Séquence 1 : Comment comprends-tu cette phrase ?

L’Evêque Myriel sait que Jean Valjean l’a volé. Il ne lui en veut pas. Il l’appelle « Mon frère », c’est-à-dire qu’il le met égal à lui. En lui offrant les chandeliers ainsi que les couverts d’argent, l’évêque MYRIEL veut aider Jean Valjean à prendre un nouveau départ pour une vie qui doit être tournée vers le bien et non vers le mal. Il lui donne sa chance avec « cette argenterie » pour utiliser cette richesse à faire le bien.

Séquence 2 : Quel est l’état psychologique de Jean Valjean ?    Décris la dernière image ?    Pourquoi ce choix ?    Quel est le rôle joué par la musique dans cette séquence ?

Au début de la séquence, Jean Valjean s’interroge. Il ne comprend pas pourquoi cet homme a pu être bon pour lui. Arrive le petit ramoneur que Jean Valjean vole. Il est alors pris de remords. La dernière image est particulièrement intéressante car elle montre Jean Valjean dans un environnement austère, seul, arrivant d’un chemin et ne sachant plus où aller.

• La musique suit l’évolution de cette séquence et change en fonction du personnage vu à l’écran :

souligne les caractères des deux personnages.

• Lorsque que Jean Valjean est à l’image, l’orchestre symphonique exécute dans un tempo modere des mélodies larges et mélancoliques.
• Lorsque le petit ramoneur est à l’image, la musique devient sautillante, dansante avec des instruments caractéristiques de la musique traditionnelle provençale (le galoubet : flute à trois trous). Rappelons que cette scène se déroule près de la ville de Dignes.
• Lorsque Jean Valjean est pris de remords, il n’y a plus de musique mais un long silence