ».
Enfin, Eric Munier, le maire de la commune d’Amnéville, rappelle la nécessité d’avoir de bons équipements pour » des gens qui souffrent, parfois âgés, et qui ont besoin d’êtres entourés pour les soulager de leurs problèmes « .
Mickael Houck
Le rover Perseverance est bien arrivé sur Mars
Accueil/Culture/Sciences
Le rover Perseverance est bien arrivé sur Mars
Le rover de la Nasa nommé Perseverance a atterri sur mars sans problèmes, le jeudi 18 février.
Photographie prise par Perseverance de Mars. Le Figaro.
Le rover de la Nasa Perseverance, a eu un atterrissage sans encombres jeudi 18 février à 21h55. Ce robot va répondre à la question de la vie sur mars.
Un atterrissage incroyable
C’est le premier véhicule aussi gros et sophistiqué qui a pu atterrir sur mars, a rapporté Franceinfo le 19 février.
Ceci est spectaculaire, d’autant plus que la cible visée pour l’atterrissage était microscopique par rapport à la distance parcourue depuis la Terre, a rapporté le Dauphiné.
Une mission d’espoir international pour ce rover
Le but de cette mission ? Trouver des traces de vie! Une mission importante pour une somme dépassant les 2,5 milliards de dollars.
Cet atterrissage incroyable aurait pu mal tourner puisqu’il fallait décélérer de 20 000km/heure à zéro. Mais heureusement, tout s’est bien déroulé. Perseverance a atterri dans un cratère nommé Jezero. Il aurait été formé par l’écrasement d’une météorite il y a quatre milliards d’années. Ce cratère est lui même dans un autre cratère formé par collision avec un astéroïde. Jezero aurait été autrefois un lac, aujourd’hui asséché. L’espoir est d’y retrouver des traces de vie fossiles. Le rover doit réunir des preuves au fond de ce cratère. Pour se faire, il dispose de SuperCam, un instrument franco-américain mis au point par le CNRS et le CNES, a précisé Le Figaro.
Le retour de Perseverance est envisagé pour 2030.
A. R
Pour avoir un bon méchant, faut-il se payer… Hugues Grant ?
Le choix de l’acteur qui incarne l’antagoniste d’un film devient de plus en plus prégnant dans les films contemporains. Relancer des franchises en difficulté tout en offrant des secondes vies à des carrières en déclin, semble se généraliser dans le cinéma. En témoigne la nouvelle adaptation de Donjons et Dragons avec… Hugh Grant !
Photo credit: Steve Granitz
Monsieur Grant, est-ce votre plus beau sourire de… méchant ?
Donjons et Dragons, une franchise à bout de souffle
Donjons et Dragons (D&D) est l’une de ces licences de niche, adulée par les adeptes du jeu de plateau et les amateurs de fantasy, mais qui éprouve des difficultés à s’élargir au grand public. En témoignent les différentes adaptations cinématographiques qui se sont toutes soldées par des échecs cuisants. Les scénarios nanaresques et les budgets serrés étaient grandement critiqués par les amateurs de la franchise et perçus comme les raisons de ces échecs. Néanmoins, cela n’a pas empêché une énième adaptation qui devrait arriver sur les écrans en 2022, mais avec, cette fois, une différence notable. Les studios se sont payés les services d’un acteur de renom : Hugh Grant.
Image tirée d’Allociné
Espérons que la 3D soit de meilleure qualité, comme le jeu des acteurs…
Improbable direction de carrière ou choix audacieux ?
L’information est tombée il y a quelques heures sur le site écran large : Hugh Grant jouera le rôle de l’antagoniste principal dans le prochain film Donjons et Dragons. Ce choix a, pour le moins, surpris une partie de la communauté. En effet, l’acteur a longtemps été la vedette des comédies romantiques des années 90. Si le choix de l’équipe de production de D&D semble au premier abord, quelque peu étrange, celle-ci le justifie par le talent et la réputation de l’acteur.
D’ailleurs, cette opportunité apparaît comme une aubaine pour l’acteur dont la carrière semblait (jusqu’alors) quelque peu à l’arrêt.
Faut-il embaucher un bon acteur pour avoir un bon méchant au cinéma ?
Hugh Grant n’est pas le premier à adopter des rôles aux antipodes de sa panoplie habituelle. D’autres acteurs s’y sont déjà essayé et certains avec brio (Ralph Fiennes et le redoutable Voldemort dans la saga Harry Potter ou même Christoph Waltz en tant que nazi sadique dans Inglorious Basterds…). De manière générale, le choix de l’antagoniste est un enjeu majeur pour toute production cinématographique.
Espérons que la performance d’Hugh Grant saura relever le niveau de la franchise.
R.B
La pêche en avance dans le Doubs
Accueil/Culture/France
03/03/2021
La France et la Suisse décident d’avancer la saison de la pêche en établissant une règlementation spéciale. De nombreux pêcheurs sont déjà au rendez-vous.
Avec deux semaines d’avance, la saison de la pêche débute le 1er mars sur le Doubs (Franche-Comté). La France et la Suisse se mettent d’accord pour établir une règlementation qui autorise les pêcheurs de la rivière-frontière à s’adonner à leur passion avant l’heure (selon Franceinfo mercredi 3 mars).
La ruée sur le poisson
Dès le premier jour, près de 300 cartes de pêche sont vendues. Le temps printanier, les paysages bucoliques, la tranquillité des lieux et les envies « d’autre chose » en sont les raisons (d’après l’Est Républicain).
« D’habitude, on entend ‘Covid, Covid, Covid’. Ici, on entend ‘truite, truite, truite’. »
Frédéric, pêcheur amateur, franceinfo
Malgré le couvre-feu et la fermeture des restaurants, ces journées sont l’occasion pour de nombreux pêcheurs amateurs ne venir se balader, profiter de la nature et se ressourcer avec, bien entendu, un gourmet pique-nique préparé en amont.
Professionnels, amateurs, familles, vacanciers, habitués sont tous présents dans une ambiance conviviale et bon enfant.
Bouvier C.
Coronavirus – Le chat domestique, vecteur du virus ?
Après le pangolin et la chauve-souris, le chat est le nouveau mammifère au cœur des inquiétudes concernant la transmission et les mutations de coronavirus.
Le chat, porteur du virus ?
Notre ami ronronnant pourrait être la source des futures souches de coronavirus selon l’étude « Prédire les hôtes mammifères dans lesquels de nouveaux coronavirus peuvent se développer ». Cette étude a été publiée en février par des scientifiques de l’université de Liverpool, dans Nature Communications. Ils ont utilisé une intelligence artificielle britannique qui a identifié 126 hôtes potentiels de coronavirus. Parmi eux, le chat pourrait ainsi être porteur de plus de 65 coronavirus, dont le Sars-CoV-2.
Une IA britannique au coeur des recherches
Selon le site 20minutes, l’intelligence artificielle fonctionne grâce à un algorithme de données biologiques sur les virus connus et les mammifères, afin de trouver les mammifères pouvant être source de recombinaison. L’IA a ainsi trouvé plus de 100 hôtes potentiels selon Nature Communications, ce qui indique que nous avons sous-estimés le risque de développement d’un nouveau coronavirus à travers les animaux sauvages et domestiques.
L’étude a également mis à jour des nouveaux hôtes potentiels comme le vison, dont un élevage français a été touché pour la première fois en novembre 2020, provoquant la mise à mort de 1000 animaux.
Pas de panique !
Cependant, ne vous inquiétez pas pour votre boule de poils favorite ! Les chats comme les humains peuvent présenter des symptômes bénins de coronavirus, tel qu’un simple rhume. Ainsi, les gestes barrières (se laver les mains etc) sont à répéter dès que l’on arrive à la maison, par précaution pour nos amis félins. Si le chat est susceptible d’attraper et de transmettre le coronavirus, il ne faut cependant pas paniquer car l’étude n’est qu’indicative, et Marcus Blagrove insiste sur le fait que « calculer le risque effectif est infiniment plus complexe » qu’une simple étude, dont les conclusions ne sont pas forcément « justes à 100% » comme l’admet Maya Wardeh.
Agathe Denisart
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