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Utiliser Esi-doc et faire des recherches

Recherches sur un sujet

Objectif : présenter oralement les résultats de recherches sur un sujet

1 Choisis l’un des sujets suivants :

– manipulation mentale

– fake-news

– propagande en temps de guerre

– réseaux sociaux : leurs dangers

– réseaux sociaux : leur intérêt / leurs avantages

– biais cognitifs

 

2 Dans Esi-doc, fais une recherche sur ton sujet. Observe les documents trouvés et repère ceux qui sont les plus intéressants pour toi.

Note précisément les références de trois ou quatre documents.

Récupère les documents dans le CDI, seul pour les ouvrages disponibles ou en t’adressant aux documentalistes pour les ouvrages archivés.

 

3 Lis les documents et prends des notes.

 

4 Présente tes résultats à la classe.

Visite d’Esi-doc

1 Va sur le site du lycée. Dans la colonne de droite, dans la rubrique « liens », clique sur Esi-doc Le CDI en ligne.

Note les titres des onglets proposés. Pour chacun, précise à qui il s’adresse et ce qu’on va y trouver.

 

2 Clique sur l’onglet « élèves ». De nouveaux onglets apparaissent.

Sur quel onglet dois-tu cliquer si tu veux :

Des infos sur la santé ?

Les horaires du CDI ?

Les coups de cœur du CDI ?

Savoir comment citer tes sources ?

Trouver des images gratuites utilisables ?

 

3 Clique sur « chroniques de la nature ». Quelles sont les deux dernières infos mises en ligne ?

 

4 Clique sur « L’essentiel de la culture ».

– Epoque à Caen : qu’est-ce que c’est ?

– Descends dans la page et trouve le carrousel sur le cinéma. Quel livre t’attire le plus parmi ceux présentés ? Pourquoi ? Savais-tu qu’il y avait des documents sur le cinéma au CDI ?

 

5 Clique sur « Place aux filles ».

Quel impact a la réforme sur la place des femmes dans les mathématiques ?

 

6 Dans la case « rechercher », tape le thème « travail » et clique sur « entrée ».

Combien de résultats ont été trouvés ?

Nous avons travaillé sur le sujet : Travaille-t-on uniquement pour gagner sa vie ? Que se passe-t-il si tu tapes ce titre complet de sujet dans la barre de recherche ?

Comment faire alors pour trouver un document qui pourrait apporter des éléments de réponse à cette question ? Quel document me proposes-tu ?

BTS1 Synthétiser les programmes des candidats

L’objectif de cette séance est de permettre à chacun des recherches comparatives sur les programmes des douze candidats à l’élection présidentielle. Cet exercice correspond tout à fait à l’épreuve de synthèse.

En tant qu’enseignante, je défendrai uniquement l’acte démocratique qu’est le vote et je tairai mes opinions politiques. Je compte sur le respect de chaque étudiant ou étudiante pour en faire de même.

1 Rendez-vous sur le site comparatif de Ouest-France :

https://lab-elections.ouest-france.fr/programmes/

2 Choisissez une thématique qui vous intéresse.

3 Lisez les propositions des douze candidats et répondez aux questions suivantes :

– Pour chaque candidat, notez au moins une proposition (sauf s’il n’y en a pas). Quand il y en a plusieurs, notez celle(s) qui vous semble(nt) la(les) plus importante(s).

– Repérez une même proposition faite par au moins deux candidats : quelle est cette proposition ? Quels candidats la proposent ? Y a-t-il des candidats qui proposent une idée contraire ? Si oui, laquelle ? Qui la propose ?

4 Rendez-vous sur le site comparatif du journal Le Monde :

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/02/16/election-presidentielle-2022-comparez-les-programmes-des-principaux-candidats_6113964_4355770.html

5 Recherchez la même thématique et vérifiez si vous trouvez des informations complémentaires.

6 Vous pouvez enfin rechercher dans un moteur de recherche : élection présidentielle + votre thématique et ouvrir quelques sites proposés. Vérifiez sur quels sites vous allez : sites de grands journaux, magazines indépendants, autres ? Que remarquez-vous par rapport aux sites comparateurs de Ouest-France et du Monde ?

7 Reprenez la même démarche (à partir de 1) avec une autre thématique.

8 Temps de mise en commun : présentation au groupe de vos comparatifs sur une thématique.

BTS1 synthèse sur musique et lien social : problématique, plan, rédaction

Problématiques possibles : En quoi la musique crée-t-elle du lien social ? Quelles sont les fonctions de la musique ? A quoi sert la musique ? Qu’apporte la musique dans une société ?…

Plan proposé très complet à partir de toutes les idées repérées :

I On constate que la musique est présente dans toutes les sociétés

1 La musique est un langage, une forme de communication (Cf. C et D)

2 La musique apparait dans toutes les époques, toutes les cultures et dès l’enfance (Cf. F)

3 Elle est dans toutes les sociétés car elle nous touche, nous émeut (Cf. K)

 

II le plaisir que fait naitre la musique vient en partie de l’écoute partagée

1 La musique apporte du plaisir, un plaisir qui ne s’explique pas (Cf. E)

2 La musique réunit, plaisir de l’écoute partagée ( Cf. J)

3 La force de cette cohésion apparait à travers la notion de « communion » (Cf. L)

 

III La musique construit le collectif

1 La musique crée une reconnaissance identitaire (Cf. I)

2 Paradoxe de la musique qui s’appuie sur l’individualité et construit une cohésion sociale (Cf. N et P)

3 La musique fait naître une nouvelle forme de participation politique (Cf. M)

 

On pouvait faire un plan avec seulement 6 paragraphes. Quelques exemples :

I La musique apporte du plaisir (1 un plaisir inexpliqué, une communion / 2 car c’est un langage / 3 et elle nous émeut)

II la musique crée du lien (1 plaisir de l’écoute partagée / 2 reconnaissance identitaire / 3 paradoxe)

Ou

I La musique est universelle (1 partt, tt le tps / 2 car elle nous touche / 3 et c’est un langage)

II la musique crée du lien (1 plaisir de l’écoute partagée / 2 reconnaissance identitaire / 3 participation politique)

 

Exemples d’introduction rédigée :

Aujourd’hui tout le monde, ou presque, écoute de la musique. En s’appuyant sur trois essais et une chanson, nous pourrons nous interroger sur la problématique suivante : en quoi la musique crée-t-elle plaisir et partage ? Pour répondre, nous verrons dans un premier temps les constats du plaisir de la musique, puis ses causes, pour finir par déterminer ses conséquences. Valentin

Dans ce corpus composé de trois essais et d’une chanson, le thème abordé est celui de la musique et de ce qu’elle apporte dans la société. Plus précisément, nous pouvons voir que chaque document parle d’un style de musique différent, et que chaque style apporte quelque chose à celui qui l’écoute. Nous en venons donc à nous demander quels effets la musique a sur son public. C’est ce qu’il adviendra de traiter. Pour ce faire, nous verrons dans un premier temps que la musique rassemble, qu’elle est fédératrice, puis nous verrons que la musique apaise, qu’elle procure du bonheur. Julien

Grâce aux technologies, la musique envahit notre quotidien. On peut en écouter partout. Ces trois extraits d’essais et cette chanson évoquent le rôle de la musique dans nos sociétés. Nous pourrons donc nous demander ce qu’apporte la musique. Nous verrons tout d’abord qu’elle est source de plaisir, avant de montrer qu’elle crée du lien social.

Exemples de paragraphe rédigé :

La musique lie et rassemble les êtres physiquement. Il y a un réel plaisir et un sentiment de lien physique lors des grands rassemblements : les vibrations vécues en chœur, les grands rassemblements des concerts de rock relient les êtres selon Francis Wolff, dans son essai Pourquoi la musique ? paru en 2015. C’est la même idée qu’évoque Béatrice Mabilon-Bonfils dans le chapitre « une nouvelle forme de participation politique ? » de son essai La fête techno. Tout seul et ensemble, paru aux éditions Autrement en 2004. Selon elle, la musique permet de lier les individus qui cherchent une expérience de groupe. La musique permet donc bien de créer des liens et du partage entre les différents individus. Valentin

 

La musique est capable de rapprocher des gens qui ne se connaissent pas, sans même qu’ils aient besoin de se parler. En effet dans l’extrait de Béatrice Mabilon-Bonfils, il est expliqué que les individus qui dansent dans un grand rassemblement sont liés les uns aux autres, même en étant éloignés, car le mouvement leur confère une « entité », tel un rassemblement politique criant des slogans. Ici liés par la musique tout autour d’eux, ils forment un ensemble, et les milliers de personnes que rassemblent les grands événements de techno ne sont plus une foule de gens venus pour leur plaisir mais un groupe soudé. On peut aussi prendre en exemple la chanson « un, deux, trois » de J.J. Goldman. La façon dont est décrit le rock and roll montre bien ce lien que crée la musique entre des personnes qui ne se connaissent pas : « Une religion laïque ». La comparaison entre rock et religion montre que celui-ci a créé un groupe soudé par les idées qu’il véhicule, et ce partout où il est répandu. Bastien

 

La musique est source de cohésion. Elle réunit les gens. Cette idée est développée par Béatrice Mabilon-Beaufils dans le chapitre « une nouvelle forme de participation politique ? » de son essai La fête techno. Tout seul et tous ensemble, paru aux Editions Autrement en 2004. L’essayiste évoque les nombreuses festivités liées à la musique techno, et qui réunissent des centaines voire des milliers de personnes, que ce soit dans des festivals ou des raves. On retrouve la même idée dans la chanson « Un, deux, trois » de Jean-Jacques Goldman, interprétée par Frederiks/ Goldman / Jones aux Editions musicales JRG en 1990.La chanson suggère avec l’emploi du pronom « nous » notamment que la musique se vit ensemble. La musique est donc bien une source d’union, de cohésion.

BTS1 synthèse sur musique et lien social, tableau complet

Pour remplir le tableau, je lis d’abord un document. A chaque fois que je rencontre une idée intéressante, je la note dans une nouvelle ligne du tableau. Puis je lis un deuxième document. A chaque fois que je trouve une idée, je l’écris dans le tableau, soit sur une ligne déjà existante si l’idée apparaissait déjà dans le document précédent, soit sur une nouvelle ligne si l’idée est nouvelle. Puis je fais la même chose avec les 3° et 4° documents. Ensuite je numérote les cases de confrontation (A,B,C,D…) et y inscrit l’idée commune à plusieurs documents.

Ce premier travail prend bien une heure, mais permet de trouver les idées, de confronter les documents, de faciliter la rédaction de la synthèse.

Puis je cherche à classer les idées de la colonne « confrontation » afin de construire un plan. J’utilise ma numérotation pour pouvoir facilement retrouver les exemples dans le tableau. Je cherche aussi une problématique.

 entraînement à la synthèse : Wolff Mabilon Gayraud Goldman

Wolff Mabilon-Bonfils Gayraud Goldman Confrontation
Essai Essai Essai Chanson  
Déf° de la musique = art des sons       A 1 déf de la musique
Pb° pourquoi la musique est partout et nous fait agir ? En quoi voit-elle du politique dans la techno ? La pop est destinée à être entendue et appréciée par tous (bien qu’elle exprime des sensibilités individuelles) La musique (ici le rock and roll) réunit les gens (d’où qu’ils viennent et qui qu’ils soient) B Pb) ou sujet commun des textes : La musique se partage, réunit, crée du lien social
Quel intérêt alors que langage et images sont plus pratiques pour communiquer ? L’auteur voit dans la techno une forme de communication   Certaines musiques sont présentées comme plus parlantes que des mots (réf à Hey Joe) C La musique est une forme de communication
Faire de la musique apporte du plaisir, plus intense que de l’écouter car permet de mieux la comprendre       D > cela suppose que la musique nous parle
La musique apporte du plaisir à être entendue On retrouve le plaisir (à travers la notion d’hédonisme) d’écouter ensemble Référence à Mozart qui voulait créer des musiques agréables à tous Le plaisir d’écouter est évoqué par la découverte de la musique par la radio ; insistance sur son importance par l’expression « c’était ma vie » E La musique apporte du plaisir à être écoutée
La musique plait à toutes les époques (exemples donnés : musique de chambre, concerts, veillées…)   Ouverture sur d’autres époques avec réf à Mozart On ne sait pas expliquer pourquoi ça nous touche « tu comprends rien mais que ça sonne » F La musique touche la plupart des gens, dans toutes les cultures, sans savoir pourquoi
Il existe 2 types d’écoute : occasionnelle (avion, supermarchés) et volontaire (choisie)   La musique peut avoir un but industriel   G 2 types d’écoute
La musique apporte des émotions positives grâce à des moments vécus ensemble       H
La musique apporte des émotions positives grâce au plaisir de faire partie d’un groupe dans lequel on se reconnait. – lié à un style, des valeurs…)

Nbx exemples de musiques partagées (église, guerre, concert)

La techno génère un lien entre les individus. Ils s’y reconnaissent Les hits permettent la reconnaissance immédiate d’un morceau. C’est une culture commune. Evocation du rock : points communs de ceux qui l’écoutent : coupe de cheveux, vêtements I La musique crée du lien entre les hommes par une reconnaissance identitaire
La musique est marqueur d’identités

Elle crée la cohésion

La techno réunit : raves géantes, festivals… La destination de la pop est de réunir la collectivité, d’enseigner la bienveillance, au-delà des clivages Le rock réunit avec le mot final « ensemble » et l’expression « tous même direction » J La musique réunit
La musique nous touche : corps (elle fait danser, agir) esprit (émotions) La musique crée des sensations     K La musique nous touche, nous émeut
Evocation de l’église où l’on chante : les gens partagent, sont en communion La musique est présentée comme une communion   Même notion de communion insistance avec l’oxymore « religion laïque » et temple

 

L La musique met les gens en communion, un être-ensemble intime
  La musique permet une participation au politique dans le sens où politique = relations tissées par les citoyens pour appartenir à un groupe social ici la techno joue ce rôle La musique pop est populaire au sens politique, c’est-à-dire accessible à tous et réconciliatrice, elle permet de tisser des liens entre des gens qui n’ont d’autres points communs L’auteure parle de « démocratie esthétique » M Aspect politique de la musique : elle relie les citoyens
  Paradoxe : la techno réunit des milliers de personnes mais chacun dans ses sensations, son propre ressenti La pop s’appuie sur les individualités ; elle est un langage pour exprimer les différences, les individualités. C’est ce qui fait qu’elle construit une cohésion entre les hommes   N Paradoxe de la musique : elle s’appuie sur l’individuel pour mieux relier les hommes entre eux
  Elle symbolise le déclin des instances collectives habituelles

> nouveau moyen de communication et de cohésion sociale

    O > nouveau moyen de communication et de cohésion sociale
  Préjugé : la techno serait la musique du chacun pour soi et symbole de société super individualiste

A casser : elle reconstitue le collectif

    P Préjugé à casser > la musique reconstitue le collectif

 

BTS1 synthèse sur musique et lien social

Sujet proposé par Bruno Rigolt, dans l’anthologie Etonnants Classiques.

Entraînement à la synthèse : Wolff Mabilon Gayraud Goldman

Pour remplir le tableau, je lis d’abord un document. A chaque fois que je rencontre une idée intéressante, je la note dans une nouvelle ligne du tableau. Puis je lis un deuxième document. A chaque fois que je trouve une idée, je l’écris dans le tableau, soit sur une ligne déjà existante si l’idée apparaissait déjà dans le document précédent, soit sur une nouvelle ligne si l’idée est nouvelle. Puis je fais la même chose avec les 3° et 4° documents. Ensuite je numérote les cases de confrontation (A,B,C,D…) et y inscrit l’idée commune à plusieurs documents.

Ce premier travail prend bien une heure, mais permet de trouver les idées, de confronter les documents, de faciliter la rédaction de la synthèse.

Puis je cherche à classer les idées de la colonne « confrontation » afin de construire un plan. J’utilise ma numérotation pour pouvoir facilement retrouver les exemples dans le tableau. Je cherche aussi une problématique.

Exercice : complétez le tableau en trouvant dans les documents de Mabilon, Gayraud et Goldman des idées à relier à celles proposées pour le premier document de Wolff.

Wolff Mabilon-Bonfils Gayraud Goldman Confrontation
Essai Essai Essai Chanson
Déf° de la musique = art des sons A 1 déf de la musique
Pb° pourquoi la musique est partout et nous fait agir ? B Pb) ou sujet commun des textes : La musique se partage, réunit, crée du lien social
Quel intérêt alors que langage et images sont plus pratiques pour communiquer ? C La musique est une forme de communication
Faire de la musique apporte du plaisir, plus intense que de l’écouter car permet de mieux la comprendre D > cela suppose que la musique nous parle
La musique apporte du plaisir à être entendue E La musique apporte du plaisir à être écoutée
La musique plait à toutes les époques (exemples donnés : musique de chambre, concerts, veillées…) F La musique touche la plupart des gens, dans toutes les cultures, sans savoir pourquoi
Il existe 2 types d’écoute : occasionnelle (avion, supermarchés) et volontaire (choisie) G 2 types d’écoute
La musique apporte des émotions positives grâce à des moments vécus ensemble H La musique apporte des émotions positives
La musique apporte des émotions positives grâce au plaisir de faire partie d’un groupe dans lequel on se reconnait. – lié à un style, des valeurs…)

Nbx exemples de musiques partagées (église, guerre, concert)

I La musique crée du lien entre les hommes par une reconnaissance identitaire
La musique est marqueur d’identités

Elle crée la cohésion

J La musique réunit
La musique nous touche : corps (elle fait danser, agir) esprit (émotions) K La musique nous touche, nous émeut
Evocation de l’église où l’on chante : les gens partagent, sont en communion L La musique met les gens en communion, un être-ensemble intime
M Aspect politique de la musique : elle relie les citoyens
N Paradoxe de la musique : elle s’appuie sur l’individuel pour mieux relier les hommes entre eux
O > nouveau moyen de communication et de cohésion sociale
P Préjugé à casser > la musique reconstitue le collectif

 

 

BTS : les héros ; tableau de confrontation

Travail effectué à partir de 3 des 4 documents du sujet de mai 2017, consultable ici.

Pour comparer les documents, l’idéal est de faire un tableau. On complète la première colonne avec les idées esssentielles d’un premier document.

Article Pangrazzi  Article U.Eco
 Affiche Emmaüs
 Confrontation
§1 Exemples de gens qui un jour ont fait preuve d’un grand courage pour aider les autres = héros

 

 

§1 définition du héros : quelqu’un de courageux et d’altruiste, prêt à risquer sa vie pour aider les autres

 

 

§2 Les héros existent depuis toujours : déjà dans l’antiquité.

 

 

§2 Ils renvoient à ce que l’homme rêve d’être : courageux, défendant ses idéaux jusqu’au bout.

 

 

§3 L’intérêt du héros pour la société : il défend des valeurs intemporelles

 

 

§3 Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse

 

§4 -> c’est possible pour tous de devenir un héros, encourageant / §5 Chacun peut être un héros : il faut s’entrainer à agir davantage pour plus de justice.
§6 Pas besoin de risquer sa vie pour être un héros, il suffit de défendre ses idées, en développant des activités utiles aux autres.

 

Puis on remplit la deuxième colonne avec les idées contenues dans le deuxième document. On met en face à face les idées communes (ou opposées) avec le premier.

 

Article Pangrazzi Article U.Eco  Affiche Emmaüs
Confrontation
§1 Exemples de gens qui un jour ont fait preuve d’un grand courage pour aider les autres = héros
§1 définition du héros : quelqu’un de courageux et d’altruiste, prêt à risquer sa vie pour aider les autres §1 Eco évoque les héros de fiction, ils possèdent des pouvoirs surhumains
§2 Les héros existent depuis toujours : déjà dans l’antiquité. §1 exemples de héros d’époques et de civilisations diverses
§2 Ils renvoient à ce que l’homme rêve d’être : courageux, défendant ses idéaux jusqu’au bout. §1 le héros de fiction réussit ce que l’homme réel ne peut faire dans sa société.

§3 Le lecteur s’identifie à Superman, en rêvant de cacher en lui un être extraordinaire

§3 L’intérêt du héros pour la société : il défend des valeurs intemporelles
§3 Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse §3 Superman = un homme extraor qui se cache derrière un homme ordinaire (Clark Kent)
§4 -> c’est possible pour tous de devenir un héros, encourageant / §5 Chacun peut être un héros : il faut s’entrainer à agir davantage pour plus de justice. §2 description détaillée des pouvoirs extraordinaires de Superman (s’oppose à l’idée du texte 1)
§6 Pas besoin de risquer sa vie pour être un héros, il suffit de défendre ses idées, en développant des activités utiles aux autres.
§1 Bcp de héros de fiction ont des pouvoirs surhumains (exemples)

 

On fait la même chose avec les autres documents.

 

Article Pangrazzi Article U.Eco Affiche Emmaüs  Confrontation
§1 Exemples de gens qui un jour ont fait preuve d’un grand courage pour aider les autres = héros La personne en photo sert d’exemple, symbolise les héros ordinaires
§1 définition du héros : quelqu’un de courageux et d’altruiste, prêt à risquer sa vie pour aider les autres §1 Eco évoque les héros de fiction, ils possèdent des pouvoirs surhumains Un homme extraordinaire, c’est quelqu’un qui aide les autres.
§2 Les héros existent depuis toujours : déjà dans l’antiquité. §1 exemples de héros d’époques et de civilisations diverses Référence à notre société actuelle.
§2 Ils renvoient à ce que l’homme rêve d’être : courageux, défendant ses idéaux jusqu’au bout. §1 le héros de fiction réussit ce que l’homme réel ne peut faire dans sa société.

§3 Le lecteur s’identifie à Superman, en rêvant de cacher en lui un être extraordinaire

§3 L’intérêt du héros pour la société : il défend des valeurs intemporelles
§3 Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse §3 Superman = un homme extraor qui se cache derrière un homme ordinaire (Clark Kent) Affiche qui repose sur 1 opposition : gros plan d’un homme ordinaire /

slogan > derrière cette apparence se cache qqn d’extraordinaire.

§4 -> c’est possible pour tous de devenir un héros, encourageant / §5 Chacun peut être un héros : il faut s’entrainer à agir davantage pour plus de justice. §2 description détaillée des pouvoirs extraordinaires de Superman (s’oppose à l’idée du texte 1)
§6 Pas besoin de risquer sa vie pour être un héros, il suffit de défendre ses idées, en développant des activités utiles aux autres. Chacun peut être un héros en se rendant utile et en se dépassant pour aider les autres
§1 Bcp de héros de fiction ont des pouvoirs surhumains (exemples)

 

On utilise la dernière colonne pour noter l’idée commune. Cette dernière colonne sert ensuite pour réfléchir à une problématique et à un plan.

 

Article Pangrazzi Essai U.Eco Affiche Emmaüs Confrontation
§1 Exemples de gens qui un jour ont fait preuve d’un grand courage pour aider les autres = héros La personne en photo sert d’exemple, symbolise les héros ordinaires L’altruisme est héroïque.
§1 définition du héros : quelqu’un de courageux et d’altruiste, prêt à risquer sa vie pour aider les autres §1 Eco évoque les héros de fiction, ils possèdent des pouvoirs surhumains Un homme extraordinaire, c’est quelqu’un qui aide les autres. Définir le héros : fictif ou réel, avec ou sans pouvoirs
§2 Les héros existent depuis toujours : déjà dans l’antiquité. §1 exemples de héros d’époques et de civilisations diverses Référence à notre société actuelle. Les héros ont tjrs existé.
§2 Ils renvoient à ce que l’homme rêve d’être : courageux, défendant ses idéaux jusqu’au bout. §1 le héros de fiction réussit ce que l’homme réel ne peut faire dans sa société.

§3 Le lecteur s’identifie à Superman, en rêvant de cacher en lui un être extraordinaire

Le héros renvoie à ce que l’homme rêve d’être.
§3 L’intérêt du héros pour la société : il défend des valeurs intemporelles Le héros défend des valeurs intemporelles.
§3 Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse §3 Superman = un homme extraor qui se cache derrière un homme ordinaire (Clark Kent) Affiche qui repose sur 1 opposition : gros plan d’un homme ordinaire /

slogan > derrière cette apparence se cache qqn d’extraordinaire.

Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse
§4 -> c’est possible pour tous de devenir un héros, encourageant / §5 Chacun peut être un héros : il faut s’entrainer à agir davantage pour plus de justice. §2 description détaillée des pouvoirs extraordinaires de Superman (s’oppose à l’idée du texte 1) Devenir un héros > accessible à tous ?
§6 Pas besoin de risquer sa vie pour être un héros, il suffit de défendre ses idées, en développant des activités utiles aux autres. Chacun peut être un héros en se rendant utile et en se dépassant pour aider les autres On peut être un héros en étant utile aux autres.
§1 Bcp de héros de fiction ont des pouvoirs surhumains (exemples)

 

BTS1 : Thème : l’extraordinaire, article de Pangrazzi

En octobre dernier, alors que des pluies diluviennes s’abattaient sur le sud de la France, Jean-Luc Duhamel, habitant sans histoire de Mandelieu-La Napoule a, lui, risqué sa vie pour sauver celle de ses voisins. Quelques semaines auparavant, Spencer Stone et Alek Skarlatos avaient servi de bouclier humain dans le Thalys reliant Paris à Amsterdam avant de désarmer un terroriste. Ces hommes et ces femmes sont des héros. Autrement dit, des individus remarquables pour leur bravoure et leur dévouement à autrui. Les héros fascinent et suscitent l’admiration. Pourquoi agissent-ils face au danger alors que la plupart d’entre nous restent pétrifiés d’effroi ?

« Qu’ils soient fictionnels ou réels, les héros représentent un idéal, une aspiration », souligne le philosophe et psychanalyste Frédéric Vincent, auteur du Réenchantement du monde. « Ils ont toujours accompagné la vie des hommes, les Grecs en parlaient comme des «demi-dieux», les Romains comme des «hommes d’une très grande valeur ». Leur point commun ? Leur capacité à prendre des risques quasi de manière sacrificielle pour une cause qui leur paraît juste. Le héros persévère en dépit de l’adversité.

La société vénère elle aussi ses héros. « Dans un monde sans repères, ballotté par le chômage, les crises économiques, les héros favorisent la cohésion sociale, cristallisent notre besoin d’idéal autour de valeurs nobles comme la justice, la solidarité, la générosité. Ils transmettent aussi l’idée que la vie peut surmonter les tragédies », souligne Frédéric Vincent. Des porteurs d’espoir rappelant à chacun d’entre nous que le héros n’est rien d’autre qu’un individu ordinaire qui a su transfigurer son existence.

« Nous pouvons nous aussi devenir des héros du quotidien, avance Scott Allison. Il suffit de faire les choix qui s’imposent à notre conscience, comme ne pas fermer les yeux quand une vieille dame a besoin d’aide pour traverser la rue, prendre parti pour un collègue qui subit des harcèlements, ou encore rayer la plainte de son vocabulaire. » « Ce sont les petits actes qui créent les grandes rivières, ajoute Abigail Marsch. Nous avons observé que des exercices simples répétés quotidiennement pendant deux mois permettent de modifier durablement les structures cérébrales en créant de nouveaux circuits neuronaux. »

C’est aussi ce que propose Philip Zimbardo avec son « Heroic Imagination Project » (le projet d’imagination héroïque). Selon lui, nous pouvons tous choisir de devenir des justiciers du quotidien. Son conseil ? Se lancer dans une action volontaire qui rend service à autrui et nous demande un effort tout en restant désintéressée. Chaque semaine, il propose de relever de petits challenges comme créer du lien social dans son voisinage, discuter avec des collègues qui ne nous intéressent pas, ou juste échanger quelques mots avec des inconnus dans le bus.

Il a aussi lancé un programme pour les collégiens et les lycéens afin de leur enseigner l’héroïsme. Avec succès. Une chercheuse qui a évalué le courage d’élèves ayant suivi un programme similaire (Hero Construction Company) a en effet constaté que leur courage avait augmenté après les sessions. « Nous ne pouvons pas tous devenir des héros en risquant notre existence, conclut Philip Zimbardo. Mais nous pouvons, au moins, essayer d’en emprunter la voie. »

Christelle Pangrazzi, « Tout le monde peut-il être un héros ? » Ca m’intéresse n° 419, janvier 2016

 

Reformuler les idées essentielles de chaque paragraphe. Corrigé :

Paragraphe 1 : Exemples de gens qui un jour ont fait preuve d’un grand courage pour aider les autres = héros

-> définition du héros : quelqu’un de courageux et d’altruiste, prêt à risquer sa vie pour aider les autres.

Paragraphe 2 : Les héros existent depuis toujours : déjà dans l’antiquité.

Ils renvoient à ce que l’homme rêve d’être : courageux, défendant ses idéaux jusqu’au bout.

Paragraphe 3 : L’intérêt du héros pour la société : il défend des valeurs intemporelles.

Le héros = un homme ordinaire qui se dépasse

Paragraphe 4 :  c’est possible pour tous de devenir un héros > encourageant

Paragraphe 5 : Chacun peut être un héros : il faut s’entrainer à agir davantage pour plus de justice.

Paragraphe 6 : Pas besoin de risquer sa vie pour être un héros, il suffit de défendre ses idées, en développant des activités utiles aux autres.

BTS1 : réviser l’accord sujet-verbe

Révisez l’accord sujet-verbe en lisant cette page :

https://leconjugueur.lefigaro.fr/fraccordsujet.php

 Exercice : Pour chaque phrase proposée, expliquez avec quoi est accordé le verbe souligné.

 Correction de l’exercice

Lise et moi travaillons ensemble.

  Qui a travaillé ensemble ?

        Lise et moi = nous, donc verbe conjugué à la 1° personne du pluriel

 

Les trois quarts des élèves ont fini.

Qui a fini ?

        Les trois quarts des élèves : groupe pluriel donc verbe au pluriel

 

La majorité des élèves a/ont fini. (les 2 solutions sont possibles)

  Qui a fini ?

        La majorité des élèves > le nom principal du sujet, c’est « majorité » qui est singulier, donc l’idéal est de mettre le verbe au singulier. Mais avec les expressions comme « la majorité » ou « la plupart » on accepte un verbe au pluriel.

 

L’un ou l’autre devra exposer le travail.

Qui devra exposer le travail ?

        C’est l’un ou l’autre, ici « ou » indique un choix (singulier ou singulier > verbe au singulier)

Mais on écrira : les uns ou les autres devront… (pluriel ou pluriel > verbe au pluriel)

On écrira aussi : Soit Marc, soit les autres devront… (singulier ou pluriel > verbe au pluriel)

 

L’un et l’autre devront rendre le devoir.

  Qui devra rendre le devoir ?

        C’est l’un et l’autre, ici « et » marque une addition > verbe au pluriel

 

Ce groupe d’élèves est sympathique.

Qui est sympathique ?

        C’est « ce groupe d’élèves ». Le nom principal est singulier « ce groupe » > verbe au singulier

 

Chacun viendra récupérer ses affaires à un horaire précis.

Qui viendra récupérer ses affaires ?

        C’est « chacun », pronom singulier > verbe au singulier

 

Aucun d’eux n’a pu entrer.

Qui a pu entrer ?

        C’est « aucun d’eux ». Le mot principal est le pronom « aucun » qui est singulier > verbe au singulier.

 

On s’attend à gagner le prochain match.

  Qui s’attend à gagner le match ?

        C’est « on », pronom indéfini singulier > verbe à la troisième personne du singulier

 

BTS1 : Débat Q-Sort

Le « Question-sort » en anglais, est une technique qui révèle les représentations personnelles des participants. Il consiste à soumettre une série de propositions variées et disparates parmi lesquelles chaque participant choisit celles auxquelles il adhère et celles qu’il rejette. Il confronte ensuite ces choix à ceux du groupe.

 

Objectifs

– Faire émerger les représentations, préjugés et idées reçues sur un thème.

– Permettre de les exprimer et de les préciser.

– Créer une demande d’approfondissement en ouvrant le débat et l’échange.

En résumé, cela permet de passer du préjugé au questionnement.

 

Déroulement

Le « jeu » (45 minutes)

Chaque personne réfléchit individuellement à la liste d’items* qui lui est proposée et doit identifier :

– 3 items qui lui paraissent vrais ;

– 3 items qui lui paraissent faux.

Ce premier temps dure en général 10 minutes.

Une liste de 15 à 20 items liés au sujet est jointe à la fin de ce document.

Les personnes se réunissent ensuite au hasard en petits groupes de 3 à 5 personnes, par exemple, avec son voisin de gauche et de droite. Ils choisissent alors ensemble 3 items qui paraissent unanimement vrais et 3 unanimement faux. Ils notent aussi sur une partie de leur feuille, les items sur lesquels il ne peut y avoir consensus.

Ce temps mérite d’être assez long, à savoir 30 minutes : c’est un moment de confrontation des représentations dans un groupe et de construction d’un argumentaire.

 

Chaque groupe expose ensuite ses résultats à l’ensemble des participants. L’animateur inscrit dans trois colonnes au tableau : les items vrais, les faux et les divergents.

 

L’analyse (45 minutes)

Le tableau met en évidence les divergences et les points de convergence entre groupes. L’animateur peut laisser place à un temps d’échange où il est possible de débattre, demander des précisions, reformuler des arguments…

Pour finir, il est possible de prendre un dernier temps pour vérifier, tous ensemble, si un item est incontestablement vrai ou faux ou partiellement vrai.

 

Postures de l’animateur

L’animateur est celui qui distribue la parole, il est le garant du cadre.

Dans le cas présent, il est important pour l’animateur (afin de maîtriser le temps et de maintenir une dynamique) de ne choisir qu’une quinzaine d’items parmi ceux proposés ci-après. L’animateur peut aussi en proposer des nouveaux pour aborder un aspect qui lui semble important.

Les numéros des items
  Unanimement VRAI Unanimement FAUX Divergeant
Groupe 1 1-3-4 2-10-11 2-7-8-9…
Groupe 2 3-7-10 5-6… 4-8-10…
Groupe 3 2-4… 3-5…

 

Naufrages en méditerranée

 

Série de reportages sur France Info

 

Items

Moi Mon groupe
Vrai Faux Vrai Faux
1 L’action des ONG en mer comme SOS Méditerranée est illégale.    
2 L’assistance à personne en danger est un devoir pour tous les capitaines.    
3 La présence de navires de sauvetage pousse plus de personnes à prendre la mer.    
4 Les navires humanitaires vont chercher les gens directement en Libye.    
5 Ramener des rescapé(e)s en Libye est illégal et dangereux.    
6 Les navires d’ONG font le jeu des passeurs en sauvant des migrant(e)s dans les eaux internationales    
7 Les ONG comme SOS Méditerranée communiquent avec les passeurs.    
8 Toutes les embarcations secourues ne sont pas en détresse.    
9 Il faut 3 heures de bateau pour rejoindre l’Italie de la Libye.    
10 Les corps noyés ne sont jamais retrouvés.    
11 Les réfugié(e)s fuient pour de multiples raisons, pas seulement à cause de la guerre.    

 

Éléments de réponses :

 

1 FAUX L’action des ONG en mer comme SOS Méditerranée est légale… et vitale. L’ONG a toujours opéré dans le plus strict respect du droit maritime et international. Plusieurs conventions internationales définissent les obligations de secours en mer, dont la convention SOLAS de 1974. SOS Méditerranée informe systématiquement les autorités maritimes à toutes les étapes de ses opérations de recherche et de sauvetage.
2 VRAI Devoir moral et obligation légale de « prêter assistance à quiconque est trouvé en péril en mer » : Convention des Nations-Unies sur le droit de la mer de 1982. Il appartient aux États de coordonner les opérations de sauvetage dans les eaux internationales. Cela ne signifie pas nécessairement que toutes les opérations sont menées par des navires d’État. Un navire marchand ou tout autre navire privé à proximité des personnes en détresse peuvent porter secours.
3 FAUX Les atrocités vécues en Libye poussent des femmes, des hommes et des enfants à fuir par la mer lorsque la météo le permet. La théorie de « l’appel d’air » est démentie par les faits et par des études scientifiques. Entre 2015 et 2019, au moins 13 159 personnes ont péri en Méditerranée. Ne pas secourir des personnes en mer sous prétexte d’en dissuader d’autres d’essayer serait inhumain et cynique.
4 FAUX L’Ocean Viking, le bateau de SOS, porte secours aux embarcations en perdition dans les eaux internationales. Il n’entre jamais dans les eaux libyennes ni sur son territoire. Sa position est en permanence enregistrée.
5 VRAI Le droit maritime proscrit le débarquement des rescapé.es car ce n’est pas un « lieu sûr » car un sauvetage maritime n’est terminé que si les survivant.es ont été dans un lieu où leur vie n’est plus menacée et où ils et elles peuvent recevoir de la nourriture, un abri et des soins médicaux.
6 FAUX Les ONG répondent à une situation humanitaire urgente en mer, et sauvent des vies ! Ce n’est pas la présence des ONG, mais le contexte politique et social (violation des droits humains) qui fabrique un marché pour les passeurs.
7 FAUX Toute opération de sauvetage de SOS Méditerranée est menée en lien avec les autorités compétentes. Elles sont informées de manière systématique à chaque étape des opérations. A chaque mission, des journalistes indépendants sont accueilli.es à bord et peuvent témoigner de tout ce qu’il s’y passe.
8 FAUX Embarcations inaptes à la navigation, surchargées, sans suffisamment de vivres, d’eau et de fuel, elles sont bien en détresse même si elles ne sont pas toutes en train de couler.
9 FAUX Il faut plusieurs jours pour arriver sur la côte italienne, à condition d’avoir un bateau adapté et de savoir naviguer.
10 VRAI /FAUX La plupart des corps engloutis ne sont jamais retrouvés : ce qui fait de la Méditerranée le plus grand cimetière marin du monde. Quand ils sont récupérés sur une épave, ils sont généralement enterrés dans des tombes anonymes. Les familles ne sauront jamais ce qui est arrivé à leurs proches.
11 VRAI Il existe beaucoup de raisons de partir : service militaire à vie, mariage forcé, orientations sexuelles, minorité religieuse ou ethnique, trouver une école pour poursuivre des études…

 

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