De Coquina Romana

La cuisine romaine était très évoluée. Elle a pu être étudiée grâce au livre De re coquinaria (« L’art culinaire »), seul livre de recettes de l’époque romaine qui ait pu nous parvenir. Il a été rédigé par Apicius, un cuisinier de l’époque. Ainsi, ce livre a permit de déterminer les habitudes gastronomiques des Romains comme par exemple leur habitude à utiliser de grandes quantités d’épices (comme l’origan, le cumin, l’aneth…) ainsi que diverses sauces (telles le garum). Ces derniers partageaient en général trois repas : le jentaculum ( le petit déjeuner), la cena (équivalent de notre actuel déjeuner), et le vesperna ( le dîner). Le petit déjeuner était très léger, composé d’un morceau de pain au miel ou au fromage. Le déjeuner était le repas principal de la journée. Il pouvait durer plusieurs heures. Pour le dîner, il était composé d’un simple souper léger. Le pain était été très apprécié et consommé par toute les classes. On peut noter que rien qu’à Pompéi, plus de 30 vestiges de boulangeries ont été retrouvés. Les fruits et légumes, et notamment les diverses sortes de pois, étaient très appréciés et consommés, car ils étaient les plus abordables. La viande et le poisson quant à eux étaient beaucoup plus chers et étaient donc moins consommés par les classes les plus précaires. En deçà de l’eau, les romains étaient consommateurs de divers dérivés de vin et de bières.

Maintenant que vous avez pu vous rendre compte des habitudes culinaires des Romains, à vous de jouer. Voici quelques recettes classiques romaines que vous pourrez aisément reproduire chez vous.

Le garum

Le garum (« liquamen » en latin) était le principal condiment de l’époque romaine. En effet, cette forte sauce composée de viscères de poissons fermentées dans du sel était très appréciée et permettait de plus d’améliorer la conservation des aliments. Son goût devait être proche de certaines sauces asiatiques comme le nuoc’mam.

L’Apothernum

L’apothernum (dont la recette a été découverte dans le De re coquinaria ) était un dessert composé de semoule de blé et de lait, et souvent de raisins secs. Étonnamment, ce dessert pouvait parfois se voir accompagné de Garum. L’apothernum était souvent consommé après les bains ou en entremet. Vous trouverez sa recette ci-dessous :

https://leg8.fr/recette/apothernum/

La Dulicia piperata (douceur poivrée)

Dessert très apprécié de l’époque, il constitue la 299 recette du De re coquinaria, mais Apicius ne s’y attarde que très peu, car cette recette était connue de tous. En effet, elle était facile à réaliser et offrait un plat très nourrissant. Apicius écrit donc pour cette recette :

« piperato mittis mel, merum, passum, rutam. eo mittis nucleos, nuces, alicam elixatam. concisas nuces Abellanas tostas adicies, et inferes. » Livre VII

On remarque ici qu’aucune quantité n’est précisée. En effet, ceci était d’usage à l’époque, car les systèmes de pesée étaient peu répandus en cuisine. Si vous souhaitez tout de fois réaliser la recette, vous la trouverez traduite ci-dessous, avec les quantités associées aux divers ingrédients.

Titouan

Cicéron, c’est pas carré !

Merci d’accueillir avec un tonnerre d’applaudissements la blague préférée de tous les latinistes ! Mais au juste, savez-vous vraiment pour quelle raison ce grand homme est si célèbre ?

Né en 106 av J-C en Italie, Cicéron est principalement connu comme brillant orateur. En effet, en plus d’être avocat, philosophe et écrivain latin, il est également rhéteur, c’est-à-dire qu’il maîtrise la rhétorique ou autrement dit l’art de bien parler.

Le mot provient du latin rhetorica, emprunté au grec ancien ???????? ????? (rhêtorikê tekhnê), qui se traduit par «technique, art oratoire». Les origines de la rhétorique remontent donc à la Grèce antique où elle naît véritablement au Ve siècle av J-C en Sicile dans un contexte judiciaire. L’île était alors sous le règne de tyrans qui avaient exproprié un certains nombres de propriétaires. Puis, lorsque ces malfaiteurs ont été chassés, les victimes ont donc dû faire valoir leurs droits face à des tribunaux populaires. C’est ainsi que Corax, élève du philosophe Empédocle, mit au point une technique destinée à venir en aide aux justiciables. Il en publia donc les principes dans un traité d’art oratoire, accompagnés d’exemples concrets.

A partir du IIe siècle av J-C, à Athènes puis à Rome, l’éloquence et la rhétorique deviennent donc une nécessité dans la vie sociale et politique notamment lors des procès qui se multiplient, dans les débats au Sénat ou dans des prises de parole pour séduire une opinion publique de plus en plus présente. Des écoles vont ouvrir, d’abord en Grèce puis en Asie mineure et enfin à Rome afin d’enseigner cet art aux orateurs. Cicéron jouit d’une réputation d’excellent orateur, de son vivant et plus encore après sa disparition, il a rédigé sur ce sujet de nombreux ouvrages tels que Dialogi tres de Oratore (Les trois dialogues sur l’orateur) composé en 55 av J-C, ou encore Orator ad Brutum (Sur l’Orateur) publié en 46 av J-C.Ainsi, il distingue 3 principaux buts pour l’orateur :

  • docere signifiant enseigner, l’orateur instruit les juges, il les informe des éléments du dossier et propose une argumentation

  • delectare signifiant charmer, l’orateur cherche à obtenir la bienveillance de l’auditoire en lui plaisant

  • mouere signifiant émouvoir, l’orateur cherche à ravir l’auditoire

Ces trois buts doivent également s’accorder avec les différents styles : précis dans la preuve, moyen dans le charme et enfin véhément quand il s’agit de fléchir. Cicéron différencie aussi différents genres :

  • judiciaire, correspond aux plaidoyers devant les tribunaux ou aux procès civils au forum

  • délibératif, concerne les affaires publiques où le but est d’orienter l’opinion en conseillant ou déconseillant ce qui possible/impossible

  • épidictique, réservé aux éloges funèbres par un proche lors de funérailles aristocratiques.

La rhétorique comporte selon lui plusieurs parties techniques répondant aux trois tâches de l’orateur: quoi dire, dans quel ordre, de quelle façon. Il ajoute également que ce dernier doit tout de même faire un effort de mémoire et qu’il doit jouer son discours par la voix et les gestes en tout en respectant cinq préceptes indispensables à l’élaboration du discours:

  1. inventio, c’est la capacité à trouver des idées et des arguments qui vont faire mouche auprès de son auditoire, même si Cicéron ne l’aurait sans doute pas formulé de cette manière à son époque

  2. dispositio, c’est la manière de traiter les idées

  3. elocutio, certainement la partie la plus importante et qui requiert le plus de travail et d’art avec quatres qualités nécessaires selon Cicéron: correction, clarté, élégance et convenance

  4. memoria, c’est le travail de mémorisation du discours

  5. actio, c’est la maîtrise des techniques oratoires en public comme la diction, les gestes..

Ainsi, la rhétorique utilise, dès ses fondements, trois notions centrales dans la pensée grecque et latine, que résume Cicéron lorsqu’il dit que la rhétorique consiste à « prouver la vérité de ce qu’on affirme, se concilier la bienveillance des auditeurs, éveiller en eux toutes les émotions qui sont utiles à la cause».

Elsa & Antoinette

La Ferme des Latinistes

Bonjour les enfants, c’est l’ami Adri avec vous, et nous allons faire une chanson qui s’appelle : «La Ferme des Latinistes»

1, 2, 1, 2, 3, 4

C’est l’introduction…

D’abord il y a Bleuenn la murène, et le César le canard,

Et POINTIER le sanglier, et Antoinette la vachette.

Mais aussi…

Gustav la larve, et Elsa le panda,

Et NGUYEN la baleine, et Léna le koala,

Et Titouan l’éléphant, et Roman le petit âne.

Ils se réunissent et décident d’aller en Italie pour leur voyage en Toscane. Ils rencontrent (les Secondes) …

Nathan le hareng, et Jean-Loup le loup,

Et Kyliann l’iguane, et Marin le dauphin,

Et Alicia le boa, et Adel la gazelle,

Et Maëlle l’hirondelle, et Arthur le lémur.

Y a même…

Benjamin le lapin, et Louis le grizzly,

Et Sorenza le puma, et Wylson la lionne.

Et avec tous ces amis, ils rencontrent un autre groupe d’animaux (les Terminales) qui se rendent au même endroit, mais quel hasard !

Il y a Mathys l’onyx, et Clémence le pan qui danse,

Et Clara le boa, et Eva le lama,

Et Émilien le babouin, et Clément le flamant,

Et Sarah le rat, et Eva le mâle alpha,

Et Méline la zibeline, et Elvire le zéphyr,

Et Inès l’ânesse, et Coline le colin,

Et mais attendez ! On oublie les meilleurs…

Il y a Axel la tourterelle, et Éléa le p’tit chat

Et Velot l’escargot. Mais dépêche-toi Velot…

Et Adrien le pangolin. Ah NOOOooN ! Y en a marre de c’lui-ci !

La chanson originale : la ferme – fatal picard

https://www.youtube.com/watch?v=hnhvxRtmKic

Adrien

Les jeux des Romains

Nous allons voir comment les jeux (du latin iocus = plaisanteries) au sein de la Rome antique se déroulaient, quelles étaient leurs règles, leurs influences sur les Romains et pourquoi certaines de ces distractions correpondent à un âge, à un statut ou à un sexe particulier.

Les jouets des plus jeunes

Dès leur naissance, les nourrissons jouent avec un hochet souvent sonore, probablement utilisés pour les distraire.Les tintinnabula (grelots ou clochettes) produisent un son musical et prétendent supprimer les mauvais sorts. Ils ont parfois la forme d’animaux, dont un grand nombre d’exemplaires en terre cuite ont été conservés, mais il devait aussi y en avoir en os, bois lorsqu’ils sont directement donnés à l’enfant .

Dès leur plus jeune âge, les enfants jouent avec des jouets qui diffèrent selon le sexe. Tout d’abord, la dînette est destinée aux jeunes filles, cela représente des modèles réduits de mobiliers ou d’ustensiles de cuisines (fours de cuisine, meubles, vaisselles…). Cette distraction qui leur est donnée dès leur plus jeune âge a un rôle éducatif (rôle des ustensiles, leur utilisation …) et leur permet d’imiter le monde des adultes. Ce qui va aussi avoir un rôle éducatif pour les jeunes filles est la poupée (pour imiter les gestes maternels) et pour mieux remplir la fonction d’imitation du monde réel, les poupées d’ivoire ou de bois sont articulées.

Les jeunes garçons vont aussi jouer à des jeux dans un but éducatif, ici c’est pour les préparer à devenir soldats .De tous temps, sans doute, les petits garçons ont joué avec des équipements de combats .

épée de bois époque romaine;Valkenburg (Pays-Bas)

Les jeux des enfants

De nombreux jeux pratiqués dès l’Antiquité sont encore joués dans les cours de récréation de nos jours. Même si certains ont disparu à cause des nouvelles technologies ils étaient joués au XXesiècle avec des billes pour remplacer les osselets, les noix, les cailloux….etc. Le poète latin Ovide, dans son poème Le noyer, décrit six manières de jouer avec des noix, dont le jeu de pair et impair.

Le jeu «par impar» (ou «pair ou non» par Rabelais en 1534) est un jeu très apprécié des Romains (des enfants aux adultes), il pouvait se jouer avec toutes sortes de petits objets : cailloux, osselets, coquillages, mais aussi comme le précise Pollux : des fèves, des noix, des amandes, des pièces de monnaie, ou bien encore avec des billes, des jetons… En premier temps ,il faut répartir le nombre de noix de manière équivalente entre les deux joueurs. Le premier joueur tient un certain nombre de noix cachées dans son dos. Son adversaire doit deviner s’il en cache un nombre pair ou impair. Celui qui a deviné juste ,reçoit une noix. Lorsqu’un joueur n’a plus de noix, il est éliminé.

Les osselets sont utilisés pour de nombreux jeux pour «pair,impair» mais aussi pour le jeu du cercle où l’on place ses osselets et ceux de ses adversaires à l’intérieur d’un cercle, le but était de lancer un osselet de manière à en éjecter un de son adversaire sans repousser les siens. Ce jeu est encore d’actualité mais l’on y joue le plus souvent avec des billes .

Il y a cependant encore un jeu qui traverse les époque et les classes sociales, c’est le cache-cache. En effet, même Louis XIII jouait à ce jeu comme nous le rapporte Héroard dans son Journal :


«OCTOBRE 1614

Le 25, samedi. —Joué à la cligne-mussete, avec les sieurs de Termes , de Courtenvaux , premiers gentils-hommes de la chambre, et les sieurs comtes de la Roche-foucauld, maître de la garde-robe, et de la Rocheguyon.»

Extrait du Journal de Jean Héroard sur l’enfance et la jeunesse de Louix XIII (1601-1628).

Le cache-cache (ou «cligne-musette» jusqu’en 1832) est aussi un jeu qui a toujours été pratiqué ou au moins au Ier siècle comme en témoigne ce tableau qui illustre des personnages mythologiques de l’amour qui jouent à cache-cache.

Les jeux chez les adultes

L’auteur athénien Pollux( II siècle après J-C) décrit un autre jeu avec 5 osselets que l’on jetait en l’air par la paume de la main et que l’on devait rattraper avec le dos de celle ci c’est un jeu surtout joué par les femmes car il demande beaucoup d’adresse .

Jeu décrit par Pollux: Les cinq déesse Latone, Diane Aglaé et Hileaira, les deux dernieres jouent aux osselets.

femmes qui jouent aux osselets

Les hommes et certains esclaves jouent aux dés les règles sont plus complexes, les enjeux sont plus importants tous les hommes riches jouent à ce jeu de hasard l’empereur Caligula mentait et trichait pour gagner au dés, Commode va jusqu’à installer des salles spéciales pour la pratique de cette passion. L’empereur Néron mettait de grandes sommes lors de ses parties et allait régulièrement jusqu’à parier 400 000 sesterces le point.(environ égal à 300 000 euros ) .

Ce jeu va déjà trop loin car dans L’Iliade, Homère raconte que Patrocle tue son camarade pendant une partie de dés:

Chant XXIII : «Ce jour, où emporté par la colère durant une partie d’osselets, je tuai involontairement le petit Amphidamos.»

Cependant certains poètes et philosophes de l’époque remettent en cause cette nouvelle passion qui, ruine les plus grandes fortunes. Le poète Horace explique que c’est un signe de décadence de voir un jeune homme abandonner l’équitation et la chasse pour passer son temps à jouer aux dés .

Il dit « Le jeune noble ne sait plus diriger un cheval, il fuit les fatigues de la chasse; il est plus exercé au jeu : que ce soit le jeu d’anneau à la grecque ou le jeu de dés interdit par la loi.»

On peut reconnaître en ses propos des paroles modernes qui sont encore d’actualité lorsque l’on remet en cause la paresse et la facilité de l’Homme du XXIe siècle en raison de la technologie et de l’industrie qui limitent, réduisent ou suppriment les efforts.

«interdit par la loi»

En effet, une des lois votées sous la République romaine (en 204 avant J-C «Lex Aléaria») interdit les paris pour les jeux de dés car il y a trop de violence .Le système de maintient de l’ordre de l’époque (la police aujourd’hui) surveillait les jeux de hasard, malgré cela on y jouait beaucoup en secret dans des tavernes et les parieur trafiquent leurs dés en ajoutant un poids de façon à ce que le dé tombe toujours sur le même nombre.

Pour conclure les jeux avaient une importance capitale dans la vie des romains puisqu’ils les suivent toutes leur vie et même encore aujourd’hui la plupart des jeux cités sont souvent pratiqués et encore modernes .

Jean-Loup

Fast Odyssée

L’Odyssée, est un livre écrit par Homère, un ancien aède reprenant l’ancienne légende de ses pairs. Son écriture poétique et proche de la nature donnera à ce récit un caractère si génial qu’on n’osera plus y toucher. Mon but sera d’aider tous les élèves en galère qui auront eu la flemme de lire le livre et leur assurer quand même une bonne note à un éventuel contrôle de lecture ; s’il y a au moins un curieux ici, je dis pas non plus non pour lui apprendre deux trois bricoles.

Pour commencer, l’Odyssée veut dire «l’histoire d’Ulysse», j’avoue pour le titre, ils ne sont pas allés chercher bien loin. Plus précisément, l’Odyssée raconte le difficile retour d’Ulysse à Ithaque (l’endroit d’où il vient). Car il ne fallut pas moins de dix ans à notre malheureux héros pour retrouver son royaume et sa femme. Dix ans sans sa femme pendant l’antiquité, déjà que les relations à distance maintenant ça ne marche pas, je ne sais même pas pourquoi il continue d’espérer, le bonhomme. Les grandes caractéristiques de notre protagoniste sont la bravoure et surtout sa métis, c’est-à-dire son art de la ruse comme forme d’intelligence rapide. Cet ouvrage est reconnu comme fondateur de la poésie et de la mythologie de l’époque. Son auteur deviendra vite légendaire et quasi divin par son talent d’écriture. Rien que ça, pour un type qui a rajouté deux trois rimes à une histoire qui existait déjà.

L’histoire s’ouvre aux cotés d’Ulysse retenu captif par Calypso (une des nymphes de la mythologie grecque), elle tombe folle amoureuse de lui mais Ulysse friendzone Calypso alors elle le retient sur son île pas moins de 7 ans pour essayer de forcer les choses, rien que ça ! T’inquiète, la meuf est pas du tout dans le déni. Pendant ce temps-là femme d’Ulysse, Pénélope est pas mal convoitée par les gadjos de son quartier, mais continue d’espérer qu’après 20ans son mec revienne, elle aussi t’inquiète elle est pas dans le déni.

Au bout de 7ans d’emprisonnement d’Ulysse chez Calypso, un des dieux, Athéna se rend compte que c’est pas ouf pour la santé mentale de notre héros. Et par geste bienveillant, elle commence à essayer de faire comprendre gentiment à Calypso qu’il n’y a plus rien à espérer et que c’est vraiment mort de chez mort entre elle et Ulysse. Alors, elle finit par accepter son statut de friendzonée et finit par relâcher notre pauvre ami qui lui avait clairement rien demandé.

Il reprend la route et navigue vers le pays des Phéaciens, fatigué se repose sous un arbre de l’île pour reprendre des forces. Manque de pot, une reine prénommée Nausicaa et qui a l’air plus ou moins pas mal d’après les descriptions, le découvre sous un olivier à moitié nu, et encore plus malchanceux elle le trouve lui aussi plutôt bg. Et lui s’en fout royalement! Après 7 ans enfermé par une folle sur une île déserte, qu’il arrive à rater une occasion pareille, c’est vraiment qu’il a un pète au casque. Finalement, elle l’emmène jusqu’à son père, Alcinoos (j’avoue, un peu décevant).

C’est ici, qu’Ulysse tel un aède contera un récit inimaginable et fantastique de son rude voyage accompagné de ses hommes.

Flash back :

Il nous contera son histoire tragique au côté des mangeurs de lotus (jolie expression pour parler de camés) qui échapperont de peu à faire perdre la mémoire à lui et tout son équipage. Il continuera par relater comment il attisera la colère de Poséidon en aveuglant son fils Polyphème, le fameux cyclope. Déjà qu’il n’a qu’un seul œil au départ, c’est clairement de l’acharnement. Du coup, je comprends un peu la colère de son père…

Cet épisode qui a l’air pour le moins insignifiant jouera un rôle essentiel dans le futur d’Ulysse et ses hommes. En effet, la colère du dieu Poséidon causera par la suite beaucoup de problèmes à notre équipage.

Après tout cela, ils se préserveront d’une terrible tempête causée par le dieu Eole (le dieu des vents), en mer quand ni le vent ni la mer sont avec nous, je vous spoil rien mais ils sont plutôt mal barrés.

Ils seront ensuite enfermés par une sorcière maléfique nommée Circé qui transformera l’équipage en cochons. Mais Ulysse par des liens charnels arrivera à convaincre Circé d’annuler son sort. Apparemment, Ulysse sait jouer de ses atouts physiques et pas seulement dans le combat…

Il finira par s’échapper mais pour se diriger vers le pays des morts. J’avoue entre une harpie qui cherche à te bouffer et le pays des morts, le choix est pas si facile. Finalement, ce petit périple au pays des morts ne leur causera pas de grande perte, de leur point de vue on dirait clairement une petite randonnée matinale en Creuse.

Ils arriveront pour finir au mythique chant des sirènes, Circé a prévenu Ulysse du charme fatal des Sirènes : celui qui écoute leurs chants est perdu. Désireux malgré tout d’entendre ces tentatrices, Ulysse se fait attacher au mât de son navire après avoir bouché à la cire les oreilles de ses compagnons. Quel coquin cet Ulysse, quand on parle de charme et de plaisir, on est sûr qu’il répond à l’appel.

Mais malheureusement, on est pas dans un Rambo et l’équipage de notre protagoniste sera décimé par ces multiples obstacles. L’équipage sera finalement intégralement éliminé après avoir mangé des entrecôtes frites qui appartenaient au Dieu Hélios, ce qui ne lui plut pas du tout et rapporta les faits aux Dieu Zeus afin de punir gravement ces actes terroristes. Quand on parle de bouffe, on n’est clairement pas là pour rigoler. Il punira les malheureux en envoyant un éclair sur leur navire, le brisant en milles morceaux.

Seul Ulysse survivra à ce triste épisode et échouera sur l’île de Calypso, une histoire dont, je l’espère, vous vous souvenez.

En entendant le récit d’Ulysse, Alcinoos décide de lui venir en aide en lui fournissant un navire. Athéna vient en aide une fois de plus à notre héros en l’alarmant du désordre qui règne chez lui à Ithaque. Elle déguise Ulysse en vieil homme afin de passer inaperçu à son retour. Ulysse après 20 ans de rudes efforts finit par rentrer chez lui, or le plus dur est à venir. En même temps s’il avait pas mangé ces foutus entrecôtes, il en serait peut être pas là ! Il y retrouvera son fils avec lequel il préméditera l’assassinat des multiples prétendants. En terme de vengeance, on est pas sur le registre de l’amour est dans le prè je vous l’accorde.

Lorsque les prétendants firent la rencontre d’Ulysse déguisé en mendiant, ils furent cruels avec lui, l’honneur de la maison et d’Ulysse doivent être lavés, il doit les décimer. Il n’attend plus que l’heure de la vengeance.

Mais Pénélope fait attendre ses prétendants depuis de trop nombreuses années. Elle avait tout d’abord trouvé la solution de tisser une toile, qui lui sert de prétexte pour retarder ses courtisans. Pour s’assurer de les faire fuir, elle défait chaque soir sa toile. Or ce stratagème sera rapidement mis au grand jour et devra rapidement cesser.

Pénélope devra finalement céder au désir des participants en organisant un jeu qui les départagera, cette épreuve consiste à bander l’arc d’Ulysse réputé comme requérant d’une force quasi divine. Celui qui accomplira l’exploit deviendra donc le nouveau compagnon de Pénélope (un peu de le koh lanta des temps anciens en gros). Ulysse déguisé en vieillard sera le seul à pouvoir bander l’arc. Il gagnera aux jeux et finira par décimer les prétendants avec l’aide de son fils.

Reprenant le contrôle de la maison, les corps des courtisans sont amassés dans un coin du jardin. Enfin Pénélope et Ulysse peuvent se retrouver (j’avoue que pour des retrouvailles amoureuses les corps dans le jardin, il aurait pu faire mieux). Or Pénélope ne veut pas y croire, elle trouve invraisemblable qu’il soit encore en vie. Elle le soumettra à un test final pour vérifier son identité. Ulysse réussira admirablement le test. Finalement assuré de son identité, je cite « Ulysse et Pénélope retrouvèrent la joie du lit ancien », et c’est la première chose à laquelle ils pensent après 20 ans de séparation, sérieux ! Et après, on arrive à juger les mangas obscènes ?

Benjamin

La petite histoire de Rome à la sauce Algé…

Chapitre Premier : Petit rappel sur Roger et Raymond.

Il était une fois une jeune femme appelée Rhea Silva, fille d’un roi méchant, qui, malgré son prénom éclaté au sous-sol, attirait tous les gadjos de sa té-ci. Un jour, le gros bg dieu des bg, Mars, qui avait la dalle voulut pécho la diva de ce sacré terre-terre. Mais, le daron de cette madame, le roi aigri, ne voulait pas que Mars touche à sa fille. Donc le mec, dans sa détermination de les séparer, enferme sa fille dans un temple tahh relou, où notre srabz Mars ne pourrait pas lui faire des louli-louli. Mais Mars, il avait un cheat-code, et il fait 2 loulous à la gazelle, lesquels sont appelés Roger et Raymond.

Quand le roi aigri apprend ça, il est vraiment vénère sa mère et il fait couper en morceaux nos 2 nouveaux loustics. Mais un esclave sympa appelé J.M. pour les intimes avait trop pitié d’eux, et les a laissés dans un panier repas dans le Tibre. Les 2 reufs ont navigué comme Jack Sparrow (pas très original ces 2 là) avant d’ être sauvés par une louve.

Chapitre Second : Petit rappel sur la fondation de Rome.

C’est l’histoire de 2 frères tahh proches, Roger et Raymond. Les bougs veulent créer une té-ci, mais en sahh les 2 fameux protagonistes sont sacrément pas d’accord sur le lieu. Barbès-Rochechouart ? Le neuf-trois ? On savait pas. Donc un gars un bizarre qui avait un dégradé inversé et qui sentait le pipi leur dit de compter les oiseaux. En sah, trop chelou. Mais nos 2 favoris se prêtent au jeu. Raymond en voit 6 en premier (dont un vert qui lui ch** dessus selon Pline) Mais son frère Roro en voit 12, sans bavure ni coulure…

Donc les 2 srabz bâtissent leur té-ci chacun de leur coté, mais comme c’est la hess et qu’ils ont pas de quoi se payer des remparts, ils creusent un fossé entre les 2 cités. Mais, un beau jour, malgré la présence de quelques nuages sur le Latium d’après Tite-Live et Evelyne Dhéliat, tandis qu’il checkait ses réseaux comme d’hab, Roger voit un tiktok de son frérot en plein dans sa té-ci, faisant le kéké en bande organisée avec ses potes, sur un scooter jaune immatriculé en Espagne. Roger, hors de lui, part de chez lui fissa en toyota prius avec sa kalash, après avoir crié « Je vais lui dégommer sa race » d’après Homère, bien que rien ne soit prouvé. Cependant, il est très probable que ce soit vrai, compte-tenu de la situation, naturellement.

Roger, comme notifié précédemment, est pas là pour rigoler. C’est pourquoi il dégomme son reuf sans hésiter, après avoir crié « Tout pour la daronne, cigarette électronique sans arôme ! (fumer tue, parlez en à votre pharmacien.) ». D’après Tite-live, Roger n’aurait plus eu de rimes. La ville fut donc baptisée Rome, car c’est à Rome (? arôme, malin!) que Raymond est mort.

Ainsi Rome fut fondée par Roger.

Chapitre Troisième : La prise des Martines.

Roger était au fond du faitout. Sa té-ci était presque vide, et en sahh, c’était super triste. Donc il décida d’accueillir tous les kasos bannis de leur cité d’origine. Mais il restait un problème : toute cette bande de forcenés étaient bien malheureux sans femme, qui elles se faisaient pas bannir car trop gentilles. Donc, Roger qui crevait la dalle (tel père tel fils comme l’affirme Pline) organisa une sacrée entourloupe : il allait chourave les Martines. Déter comme jaja, ils partent en despi, à 16 dans la prius bleue d’un dit « jojo la manivelle », un collègue de Roger.

Tout d’abord, l’appâtage. Roger et ses srabz racontent d’abord aux Martines que Leonardo Di Carpaccio, dont la charme fou faisait tomber toutes les gazelles, était présent dans leur té-ci, et il leur offrit un an gratuit Sephora. Evidemment, c’était fake. Mais malheureusement, les Martines étaient trop fidèles à leurs Martins.

Donc Roger et sa clique décident de les voler sans délicatesse, par la force. Une fois les Martines capturées et ramenées dans le bidonville de Roger, Omicron, roi des Martins, vénère sa race, rentre en soum-soum dans la téci avec son armée de variants. Mais Roger mène ses ks au combat et pulvérise le virus et prend la ville d’Omicron car il l’avait dérangé pendant sa sieste. En rentrant à la casa, Roger et toute sa clique se bourrent la gueule pour célébrer la victoire. Ils se félicitent, « GG Guys ». Mais leur cité ressemble plus à une passoire qu’à une forteresse. Tout le monde rentre comme dans un moulin. La jeune armée miteuse d’Antenne veut aussi en découdre avec nos jeunes ks. Rebelote Roger gagne et va tranquillement prendre son dû, la jeune ville aberrante des Fourmis (antenne=fourmi elle est technique mais t’as capté). Les ks encore bourrés refont la fête de plus belle. Le lendemain, c’est repos car la veille ils s’étaient mis une sacrée race. Le jour suivant, Roger envoie des jeunes ks avec leurs épouses, les Martines, vers les villes précédemment remportées. Mais de nouveau notre gruyère de cité se fait attaquer par des pro Player, Titi et sa troupe de Martins enragés car sans les Martines ces messieurs ne peuvent plus vous savez quoi… ?. En face, les ks les atomisent quand même. Ils font la fête et le jour d’après le ks ENCORE en dégrisement doivent se taper avec les croustibats, vous connaissez la chanson : gagne et chourave leur quartier. Les ennemis c’est des p****n de noobs.

Ainsi sont les origines de Rome, le croira qui voudra.

Louis, Axel, Arthur, Nathan

Les automates de Philon de Byzance, un héritage intemporel

Au troisième siècle avant J.C. nait Philon de Byzance, un garçon qui deviendra un brillant ingénieur. Philon va grandir et va faire des études d’ingénierie, il va écrire une dizaine de traités dans lesquels il va poser les bases de la mécanique, de la pneumatique, des forces tractionnaires et des flux d’air. Il va devenir d’autant plus célèbre pour ses automates qui vont, pendant très longtemps, inspirer les architectes.

À l’époque où l’électricité n’existait pas, les forces étaient principalement le vent et le feu. Philon de Byzance va conditionner ces éléments et les combiner à la mécanique pour créer des automates.

Les mécanismes de ses machines seront et sont toujours très utilisés dans les domaines comme l’horlogerie, et dans la mécanique des phares. Philon de Byzance est le créateur du système foliot qui permet des créer un mouvement (quasi perpétuel) en démultipliant la force gravitationnelle grâce à un poids (celui qui se trouve dans les pendules chez vos grand-mères !).

Philon de Byzance va aussi utiliser pour la première fois la force de la vapeur, mais ne va pas arriver à des effets concluants. Ce n’est que 2 siècles plus tard qu’ Héron d’Alexandrie va utiliser cette force dans l’Eolype qui sera plutôt considéré comme en jouet. En 1712 James Watt va réussir à utiliser cette force dans l’industrie en créant la première machine a vapeur productive.

Philon de Byzance est aussi l’auteur d’une ingénieuse cruche à vin et à eau qui permétait aux hommes de mélanger directement leur vin avec leur eau grace a une seule cruche en utilisant l’appel d’air.

Toutes ces inventions ont été utilisées dans ces automates comme par exemple le premier humanoïde étant capable de servir du vin et de le diluer à l’eau grâce à un ingénieux système d’appel d’air.

Enfin, un de ses derniers automates est une fontaine où une source coule et un hibou bouge faisant gazouiller des petits oiseaux. 

Tous ces progrès étaient pour l’époque des avancées extraordinaires qui comme nous l’avons constaté, ont beaucoup été réutilisés dans des inventions du quotidien.

Marin

Et si Narcisse était contemporain de l’invention du selfie ?

Aie Aie Aie…

Le mythe de Narcisse, toujours présent aujourd’hui ?

Tout d’abord, je vais vous conter le mythe de Narcisse, enfin, vous le résumer plutôt :

Il était une fois, Narcisse, enfant d’une nymphe et d’un demi-dieu, doté d’une beauté e.x.c.e.p.t.i.o.n.e.l.l.e. L’histoire aurait pu s’arrêter là, sauf que, à sa naissance, sa mère alla consulter un oracle (quelle mauvaise idée, ils savent tous que ça porte malheur) qui lui dit que Narcisse vivrait longtemps si et seulement si ( ? pour les matheux ) il ne voyait jamais sa beauté. Tout se passe bien, jusqu’à ce qu’il s’attire les foudres des dieux (un peu de drama ! ) à force de rejeter les admirateurs de cette beauté, notamment la nymphe Echo qui est morte de son amour pour lui. Les dieux, donc, le poussent à boire de l’eau d’un étang où, pour la première fois, Narcisse découvre son visage. Il tombe immédiatement amoureux de lui-même et de manière si intense qu’il jeûna, oublia de boire, de vivre et resta au bord de l’étang à se mirer jusqu’à ce qu’il dépérisse, se transformant en une fleur qui porte depuis son nom.

Et aujourd’hui, l’étang est remplacé par le ……… Portable. Et oui le mythe est devenu réalité. Le chiffre de morts n’est pas conséquent (380 depuis 2008 selon plusieurs études) mais cela peut vous arriver ! Surtout en termes de selfies… C’est le fléau des temps modernes ! Pire que les requins. 41 % des moins de 19 ans sont concernés… Un véritable enjeu de santé publique ! J’ai quelques exemples sous la main, âme sensible s’abstenir. En effet, c’est plutôt glauque mais j’ai besoin de matière. Alors, des jeunes sont morts noyés ( à cause d’un selfie bien entendu : ). Ils ont fait chavirer leur barque en se levant tous en même temps pour être sur la fameuse photo. La mode des « selfies volants »… Une personne a chuté de 40 mètres, seulement pour essayer de prendre un selfie dans les airs .Un dernier pour la route ? Oui ? Non ? Peut-être ? Dans tous les cas, il est là : un jeune, ivre, a voulu se prendre en photo avec un pistolet sur la tempe et a appuyé sur la détente par maladresse. Je pense que vous devinez ce qui s’en suit.

Voilà, voilà, juste pour vous dire que les mythes peuvent devenir réalité (et vous êtes tous beaux, au passage, et que vous n’avez par conséquent pas besoin de vous prendre en photo h24 :) )

Voir « 50 nuances de grecs » le mythe de Narcisse pour complément ! ?

https://www.youtube.com/watch?v=NTjByJmjy8A

Maëlle

Agrippine : drogue, débauche et pouvoir

Histoire remixée: Je vais vous raconter mon histoire, je suis Agrippine, beaucoup vous diront que je suis une débauchée, une meurtrière ou encore une michto, mais je me qualifierais plus comme étant…. Une femme, forte, indépendante et prête à tout pour obtenir ce que je désire le plus, le pouvoir. (¬?¬))

Tout d’abord commençons par le début et laissez-moi vous plongez dans un univers bien à moi (¬?¬). Tout ce que je voulais c’était du pouvoir pour venger mon père ( une histoire de mafia pas tiptop du coup le président d’Allemagne a envoyé des types pour faire le sale boulot à sa place) revenons à nos moutons : Je veux du pouvoir. Donc j’ai épousé un homme pour y parvenir, je suis tombée enceinte et mon mari est mort (naturellement, je vous vois venir attention). J’ai donc fini par épouser mon oncle (et oui je sais l’inceste c’est cracra, il faut pas faire ça) et mon oncle a adopté mon fils Néron comme ça si jamais il lui arrive quelque chose Néron pourra prendre sa place en tant que président. Oh! Mais quel dommage, un accident est si vite arrivé :( ,on l’a retrouvé mystérieusement empoisonné. Lorsque le médecin légiste l’a examiné, on a retrouvé des traces de magic mushroom*, ces magic mushroom ont accéléré le rythme cardiaque de mon pauvre Claude et cela l’a tué. Il se trouve que j’ai des connaissance en physique, mais tout cela n’est qu’un hasard bien sûr;). Bien sûr son meurtre n’est ici que pour m’aider à accéder au pouvoirs, je me suis dis que manipuler mon fils serait plus facile que manipuler mon oncle mais Néron savait que je voulais le manipuler. Il a tenté de faire comme sa maman chérie et a essayé de m’empoisonner, comme c’est choupinou mais désolé mon chéri le poison c’est MON truc. Mais malheureusement pour lui, je suis immunisée contre le poison, ma technique? En prendre un peu tout les jours et la preuve! Ça marche du feu de dieu. C’est sa toute première tentative de meurtre, ça me touche il suit les nobles pas de sa mère. Sa deuxième tentative pour me tuer a été de me «noyer» mais sa pauvre tentative m’a juste fait boire la tasse( franchement c’est pas la meilleure expérience de meurtre mais elle peut être efficace si votre victime ne sait pas nager;)). Une première tentative de meurtre je dis pas, il faut bien commencer quelque part mais une deuxième c’est abusé mon frater. Et ça il le sait parfaitement, la conséquence ? La vengeance bien sûr. Ma vie entière a été remplie de choix pour que JE puisse accéder au pouvoir, à la liberté et de vengeance, je ne vais pas laisser un gamin capricieux et trop gâté ruiner mes efforts si précieux et ce , même si ce gamin est le mien. Je ne reculerai devant rien pour obtenir ce que je veux ou pour combler mes besoins… comment dire? Primaire. Je veux marquer les esprits et l’histoire donc je le ferai! Pour moi, l’unique remède à ce petit dilemme de pacotille était de:

1) tuer mon fils

2) Épouser le futur dictateur

3) Étant donné que mon mari allait être frappé par malheur par un poison sans aucun remède;) j’allais devoir reprendre le pouvoir et gouverner seule sur MON empire.

Malheureusement tout ne s’est pas passé comme je l’avais planifié. Mon merveilleux Néron m’a assassiné à coup de couteau dans le ventre. Mais c’est à ce moment là précis que j’ai compris que j’aimais bien trop ma progéniture chéri pour la tuer. Oui à ce jour, je suis morte mais une chose est sur j’ai marquée de plus de façon que je ne l’aurais imaginée, et je suis fière de moi.

*magic mushroom: dans l’œuvre originale, Claude meurt en mangeant un plat de champignons au préalable empoisonnés, ici on les a remplacés par des champignons hallucinogènes.

Sorenza et Alicia

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