à 0:06 – Il est un deuil que je porte,
Lourd au cœur comme un secret,
Seul devant ces tables vides qu’ils ne reverront jamais.
On partait changer le monde,
On rêvait d’égalité
Et d’un matin de lumière qui ne s’est jamais levé.
à 0:38 – De la table sous la fenêtre,
Habité d’un fol espoir,
Des enfants ont pris les armes
Je les entends encore
Ces mots brûlants qu’ils ont chantés
Furent leurs dernières volontés (à 1:03) sur la barricade déserte à l’aube.
Il est un deuil que je porte,
Lourd au cœur comme un secret,
Seul devant ces tables vides qu’ils ne reverront jamais.
On partait changer le monde,
On rêvait d’égalité
Et d’un matin de lumière qui ne s’est jamais levé.
à 1:42 – De la table sous la fenêtre,
Habité d’un fol espoir,
Des enfants ont pris les armes
Je les entends encore
Ces mots brûlants qu’ils ont chantés
Furent leurs dernières volontés (à 2:06) sur la barricade déserte à l’aube
Oh mes amis pardonnez-moi,
D’être là de vivre encore.
Il est des deuils que l’on garde
Quand tous les chagrins sont morts
Et je vois passer vos ombres
Et je pleure nos joies perdues,
Seul devant ces tables vides que vous ne reverrez plus.
Oh mes amis je voudrais croire
Que vous n’êtes pas morts en vain.
Seul sur ces tables vides
Je ne suis plus sûr de rien.