Pourquoi avez-vous décidé de faire ce métier ?

A la base, j’étais professeur de sport, puis j’ai rencontré un CPE et cela  m’a donné envie de faire ce métier.

Est-ce vous qui avez choisi cet établissement ?

Non.

 Aimez-vous bien ce métier ?

Oui, j’aime bien ce métier, j’aime voir les élèves évoluer, grandir à travers les années.

Quel genre d’étude avez-vous fait ?

J’ai un bac plus cinq en sport, un master et j’ai fait un deuxième master plus le concours pour devenir CPE.

Depuis combien de temps êtes-vous dans ce collège ?

J’y suis depuis trois ans.

En quoi consiste votre travail ?

Mon travail consiste à placer les élèves dans de meilleures conditions et je joue un rôle dans leur suivi scolaire. Je travaille en étroite collaboration avec les enseignants, la direction et les familles.

Quel genre d’élève étiez-vous à notre âge ?

Je n’était pas forcément une élève modèle mais quand j’avais un objectif je faisais tout pour l’atteindre.

Est-ce que vous vous entendez bien avec les professeurs et le personnel ?

Oui je m’entends très bien avec le personnel. L’ambiance de travail est plaisante.

Quand vous étiez élève, pensiez-vous faire ce métier ?

Pas du tout, je souhaitais être professeur de sport.

Parmi toutes vos activités, laquelle est votre préférée ?

L’aspect social, guider les élèves.

Interview réalisée par Naelle

Pourquoi avez-vous choisi de devenir principale adjointe ?

J’ai choisi d’être principale adjointe car j’avais fait le tour de mon métier de professeur et que je voulais évoluer dans ma carrière, changer de mission.

Pourquoi êtes-vous venue dans ce collège ?

Ce n’est pas moi qui ai choisi ce poste, c’est l’inspection académique qui me l’a proposé.

Avez-vous exercé ce métier dans un autre collège ?

Non, je n’ai jamais exercé ce métier dans un autre collège.

Qu’ est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

Ce qui me plaît le plus, c’est de travailler à la réussite des élèves, les aider à être bien avec eux-mêmes ainsi qu’avec les autres.

Qu’ est-ce que vous aimez et n’aimez pas dans notre collège ?

Ce que je n’aime pas dans ce collège, c’est de voir les élèves attendre devant la cantine pour manger. En revanche, ce que j’aime bien c’est le dynamisme et les projets.

Avez-vous des loisirs ? Si oui lesquels ?

Oui, je fais du sport, je nage, je cours, j’aime bien lire, et je faisais de la couture, mais je n’ai plus le temps maintenant.

Avez-vous des enfants ? Si oui combien ?

Oui, j’ai trois filles, une qui a 8 ans, une autre qui a 6 ans et la dernière a 3 ans et demi.

Quel genre d’élève étiez-vous ?

J’étais très sérieuse et très sage, je n’ai eu qu’une seule heure de retenue car je n’avais pas fait un devoir, j’avais aussi très peur des professeurs.

Quelle était votre matière préférée lorsque vous étiez élève ?

J’aimais bien les mathématiques. Au lycée, je préférais le français et à l’université, l’histoire géographie était ma matière préférée .

Quand vous étiez enfant, vouliez-vous déjà devenir principale adjointe ?

Non, pas du tout. Lorsque j’étais enfant, je voulais être boulangère car j’aimais les bonbons et il y en avait beaucoup à la boulangerie. L’idée d’être principale adjointe ne m’est venue que l’an dernier.

Interview réalisée par Amélie, Louison et Marwa.

Les travaux d’élèves de Mme Chevallier ont été exposés dans le hall du collège au lendemain des attentats du 13 novembre:
– des calligrammes en forme de Tour Eiffel ou de colombe, en hommage à Paris et à la paix (5B et 5E)
– des dessins suite à une réflexion des 3D sur les événements, d’après des tableaux de Max Ernst, Salvador Dali et Marc Chagall qui expriment la violence, la souffrance ou l’espoir. L’idée était de déterminer le sentiment dominant que l’on souhaitait exprimer parmi les trois.

Dans le cadre de la COP21, Paris organise une opération de forêt virtuelle sur la Tour Eiffel pour la reforestation dans le monde à laquelle s’associent les classes de Mme Chevallier du collège René Cassin.

Le projet:

« 1 Heart 1 Tree »  allie ?la présentation d’une œuvre d’art numérique à une initiative de reforestation. Ici, ?le réel et le virtuel ne sont plus opposés mais associés au profit d’une ?véritable expérimentation. Le cœur de ce projet est d’utiliser les technologies pour reconnecter la nature. ?C’est le battement de cœur de chaque spectateur qui donne naissance à un autre vivant, l’arbre, par le biais de technologies. La Tour Eiffel se métamorphose en forêt virtuelle de lumière du 29 novembre au 3 décembre 2015 de 18h à 1h du matin. Œuvre citoyenne, 1 Heart 1 Tree incarne la possibilité unique de faire battre nos cœurs à l’unisson pour mettre en commun notre inspiration du futur. Aujourd’hui, plus que jamais, il nous faut unir toutes les énergies pour porter un élan d’amour et partager un message positif pour la planète.

Pour en savoir plus ou regarder le direct, voici le site: https://www.1heart1tree.org/

Le collège René Cassin:

Les 5B, 5E et 3D de Mme Chevallier plantent leur arbre virtuel à cette occasion. Un élève  a été choisi pour représenter sa classe et faire pousser l’arbre au rythme de son cœur. Au préalable, la classe a choisi le nom ou le message de l’arbre virtuel, ainsi que le lieu où sera planté l’arbre réel parmi les 7 programmes de reforestation sur les cinq continents. Le représentant de la classe recevra une photo de l’arbre virtuel ainsi que le suivi de l’arbre réel pendant trois ans, qu’il pourra communiquer à ses camarades au fur et à mesure afin d’alimenter une conscience durable entre la nature et les adultes de demain.

Nous les remercions pour le soutien à ce projet d’avenir pour la Terre.
L’ arbre des 3D par exemple a été projeté sur la Tour Eiffel dimanche dernier à 23:19
L’arbre virtuel s’appelle MOMO CASSIN TREE et le vrai sera planté au Sénégal pour le projet: Restaurer l’écosystème, avec Oceanium, en Basse Casamance.

L’association Oceanium reconstruit l’écosystème dans les royaumes animistes de la Basse Casamance. Guidé par Haïdar El Ali, elle vise à régénérer l’écosystème en plantant des mangroves là où elles avaient été coupées pour faire du bois de chauffe, à anticiper les effets du changement climatique, à protéger les zone côtières des inondations et des tempêtes et à améliorer les conditions de vie des villageois de cette zone isolée. La plantation a lieu entre juillet et octobre et ce sont les villageois qui travaillent avec l’association pour replanter les mangroves et protéger les terres agricoles des inondations d’eau salée, qui rendent la terre stérile. 100.000 personnes ont réussi à planter 150 millions d’arbres, mais il reste beaucoup à faire. L’arbre aidera à protéger la grande biodiversité de cette région et aura un impact social et environnemental important sur le long terme.

Mme Chevallier