Bien le bonjour petite curieuse, petit curieux ! Je suppose que si vous avez cliqué sur cet article, c’est pour découvrir ce que contient le répondeur de notre chère Thérèse Desqueyroux, héroïne du roman éponyme. Eh oui, j’ai réussi par un pur hasard à découvrir quelques-uns de ses derniers messages reçus et envoyés dans son téléphone. Trouvant cela plutôt intéressant, j’ai décidé de les dévoiler au monde entier. Alors ouvrez bien vos oreilles et cliquer sur le premier pour le découvrir.
Coupe du tableau de Rémy Cogghe : Madame reçoit
Voici le premier message que j’ai pu récupérer. Celui-ci a été envoyé par Bernard Desqueyroux, vous savez le mari de Thérèse, enfin son ex-mari ? Bref, ce message a été communiqué le 17 juin 1906 à 14h35 ! Écoutez-le !
Non mais vous vous rendez compte, ce pauvre Bernard abandonné par sa femme et se retrouvant seul dans sa maison. Si au moins elle lui répondait au téléphone. Mais non aucun signe de vie. Bon passons au second message. D’après ce que j’ai pu lire, celui-ci a été envoyé le 19 juin à 19h14 toujours par notre cher Bernard.
Vraiment quel pauvre homme ce Bernard, délaissé par son épouse et plein de tristesse. Bref arrêtons de nous apitoyé sur son sort et continuons nos petites découvertes. Voici maintenant un nouveau message, mais aussi l’arrivé d’une nouvelle personne, celle que nous attendons tous depuis le début, j’ai nommé Madame Thérèse Desqueyroux ! Mais que peut-elle donc raconter ? Écoutez le message vocal qu’elle a envoyé le 13 juillet 1906 à 2h47. Comment ça 2h47 ? Et bien dis donc elle est sacrément matinale cette Thérèse, ou bien n’était-elle pas encore couchée ???
Oh la la la ! si je puis-je me permettre, je trouve qu’elle a l’air complément dépassée la pauvre Thérèse. Je ne suis pas si sûr que sa nouvelle vie à la capitale lui plaise et l’aide réellement à avancer dans sa vie. En plus de tout ça, pour une fille de maire, je la trouve toute même assez grossière, vous ne trouvez pas ? D’ailleurs, en parlant du maire, devine de qui est le dernier message que j’ai pu trouver ? En plein dans le mille, Mr le maire en personne ! Un message bien personnel de Jérôme Larroque envoyé le 13 juillet 1906 à 11h52 et destiné à sa fille. Aïe, aïe, aïe, ça ne présage rien de bon tout ça …
Et bien, dis donc, effectivement, ça serait vraiment dommage que cette histoire s’ébruite … Oups
Oui, oui, oui, c’est déjà fini pour aujourd’hui ! C’est tout ce que j’ai réussi à récupérer dans le téléphone de Thérèse Desqueyroux. J’espère tout de même que ça vous a plu et je vous dis à bientôt pour peut-être de nouveaux petits secrets !
Article écrit par votre détective préféré : Jérémy !
