Carla, Marie, Sam, Pauline
Catégorie : De artibus
L’envol
Un bilan…poétique
Ah Venise, c’était magnifique
N’est-ce pas Anna ?
Ah Venise ! C’était.. unique !
N’est-il pas Marie ?
C’était un voyage inoubliable
N’est-ce pas vrai Carla ?
Oui vraiment, c’était mémorable
Pas vrai, Camille ?
Un voyage à Venise, c’est formidable !
Plein de coquelicots pour Madame Velot !
Un voyage à Venise, c’est formidable !
N’est-ce pas Monsieur Vinit ?
Avec Lucie qui est dans le lot
Une belle aventure, à vos côtés !
Claire ne vois-tu pas de ce côté ?
Il y a Valentin « Oui c’est Moi ! »
Avec sa belle Elektra « Missa ! »
Regardez tous ! Un Rapace !
Il s’étale par terre, pauvre Edgar !
Victor à ses côtés qui ne dit rien
Nous tous a rigolé c’était vraiment bien
Gaston regarde par là, mais s’en fiche clairement
L’étalé se relève et suit notre amusement
Il n’y a aucun paradoxe c’est certain
D’ailleurs Dao, personne ne le nie
Tout le monde est au top, pas de vilains
Comme dit Mme Tarragoni
Une véritable découverte
Faite par Audrey
Vraiment vivifiante l’experte
Ce que n’est pas M. Cadhilac, HEY !
Que fais tu l’asiatique ?
Pas de photos de nos élèves !
Il faut la permission sarcastique
De Célian et Sam qui se lèvent !
Direction BURANO !
Sans oublier notre Clotilde
Et on poursuit par Murano
Émerveillement de Dayane notre id…
Une idole ici ? Je ne vois que des humains !
Eva aide moi !
Ce serait cool de lui serrer la main !
N’est-ce pas Milena qui voudrait rester un mois ?
C’est trop bien de chanter « Tintin »
N’est-ce pas Ilona qui s’éclate ?
Dans le placard, quel fun !
Dit Maëlys qui a hâte !
Hâte de quoi ? De voir de l’art pardi !
Léanne regarde déjà les horaires de la journée
C’est émouvant on se croit au paradis !
Jade cherche les toilettes, là ? Zut raté !
Un musée très coloré
Que regarde Julie-Mary
Un rêve à ce qui paraît
Et Charlotte qui en rit
Au final on est tous contents,
De pouvoir vivre ce moment !
Ensemble on va faire la fête !
Dans le bus ou dans notre tête !
On n’est pas tous pareils
Mais ce serait ennuyeux
Il n’y aurait pas de merveille
Dans un monde vraiment rageux
Voilà la fin de notre voyage
Un rêve merveilleux
Rassemblant tous les âges
On en finit tous heureux
Ce poème a été fait à partir de chaque mot qui résume le voyage de chaque élève, je n’ai pas eu tout le monde, mais j’ai fait ce que j’ai pu avec les mots rassemblés.
Charlotte
Venise ? Lucie / Unique ? Marie / Humain ? Êva / Inoubliable ? Carla / Découverte ? Audrey / Coloré ? Julie-Mary / Émerveillement ? Dayane / Mémorable ? Camille / Émouvant ? Jade / Fun ? Maëlys / Magnifique ? Anna / Burano ? Clothilde / Asiatique ? Sam / Photo ? Célian / Coquelicot ? Mme Velot / Rêve ? Charlotte / Rapace ? Edgard / Aventure ? Claire / Art ? Léanne / Moi ? Valentin / Tintin ? Ilona / Missa ? Elektra / Bien ? Gaston / Cool ? Milena / Formidable ? M Vinit / Top ? Mme Tarragoni / Vivifiant ? M Cadilhac / Paradoxe ? Dao / Victor n’ayant trouvé de mot je l’ai tout de même intégré.
Merci à tous les professeurs accompagnateurs et aux élèves dont j’ai fait la connaissance, ainsi qu’à mes camarades de classe.
Laisse les gondoles à Venise…
La Méduse du Caravage
Méduse est une œuvre du Caravage, exposée au musée des Offices à Florence, peinte en 1597 ou 1598 (Une première version, datant de 1596, fait partie d’une collection privée).
C’est une peinture à l’huile sur cuir marouflé, qui repose sur un bouclier en bois. Il était destiné à compléter une armure de parade pour le Duc de Toscane.
Méduse, Le Caravage, 1597, Galerie des Offices, 0,60m x 0,55m
On remarquera que le regard, ainsi que le visage, ne sont pas alignés avec le bouclier, ce qui permet d’éviter le regard direct de Méduse, qui pétrifierait sur place les spectateurs (Ce serait quand même une sacrée perte). L’œuvre est tout de même peu rassurante, avec une teinte verdâtre très majoritaire, ce qui fait ressortir le visage de Méduse ainsi que son expression (peu agréable, vous me l’accorderez). On en oublierait presque les serpents, qui, bien que leur hôte soit décapitée, semblent eux toujours bien vivants, et dangereux.
Victor
L’Annonciation de Léonard de Vinci
L’Annonciation provient de l’église San Bartolomeo de l’Abbaye territoriale Santa Maria de Monte Oliveto Maggiore, située au sud de Florence. Ce tableau entre à la Galerie des Offices en 1867. On le date des années 1473-1475. Il fut peint par Léonard De Vinci lorsqu’il était élève à l’atelier de Verrocchio (peintre-sculpteur).
Peint à l’huile, ce tableau est constitué de 5 planches de bois collées et contient certaines discontinuités de style que l’on attribue à la jeunesse de Vinci lors de la réalisation du tableau et au fait que plusieurs personnes aient travaillés sur le tableau : on remarque entre autre une erreur de perspective sur le bras droit de Marie, la représentation du pré fleuri comme une broderie ou bien encore les ailes de rapace de l’ange. Le style de Verrocchio est reconnaissable sur le lutrin (table présente devant Marie) qui rappelle le style du tombeau qu’il construisit pour Pierre de Médicis (ex-gouverneur de Florence)
La scène se déroule dans un jardin clos, symbole – depuis le Moyen Âge – de la virginité de la Vierge. Toutefois, le jardin n’est pas entouré de murs élevés, mais d‘un simple muret bordé de plantations d’arbres, ici, des pins et des cyprès, un motif courant dans la peinture florentine.
Le pré fleuri où se trouve l’ange Gabriel est une allusion à la ville de Nazareth. Saint Jérôme avait donné pour étymologie à Nazareth l’hébreu netser signifiant « fleurs ».
L’Ange Gabriel salue la Vierge Marie avec un lys blanc dans sa main gauche ce qui est considéré comme le symbole de la pureté de Marie.
La Vierge fait face à l’Ange avec surprise et on peut distinguer une Bible ouverte à ses cotés. Son geste de la main gauche peut être interprété comme un signe de trouble à l’annonciation de l’ange.
La construction derrière la Vierge avec son intérieur ouvert sur le jardin évoque la peinture flamande.L’Annonciation, Léonard de Vinci, 1472-1475, Galerie des Offices, 0,98m x 2,17m
Lucie
La Vénus d’Urbino
Réalisée en 1538 pour Alphonse 1er D’Este par le Titien, un des peintres les plus influents de la Renaissance Italienne, la toile mesure 1,19m sur 1,65m.
La Vénus D’urbino représente une jeune fille nue, posée sur son lit, elle sort du bain puisqu’en arrière plan, une femme, dont je ne me permettrais pas de dire qu’elle vomit dans un coffre, cherche des habits. Son corps ressort grâce au jeu de couleurs et elle baigne dans une lumière dorée. La Vénus, très peu vêtue, n’est parée que de bijoux : boucles d’oreilles, bracelet, et une bague à l’auriculaire de sa main gauche. Elle tient un bouquet rouge qui tombe et se confond avec le matelas. Un chien dort à ses pieds, il représente la fidélité, en opposition avec le chat, d’Olympia de Manet. Le décor est assez somptueux : draps à l’aspect de velours, coffres richement ornés et habits de la servante. Le sujet du tableau est la Vénus, une figure mythologique, néanmoins, la femme représentée est bien une femme de la Renaissance. On le constate facilement grâce au décor et aux vêtements.
Edgar
La Vénus d’Urbin, Titien, 1538, Galerie des Offices, 1,19m x 1,65m
Le Ponte Vecchio par Oksana
Levifictus cataclycinos scrupi
Levifictus cataclycinos scrupi
Castra convocabat suillum
Uterque impetrabant mediano verso
Stercoreus Didius occuponandum
Admonitiat angundum eos qui politontur
Nec praedicit administare copulatrici Continuer la lecture de Levifictus cataclycinos scrupi