Cette vidéo retrace le parcours que fait Hervé JONCOUR accompagné d’un Chinois, d’un Hollandais et d’un Japonais pour aller de Lavilledieu, sa ville dans le sud de la France à Shirakawa au Japon. C’est dans cette ville japonaise qu’Hervé JONCOUR achète les vers à soie et les ramène ensuite en France pour commencer la production de l’année.
Montage à partir de l’application TravelBoast et InShot, Musique : « Morning » par LiQWYD
J’ai choisi cette musique car je la trouve calme et propice au voyage. J’ai essayé de faire en sorte que les moments précis de la musique comme une note de piano jouée plus forte soit au moment où les lieux de passage du voyage d’Hervé JONCOUR apparaissent. De plus, le contour des pancartes où sont inscrits les noms des villes ou provinces est rouge pour rappeler le drapeau japonais qui est blanc avec un rond central rouge.
Faute d’avoir une image de cheval sur l’application, j’ai choisi de le remplacer par un avion pour le différencier des autres modes de transport pris par Hervé. Malheureusement, l’application que j’ai utilisée n’utilisait pas de carte qui date de 1860, année où se déroule l’histoire de Soie.
Dans cette vidéo j’ai décidé de mettre tous les lieux disponibles sur l’application où passe Hervé JONCOUR et non que 2 ou 3. En effet, je trouve important de retracer le chemin presque exact du personnage car cela aide le lecteur à mieux se situer d’autant plus que les villes évoquées au Japon ne sont pas forcément connues de tous. Moi-même j’ai découvert de nouvelles villes du monde. Bien sûr les villes de Lavilledieu ou encore Shirakawa sont les plus importantes car c’est à ces endroits que se passe la moitié du roman mais je trouve que les autres villes sont tout autant importantes. On peut lire dans le livre plusieurs fois le même chapitre car il retrace le voyage entre la France et le Japon, cependant certains lieux sont évoqués différemment selon le moment de l’histoire comme le lac Baïkal qui au début est surnommé la « mer » (p.31), puis « le démon » (p.45), puis « le dernier » (p.69) et enfin « le saint » (p.97).
