Un mythe un peu bancal…

Je vais vous raconter une histoire, l’histoire d’un simple homme qui surpassa les dieux pour vaincre son ennemi. Après la chute de Cronos, le chaos rejeta une dernière création restée secrète pendant des millénaires ; notre homme la découvrit et entreprit sa quête. Athernos étaient un homme tout ce qu’il y a de plus humain, habitant d’un petit village dans le comté de Rome, fils de Hémus le forgeron et d’une vendeuse nommée Polika ; depuis sa naissance, il semblait être comme tous les autres enfants mais était un peu solitaire et faisait preuve d’une certaine intelligence (il eut à ses 16 ans son BAK SM : Sciences et Mythologie). À l’âge de 17 ans, il s’enrôla dans l’armée Romaine afin de conquérir la Gaule et ses richesses. Vainqueurs de cette guerre, il crut pouvoir rentrer à son foyer mais se fit poignarder dans le dos par un survivant gaulois et fut laissé pour mort au pied d’un arbre gigantesque. Mené par son instinct de survie il rampa dans ce qui lui semblait être une cavité au creux même de l’arbre, cette idée s’avéra mauvaise car à peine entré dans le trou, le sol se déroba sous ses pieds et il tomba durant ce qui semblait être une éternité avant de percuter un mur qui était en fait de l’eau, inconscient, au bord de la noyade ou de la mort par hémorragie, tout semblait finit pour lui alors qu’une forme s’approcha de lui, une entité jamais vue auparavant. Athernos était devant l’arbre haletant, et se demandant quelles étaient les visions qu’il venait d’entrevoir.

Athernos après cette mésaventure, vint à la rencontre d’un homme censé pouvoir l’aider dans sa quête d’aventure, cet homme se nommait Mallus (un prénom parfaitement normal) qui était censé détenir tout le savoir du monde malheureusement il était corrompu par un livre (le darkyoung) et au lieu de sympathiquement donner des renseignements à notre héros, cet enfoiré décida de lui péter allègrement la gueule et de le laisser pour mort. Athernos se réveilla comme à son habitude en se demandant comment il avait survécu et comment il n’avait tiré aucune séquelle de ce passage à tabac (fumer tue), pendant son agonie, il lui semblait avoir vu de la vapeur émaner de son corps. Déçu de cette défaite, il se mit en quête de rassembler les pouvoirs des dieux, mais il ne se doutait pas que son voyage serait teinté de périple (et d’un peu de sang).

Le premier dieu qu’il rencontra fut Adéce, le dieu des enfers, il détenait un casque qui ne rendait pas invisible contrairement à ce que tout le monde pensait, il donnait juste un boost de dégât, Adéce dit à Athernos que pour obtenir ce casque, il devait passer à travers une barrière de feu, malheureusement Athernos ne résistait pas au feu (comme à peu près 100% des humains) et se résigna donc à obtenir son boost de dégâts .Il se rendit ensuite chez Afraudyte qui lui dit que pour obtenir sa relique (oui encore une relique), il devrait la séduire, Athernos enfila donc son meilleur ensemble Nike et déploya son meilleur cri de séduction ; je cite “Hé mademoiselle ! Tu ne serais pas passé au théâtre hier, car j’ai vu une pièce sur les avions de chasse (en effet, les avions de chasse étaient souvent représentés au théâtre grec) ; après cette déclaration pleine de charisme, la déesse tomba sous le charme du héros et lui donna un pétale de fleur censé lui donné bonne odeur, déçu de cette aquisition, il se mit en quête de défier les autres dieux de l’Olympe afin d’obtenir leur pouvoir, il vit dans l’ordre. Araisse qui lui donna ses gants de boxe ,Poçé y Don qui lui donna sa fourchette qui je cite “est tranchante sa mère ”,Dzeuce qui lui passa gentiment sa grenade anti personnel. Après l’obtention de tous ces objets inutiles, Athernos eu comme dernière espoir de se rendre chez Adèce pour lui demander un pouvoir utile, après une négociation avec le dieu qui consista en le placement d’une arme contondante (une certaine fourchette tranchante sa mère) sous le cou du dieu, il obtint d’Adèce le pouvoir de manipuler les flammes (autrement appelé le katon).

 

L’heure du combat finale était venue. Athernos muni de son katon, son pétale, ses gants de boxe et sa fourchette vint à la rencontre de Mallus qui après avoir insulté tous les morts du héros déploya toute la puissance de son livre, des éclairs de feu et au chocolat jaillirent sur Athernos, notre héros esquiva cette attaque et se mit à allumer le feu avant de l’éteindre rapidement en se rappelant que le feu, ça brûle, Athernos fit une pichenette pour enlever un insecte présent sur son bras ce qui créa une onde de choc qui désintégra son ennemi ; il se rendit compte que son escapade sous l’arbre avait déclenché des pouvoirs à retardement; et oui, tu voulais un combat de fou mais il n’est pas très fort en narration alors si t’es pas content t’ira te plaindre au scénariste, je rigole, c’est moi.

Kyliann, Adel

 

 

 

Latin et 7ème art !

Des thrillers les plus frémissants, aux films d’action les plus renversants, en passant par quelque monument de la comédie française, le latin occupe une place prépondérante dans l’histoire du cinéma. Cette influence, qu’elle se traduise dans le titre, le scénario, ou même les dialogues (on pensera aux interventions du roi Loth dans Kaamelott ou encore au « a fortiori » des Inconnus, bien qu’il ne s’agisse pas de cinéma…), a marqué de son empreinte le 7ème art. La preuve ? Elle est toute simple : les seuls titres de films qui demeurent systématiquement inchangés (et ce quel que soit le pays de diffusion) sont les titres en latin ; ceux des autres langues sont bien (trop) souvent traduits. Voilà donc l’occasion de revenir sur 7 des meilleurs films portant un titre latin, en toute objectivité, bien entendu.

 

 

1- Quantum of solace : si le titre du deuxième James Bond de l’ère Daniel Craig apparait comme très énigmatique, il n’en est pas moins révélateur. De fait, il provient du latin quantum, qui signifie « combien », « quelle quantité de », et de l’anglais « solace », que l’on peut traduire par « réconfort », et qui nous vient lui aussi du latin, de solacium, ii, n, signifiant également « consolation ». C’est tout de suite plus clair, non ? Si ça ne l’est pas, dans le contexte, il exprime la dualité de double zéro sept, qui, après avoir perdu son premier véritable amour, doit mener à bien la mission qu’on lui confie sans que celle-ci ne se transforme en vengeance personnelle. Il s’agit en fait, pour l’agent au service secret de sa majesté, de partager ses peines avec la nouvelle James Bond girl, Olga Kurylenko, afin de trouver un certain équilibre et de sauver le monde, encore et toujours.

 

 

2- Ad astra : composée de la préposition ad et de l’accusatif pluriel de astrum, i, n, cette locution latine signifie « jusqu’aux étoiles » et prend tout son sens dans le dernier opus (encore du latin…) de James Gray. En effet, le film de science-fiction met en scène un astronaute, interprété par le très illustre Brad Pitt, qui s’aventure jusqu’aux confins du système solaire pour retrouver son père, interprété par le non moins illustre Tommy Lee Jones, dans le but de sauver, non plus le monde, mais l’univers…                                                                                                                                               

 

 

3- Invictus : de l’adjectif invictus, a, um (« invaincu », « dont on ne triomphe pas »), le film de Clint Eastwood narre la manière dont le chef d’état Nelson Mandela (Morgan Freeman) et le capitaine de l’équipe sud-africaine de rugby, François Pienaar (Matt Damon), vont mêler mandat présidentiel et coupe du monde de rugby pour réunifier un peuple en proie aux tensions ethniques et aux haines raciales. Dans un pays marqué par la fin de l’apartheid, le président s’affirmera-t-il en leader ? A quelques mois de la coupe du monde, le capitaine s’illustrera-t-il en champion ? La piètre équipe des « springboks » marquera-t-elle l’histoire ? Autant de questions qui trouveront réponse dans le film de Clint Eastwood, qui redonne toutes ses couleurs à la « nation arc-en-ciel ».                               

 

4- Gladiator : encore une fois, on a affaire à un titre plutôt évocateur… On va tout de même l’analyser, par principe : du latin gladiator, oris, m, « gladiateur » vient étymologiquement du nom gladius, ii, m, qui se traduit par « l’épée », « le glaive », le gladiateur est donc originellement celui qui porte l’épée. Pour ce qui est du film aux 5 oscars de Ridley Scott, il met en scène Russell Crowe, dans le rôle du général Maximus Decimus, qui, après l’assassinat de son empereur Marc Aurèle, est laissé pour mort et voit sa famille massacrée, un traitement somme toute très peu commode. Justement, c’est le fils de Marc Aurèle, le cruel Commode, qui ordonne les assassinats, pour accaparer l’Empire romain. Le général déchu est alors livré au commerce de gladiateurs et c’est ainsi que débutent son ascension dans le cœur des romains et sa quête inaltérable de vengeance…                             

 

 

5- Hibernatus : attaquons maintenant un autre registre. Du participe passé passif au masculin singulier du verbe hiberno, as, are, avi, atum, le titre de la comédie franco-italienne peut se traduire par « celui qui a hiberné ». L’immense Louis de Funès y joue le rôle d’un individu que l’on retrouve dans un bloc de glace, après y avoir séjourné durant 65 ans. Il est alors dégivré mais ignore le temps qu’il a passé dans la glace : il se croit encore au début du siècle. On tente alors de le maintenir dans cette illusion, avant que la vérité n’éclate, avec son lot de rebondissements, plus cocasses les uns que les autres…                                                              

 

 

6- Memento : le titre du thriller de Christopher Nolan correspond à la forme impérative future du verbe memini, isti, isse, conjugué à la deuxième personne du singulier, pouvant se traduire par « Souviens-toi ». Ce choix de titre prend tout son sens dans le deuxième film du réalisateur hollywoodien où Guy Pearce se glisse dans la peau de Leonard Shelby, un homme atteint d’une forme incurable d’amnésie, survenue après que sa femme a été violée puis assassinée. L’homme part alors à la recherche du meurtrier présumé de sa femme. Problème : il n’a pas de mémoire immédiate. S’ensuit alors une traque incessante, pendant laquelle le public s’éprend du personnage. Mais attention, il n’est peut-être pas celui que l’on croit…

 

7- Amadeus : s’il s’agit bien d’un prénom, le second du compositeur de génie allemand, pour autant amadeus a bel et bien une origine latine : il vient du latin chrétien, de « amare deum », que l’on peut grossièrement traduire par « aimer dieu », ou, moins littéralement, par « celui qui est aimé de dieu ». C’est cette dernière traduction que l’on retiendra pour le film de 1984, dans le sens où, en exposant la vie de Wolfgang Mozart, Amadeus dépeint l’injustice du don, du don divin qui démarque le compositeur de ses pairs, avec son lot de gloire, et de jalousies…

César

La mode dans l’Antiquité

Les coiffures

Dans la Rome Antique, il faut savoir que « L’habit fait le moine ».En effet, la mode dans l’Antiquité Romaine permettait de reconnaitre l’importance des personnes dans la société.

Par exemple, seules les personnes riches pouvaient paraitre dans la rue avec des bijoux ou encore avec des habits composés de tissus assez rares. En général, les vêtements étaient composés de lin ou de laine. Voici quelques exemples de la mode à l’époque de la Rome Antique :

Les vêtements et les coiffures des Femmes

Les femmes portaient des tuniques faites de laine ou de lin tombant sur les chevilles

 

Elles portaient aussi une Palla qui leur permettait de se protéger contre le soleil.

 

La coiffure était très importante pour la femme. En effet, elle représentait l’un des différents charmes que possédait une dame.

Il existe différentes types de coiffure :

  • Le galerus qui est une perruque qui permettait au femmes de rallonger la longueur de leurs cheveux car ils étaient très courts à l’époque. 
  • Lors des jours de noces, les femmes privilégient les nattes 
  • Enfin sont réservées aux femmes riches, les teintures faites avec de la poudre ou encore les boucles

Continuer la lecture de La mode dans l’Antiquité

Bienvenue aux Enfers

Bienvenue dans les Enfers grecs ! Je vais te guider à travers ces lieux sombres où résident les ombres des morts, et qui se trouvent sous la Grèce, l’Italie, à l’Ouest du monde ou à partir d’une cavité. Attention le dieu Hadès et son épouse Perséphone y règnent et le fameux chien à trois têtes Cerbère empêche tout mort de ressortir. C’est parti pour l’aller simple que tu as pris pour ces Enfers, simple mortel ! Tu peux t’aider des cartes que je te fournis ci-après et tu peux retrouver les Enfers dans la Théogonie écrite par Hésoide, dans l’Odyssée écrite par Homère, dans l’Enéide écrite par Virgile, dans l’Axiochus ou sur la mort écrit par Platon.

On arrive tout d’abord au lac sombre menant aux Enfers, le lac Averne. On y rencontre Charon qui fait passer les morts sur l’Achéron pour rentrer aux Enfers. Attention, ne bois pas l’eau de l’Achéron (aussi fleuve de l’affliction) tu pourrais être empoisonné !! Charon est le passeur d’âme, il conduit sur une barque les âmes des morts en échange d’une obole (monnaie). C’est pour cela qu’une pièce d’or était glissée dans la bouche du défunt lors des funérailles. Une fois entré aux Enfers, il faut maintenant franchir le fleuve du Styx pour arriver devant la porte des Enfers, gardée par Cerbère. Le Styx ( aussi fleuve de la haine) est le fleuve le plus long qui entourait trois fois les enfers. Il donne l’invulnérabilité à qui est trempé dans ses eaux.

A présent tout dépend de la vie que tu as passée sur Terre (en effet les Enfers n’ont rien à voir avec la conception chrétienne de l’Enfer : toutes les âmes des morts venaient dans les Enfers grecs) :

– si tu as été un bienheureux, une âme vertueuse ou un héros tu iras au lieu de printemps éternel appelé les Champs Élysées. Honnêtement, c’est le mieux pour toi parce que tu seras ensuite réincarné dans un nouveau corps, en buvant l’eau du fleuve de l’oubli, le Léthé, pour oublier ta vie passée, et en revenant dans le monde des vivants par la sortie des âmes réincarnées ! Mais encore faut-il le mériter… Le palais d’Hadès et de Perséphone se trouve au bord de ce lieu tant convoité.

-en revanche si tu as été malheureux ou un criminel tu iras au Tartare, entouré d’un triple rempart, endroit le plus profond et le plus sombre des Enfers. A l’origine, c’est la prison des dieux déchus, des opposants… A partir du VIème siècle avant J.-C., c’est le lieu où tous les coupables subissent leur punition. Je ne veux pas te décourager mais toutes les formes de torture physique et psychologique sont représentées. Un fleuve constitué de flammes, le Phlégéthon (aussi le fleuve du feu) entoure « la prison des méchants ». Il est long et coule dans le sens inverse de celui du Cocyte (aussi le fleuve des gémissements) dont le cours est formé des larmes versées par les âmes mauvaises. Il accueille également les morts sans sépulture (qui ne possédait pas l’obole) attendant leur jugement. Il entoure la région du Tartare.

il existe également le champ des guerriers, c’est-à-dire des soldats morts au combat, le champ des pleurs, avec une partie pour les suicidés, une pour les innocents condamnés à mort et une pour les enfants morts nés.

Dommage, tu ne peux pas te balader comme bon te semble dans les Enfers : trois juges se chargent de diriger les âmes vers les Champs Élysées, le Tartare ou l’Erèbe : il s’agit de Minos, Radhamanthe et Eaque. Le tribunal est placé dans le Champ de la Vérité qui donne directement accès au Tartare et aux Champs Élysées.

Je pense que toutes ces descriptions ne t’enchantent pas beaucoup mais rassure-toi, des mortels ont réussi à en sortir et à revenir parmi les vivants comme Héraclès, Psyché, Thésée, Énée et Orphée. Si tu veux des conseils, tu peux t’appuyer sur l’histoire d’Orphée : le jour de son noces avec la dryade Eurydice, celle-ci meurt suite à la morsure d’un serpent (ou piquée par une abeille selon les traditions). Par sa musique, Orphée descend aux Enfers pour la récupérer : Cerbère s’endort et Hadès accepte sa requête à condition qu’il ne la regarde et ne lui parle pas avant d’être revenu sur Terre. Mais malheureusement, il n’entend plus les pas de sa bien-aimée et il se retourne et la voit. Elle resta donc à jamais dans les Enfers.

Je m’excuse de toutes ces explications si tu n’es qu’un dormeur, ton âme n’ira pas dans les Enfers mais dans l’Érèbe. C’est la région la plus proche de la surface, elle accueille les âmes des dormeurs pendant leur sommeil, qui, à leur réveil, reviennent par la sortie des Songes. On y trouve le palais de la Nuit, le palais des Songes et le palais du Sommeil. J’espère qu’elles t’ont plu, au moins tu as ces indications pour plus tard…

Agathe et Clara

buy windows 11 pro test ediyorum