Vous avez toujours rêvé de devenir un écrivain ? Grâce à cette rubrique c’est possible !
Nous vous proposons un début d’histoire et c’est à vous d’inventer la suite. Vous pouvez envoyer votre récit à Mme Ciccarone par entea et nous sélectionnerons ensuite la meilleure histoire !
Consignes :
- Votre histoire ne doit pas dépasser 25 lignes.
- Pensez à mettre votre nom, votre prénom et votre classe.
- Envoyez votre texte avant le vendredi 18 décembre.
Nous, ensemble :
Cette histoire, c’est celle de Zoé, Mathilde, Léo et Evan. Il s’est passé tant de choses et tout n’est pas terminé… Mais, commençons par le commencement…
Mathilde avait tellement de problèmes chez elle qu’elle n’a pas su résister longtemps aux sollicitations de ses amis. Elle avait besoin de s’évader et de se réfugier auprès de ceux qui la réconfortaient. Elle s’était donc fait entraîner par Léo, Evan et Zoé, munie de son sac à dos habituel dont personne ne savait ce qu’il contenait, dans les méandres de la forêt.
En effet, au plus profond de la forêt se dissimulaient des ruines d’un ensemble de maisons. Léo avait fait d’innombrables recherches mais il ne trouva aucun livre, aucune carte parlant de l’existence de ces ruines. Le groupe les avait découvertes un jour de grand vent, lorsque Mathilde dut courir après son foulard emporté le vent. Elle s’était éloignée du sentier avec ses amis sur ses talons. Le foulard finit par s’accrocher dans un arbre et Evan s’élança pour le décrocher. Arrivé en haut de l’arbre, il souffla un moment. C’est là qu’il entendit un léger carillon. Il descendit du chêne et dit à ses amis:
– Il y a un son de cloche un peu plus au nord. Il n’est pas loin. On peut y aller s’il vous plaît?
-D’accord mais seulement si tu me rends mon foulard que tu a décroché ! rit Mathilde.
Les quatre compères s’étaient dirigés vers le son de carillon quand la montre de Zoé sonna :
-Zut ! Il est déjà 17h30 ! On devrait déjà être rentrés !!!
Ils durent rebrousser chemin.
Les ruines étaient grandes d’environ 2 hectares. Il y avait une vingtaine de maison, avec pour certaines des murets en pierre recouverts de liège. Il n’y avait aucune trace de vie mais la chute d’Evan sur une louche en métal poussa le groupe à croire que la population était partie précipitamment. Au centre, se tenait haut et fier, le clocher de l’église. Léo fut le premier à comprendre :
-Voilà d’où venait le son! Il y a encore la cloche du clocher. C’est le vent qui la faisait sonner. Venez, on entre voir !
Ils poussèrent le lourd battant et entrèrent.
A vous la plume…
Elisa
