« Lorsque le soleil commencera à décliner à l’horizon, laissant derrière lui des teintes chaudes d’orange et de rose, nous rassemblerons nos serviettes et nos rires à venir. »
« Lorsque le soleil commencera à décliner à l’horizon, laissant derrière lui des teintes chaudes d’orange et de rose, nous rassemblerons nos serviettes et nos rires à venir. »
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Très bon travail qui semble personnel, et te tenir à cœur. Il y a différents style dans les poèmes ce qui les rends agréable à lire. Chaque poème est unique et raconte sa propre histoire. Les émotions sont présentes à quasiment chaque vers, si on peut appeler ça comme ça. L’utilisation des vers libres donne une originalité, comme si je lisais un roman.
Le fragment du kaléidoscope selon moi le plus intéressant est SOUVENIR DU BOIS RAOUL. Je trouve que ce poème est particulièrement bien écrit. On y voit un touche personnelle, qui est mise en avant notamment ta relation avec ton frère. Cette dernière est émouvante dans la façon dont elle est racontée. Précis mais en même temps vague. Des petites fautes qui n’enlèvent en rien le fait que le travail est bien réalisé.
Annotation de l’annotation :
Tout d’abord une posture de naïf car j’ai envie de posé des questions sur pleins de moments dans les poèmes. Mais aussi une posture critique car on pourrait très bien étudier les différents poème plus en profondeur afin de mieux comprendre les messages véhiculés.
(ANNOTATION DE PROF. ALEXANDRE)
C’est un travail un très bon travail dans lequel on ressent à plusieurs moments une touche très personnelle.Le futur y est bien marqué notamment par l’utilisation de l’expression « à venir » qui ancre le récit dans celui-ci. Attention tout de même à ne pas trop l’utiliser, je l’ai parfois trouvé redondante. Certaines fautes se sont immiscées notamment des fautes d’accord et de conjugaison ainsi qu’une confusion entre « ses » et « ces ». Outre cela c’est un travail rondement mené qui devrait être lu par tout le monde.
Le fragment de kaléidoscope selon moi le plus intéressant est « SOUVENIR DE JAMEL ». Tout d’abord je ne m’attendais pas du tout à retrouver un texte parlant de Jamel Debbouze, cela apporte un contraste qui me plaît beaucoup. On y parle même du Marsupilami. Le poème commence par une répétition du mot « temps » et parle d’une « valse à mille temps », je ne peux m’empêcher d’y voire une référence à la chanson de Jacques Brel. Jamel Debbouze est ici évoqué comme étant un héros mystérieux, sur la piste du Marsupilami, un guerrier ayant perdu un bras. Un héros mythologique qui s’accorde tout de même un instant pour se refaire une beauté pendant sa quête, ce qui apporte encore un fois un côté décalé dans ce poème qui dénote déjà du reste. Le reste du poème reste dans l’irréel, comme si le héros, qui peut lire dans les pensées, pouvait contrôler le silence et le faire devenir brouhaha.
Annotation de l’annotation :
Je pense avoir adopté une posture d’éditeur, je me suis basé sur ce que Landeline a écrit et l’ai mise en garde sur l’écriture de certains mots ainsi que sur les accords afin de peut être l’inciter à la relecture pour s’améliorer. J’ai aussi utilisé la première personne du singulier dans une partie plus personnelle afin d’apporter un côté plus subjectif à l’annotation.
(ANNOTATION DE PROF. SOIG)