Rencontre avec Laurent Aillaud

Ecrire un article collectivement : séance du jeudi 11 décembre 2014

I. Retrouve le récit de ta visite à la médiathèque Saint Vaast le jeudi 16 octobre 2014. Réfléchis à ce que tu lis. Efface les erreurs.

II. Puis mets en page sur 2 colonnes ce qui va devenir un article. Mets des titres et des sous-titres. N’oublie pas les majuscules et les points à la fin de tes phrases.

III. Illustre ton article à ta guise. Puis mets-le au format PDF. L’un des articles sera transmis à la médiathèque pour diffusion sur son blog et sa page Facebook.

Rencontre avec Laurent Aillaud

1. En octobre 2014, la médiathèque Saint Vaast a accueilli la première exposition du designer Laurent Aillaud à qui elle a laissé carte blanche pour présenter ses photocompositions réalisées avec des documents originaux sortis du grenier du bibliothécaire / des archives de Dainville / du fonds ancien de la médiathèque

2.Le nom donné à la manifestation « Cachés derrière les portes » désignerait ceux qui se cachent derrière les portes c’est-à-dire

les personnels de la médiathèque / les vieux livres fragiles, jamais montrés / les lecteurs de la médiathèque

3.Quand nous le rencontrons le jeudi 16 octobre la première chose que Laurent Aillaud nous dit c’est que « Les livres sont beaux parce qu’ils ont une histoire ». Il ajoute : »Ils sont beaux parce qu’ils sont

écrits à la main dans une copie ajustée, justifiée / tapés à l’ordinateur / photocopiés à des milliers d’exemplaires

4. « Les livres sont beaux parce qu’ils écrits à la main, travaillés à l’or fin et qu’ils sont le travail d’une vie ». Ainsi la Biblede Saint Vaast a été copiée pendant

60 ans / 80 ans / 100 ans

5. D’autres encore sont beaux parce qu’ils ont souffert. L’un d’eux a même été

jeté dans le Crinchon / blessé par une balle tirée à travers une fenêtre de la médiathèque / abandonné dans une poubelle

6. D’autres ont vu leurs pages

se couvrir de gribouillis / déchirées par des lecteurs peu précautionneux / brûlées dans l’incendie de 1915

7. Certains sont simplement fascinants achève Laurent Aillaud notamment

La grande encyclopédie en 42 volumes de Diderot et d’Alembert / le livre des Jugements des criminels du 15ème siècle / le Sacramentaire de Cambrai

8. Laurent Aillaud nous raconte aussi qu’il est photographe. Un photographe qui cherche ses modèles le plus souvent sur Internet, dans le monde de la mode ou du théâtre ou plus simplement

en marchant dans Arras, au hasard des rues / parmi ses connaissances les plus proches / en mettant des annonces dans la presse

9. Il lui arrive de réaliser des « selfies ». Le modèle devient alors

Son épouse / Ses parents / Lui-même

10. Ses modèles sont le plus souvent des modèles féminins. Dans chacune des « photos » de l’exposition on peut voir un corps ou bien un visage de femme parce que à l’époque où les livres étaient écrits à la main

ce sont les femmes qui écrivaient les livres / ce sont les femmes qui fabriquaient les parchemins / les femmes n’entraient pas dans les bibliothèques

11. Si Laurent Aillaud détourne l’image et détoune le modèle, il respecte sa personnalité. Lorsqu’un de ses modèles lui dit « J’ai tellement pleuré dans ma vie qu’aujourd’hui mes larmes sont sèches », l’artiste décide d’ajouter aux coins des yeux

une fumée grise / une fumée verte / une fumée bleue

12. Parmi les femmes anonymes qu’on voit sur les « photos » il ya Suzanne « le fantôme » du fonds ancien nous dit Laurent Aillaud en riant. Un fantôme qui n’en a que le nom puisque Suzanne est

la personne qui s’occupe des vieux livres et les range à leur place sur les étagères / l’épouse du photographe / la surveillante en chef de l’atelier de réparation des livres anciens

13. Quant à sa technique Laurent Aillaud nous dit que pour « réaliser une photocomposition » il lui faut connaître les logiciels de retouche d’images tel Photoshop, les logiciels de dessins ainsi que les lois de la physique car ce sont elles qui permettent de travailler

en extérieur / en intérieur / en images de synthèse

14. « Fabriquer une photocomposition réclame aussi du temps, beaucoup de temps » nous dit Laurent Ailllaud. La recherche de ses sujets peut parfois lui prendre

plusieurs jours / plusieurs semaines / plusieurs mois

15. La transformation d’une photo peut lui prendre une demi heure, une heure comme elle peut lui prendre

3 à 4 heures / une journée / une semaine

16. Laurent Aillaud crée des effets de fumées en photographiant

le brouillard / la buée / les nuages

17. Souvent « une photocomposition » réclame la superposition de 3 photos. Mais il est arrivé à Laurent Aillaud de superposer jusqu’à

6 photos / 8 photos / 10 photos

18. Une fois la « photocomposition » achevée; il préfère parler de

visuel / oeuvre d’art / ouvrage

19. Enfin, dans une dernière explication, Laurent Aillaud nous avoue « vouloir réaliser de belles choses

pour devenir un artiste célèbre / faire plaisir aux gens / devenir le meilleur

 

 

 

 

 

 

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