Rencontre avec Monsieur Luc Fraisse

2B et 2C accueillant M.Fraisse (13/10/23)

Il y a quelques semaines, nous avons eu la chance de rencontrer au lycée Monsieur Luc Fraisse, professeur d’Université, critique littéraire en littérature française et surtout, véritable passionné de Marcel Proust.

Après avoir obtenu son CAPES de lettres classiques en 1981, puis une agrégation de lettres classiques deux ans plus tard, il enchaîne par un doctorat à la Sorbonne et devient professeur en classes préparatoires. Il est aujourd’hui professeur de littérature française à l’université de Strasbourg et directeur de la collection “bibliothèque proustienne” des maisons d’éditions Classiques Garnier.

Monsieur Fraisse est donc un véritable passionné de littérature française et à dédié sa vie à celle-ci. En le rencontrant dans le cadre de sa venue au lycée, nous nous sommes demandé d’où lui venait cette véritable passion pour Marcel Proust. Voici sa réponse :

« Les cathédrales ! c’est grâce aux cathédrales !
Mon arrière-grand-père, Achille Roche, était architecte. Il a même participé à la construction d’une des dernières cathédrales, à Gap.
Un jour, il m’a proposé de lire une biographie de Marcel Proust. Au cours des lignes, une phrase a retenu mon attention : la vie de Marcel Proust a été construite comme une cathédrale. Cela à tout de suite fait écho à mon arrière-grand-père, et je n’ai jamais quitté Proust depuis. »

l’Illuminé : Marcel Proust, pour nous au lycée, ce n’est qu’un auteur comme les autres, un auteur de nos cours de français auquel on ne porte pas un intérêt spécial.
Pour vous alors, qu’est-ce qui rend Marcel Proust si particulier dans la littérature ?
Que dire à un lycéen un peu blasé par ses cours pour le faire lire du Proust avec envie ?

« Lorsque Marcel Proust écrit, il nous parle à nous, il nous parle de nous. Dans À la recherche du temps perdu par exemple, le narrateur dit « Je », c’est écrit à la première personne.
En réalité, ce je a pour but de prendre le lecteur par la main. Le narrateur nous conduit à comprendre notre propre psychologies, et celle des autres. Lire Marcel Proust c’est donc apprendre à se lire.

Ensuite, ce qui est magique chez Proust, c’est sa manière de décrire les ambiances. La musique est racontée, on voit le mouvement de la mer, on vit dans le monde décrit par l’auteur.
Lorsqu’il décrit une scène, on ne lit pas des mots, et en ce sens c’est là qu’est le génie de Marcel Proust. »

l’Illuminé : Vous êtes un passionné de littérature classique, vous enseignez d’ailleurs cette matière, mais vous, écrivez vous ?

« Je n’écris ni fiction ni poésie mais des écrits universitaires. Toutefois certains de mes élèves le font et je réponds alors à leurs questions et je lis leurs poèmes. »

C’est ainsi que ce termine ce tout petit entretien avec Monsieur Luc Fraisse.

En bonus, nous nous sommes demandé quelles notes vous aviez vous eu au bac de français, vous qui êtes un si grand connaisseur et passionné de littérature…

J’ai eu 17 à l’écrit et à l’oral.

Monsieur Fraisse, j’aimerais personnellement saluer, si vous passez par ici, votre bienveillance et votre enthousiasme. Si vous avez réussi à me convaincre, j’espère que cette petite interview en fera de même pour d’autres élèves.

Lucile Dudoret, TG2

RECUPLAST

Nous avons rencontré l’association RECUPLAST lors de la journée de l’engagement du mardi 20 septembre 2021 au lycée Condorcet.

Le but de cette journée était de rencontrer différentes associations et des bénévoles.

Association. Belfort : Récuplast a collecté près de dix tonnes de bouchons en un ancrédit photo : L’Est Républicain

Opérations :

Ils collectent les bouchons en aluminium/plastique.
S’il y en a, ils enlèvent toutes les étiquettes des bouchons pour éviter la souillure.
Ils les trient par *polypropylène (PP) et par **polyéthylène (PE).
Ils les broient dans une machine pour en faire des confettis.
Pour finir, ils les envoient dans différentes usines qui le leur payent.

Pourquoi ?

Les usines qui récupèrent les bouchons broyés en confettis leur donnent alors une autre vie.
Ils en font des objets de la vie de tous les jours : des poubelles, des cuvettes, des arrosoirs, tout sauf des choses alimentaires.

Où ?

Ils récupèrent les bouchons derrière le gymnase du Phare à Belfort et les envoient ensuite dans des usines partenaires.
Que font-ils de l’argent ?
Les recettes sont distribuées aux associations de Belfort pour
financer du matériel pour des personnes handicapées
faire des dons pour des chiens d’aveugles,
faire des dons contribuant aux sourires aux enfants hospitalisés,
installer de nouveaux lits aux hôpitaux,
→ financer des fauteuils roulants de sport pour des collégiens dans le besoin (un fauteuil roulant qui tombe en panne nécessite environ
7000 €),
soutenir les Restos du Cœur,
→ soutenir les étudiants,
soutenir des associations sportives (football, basketball, etc.)

Quelques chiffres :

2,5 tonnes de bouchons broyés cette année.
11 tonnes de bouchons donnés l’année dernière.
12 t de bouchons donnés chaque année.

Qu’est ce que je peux faire ?

Inciter le plus de personnes que possible à participer à la collecte.

Vocabulaire :

*polyéthylène (PE): Bouchons durs, non pliables.
**polypropylène (PP): Bouchons mous, souples.

Alexandre, 2°D

Nous, des héros ?

Ce jeudi 20 mai, le lycée Condorcet a ouvert ses portes à Thibault Quartier, journaliste pour le journal « Le Trois », afin de nous exprimer son espoir et sa confiance en notre génération pour garantir un meilleur futur à tous. Il nous a fait cette « déclaration d’amour » à l’occasion de sa venue au lycée accompagné de la romancière Dominique Manotti, de Mathilde Nassar, élue municipale à Belfort, et de Clarisse Holweck, lycéenne en Première G3 ici même.

La rencontre avec ces quatre personnalités engagées

Le début du commencement

Tous sont engagés de différentes manières. Où est-ce que tout a commencé pour eux ?

Dominique Manotti nous a d’abord parlé de son vécu, de ce qui l’a poussée à s’engager; elle nous a fait part de son tout premier engagement, qui était de « ne plus croire aux grands discours qu’elle pouvait entendre et de juger les gens uniquement par leurs actes et non leurs paroles ». 

Mathilde Nassar a surenchéri en nous parlant de son passé en tant que bibliothécaire. Les budgets de la bibliothèque de Belfort ayant été coupés, et la culture étant très importante de son point de vue, elle décida de ne pas rester les bras croisés et de rassembler du monde partageant son avis, afin de se faire entendre. Une chose en entrainant une autre, elle se lança aux élections municipales pour devenir maire de Belfort. 

Clarisse Holweck, elle, ne s’est pas d’abord engagée pour les autres mais plutôt dans le but de soulager sa conscience. Ayant énormément peur du réchauffement climatique et de ce qu’il pourrait engendrer dans les années futures, elle décida de réguler sa vie quotidienne en fonction de ses valeurs pour « avoir fait sa part des choses ». Elle s’engage en manifestant et en faisant des réunions avec un groupe belfortain adhérant au mouvement Youth for Climat.

Nos quatre invités (photo Peter Lhuillier)

Thibault Quartier lui, ne savait pas avant sa venue ici qu’il était engagé, il faut croire qu’il l’a appris en même temps que nous ! Il nous a partagé une histoire personnelle qu’il aurait vécu avec son oncle étant plus jeune. Ayant fait des études d’histoire à l’étranger, il a dû les payer. Son oncle, travaillant en tant que médecin, lui a donné de l’aide dans le financement. Thibault s’est toujours demandé comment il aurait pu lui rendre ceci. Quand il a posé la question à son oncle. il lui a simplement répondu que le jour où il aura le pouvoir d’aider quelqu’un à son tour, il le fera. Alors c’est ce qu’il fait aujourd’hui en plaçant tant d’espoir en nous, les jeunes, et en voulant les aider à faire ce qu’ils souhaitent.

Où vont nos impôts ? Ne pourraient-ils pas servir à meilleur escient ? 

« Voilà une bonne définition du mot politique,  qui les paye et où vont-ils? » nous a dit Dominique Manotti. 

La réponse est que bien souvent ceux qui gagnent le plus d’argent en paient le moins. Comme les joueurs de football par exemple, nous avons longtemps parlé d’eux avec Dominique Manotti et Thibault Quartier. Et il semblerait qu’ils sont peu nombreux à les payer ou alors qu’ils ne le montrent pas forcément.

Mathilde Nassar, elle, nous a parlé de son point de vue personnel, qui tournait autour d’une seule question « devons nous donner pour que tout le monde puisse en profiter ou alors garder, et chacun se débrouiller ? ». Elle part plutôt sur le principe de la solidarité où nous devons tous nous entraider. 

Le changement c’est maintenant !

Tous ont été à peu près d’accord pour dire que la société changeait et qu’elle avait déjà bien avancé.

Les générations ne sont plus les mêmes, elles n’ont pas forcément les mêmes principes et idées. Et nous, la nouvelle génération, serions ceux qui aurait le pouvoir de faire bouger les choses avant qu’il ne soit trop tard. Comme Clarisse par exemple, qui s’engage dans la lutte pour le climat. Si comme Clarisse chacun donnait un peu de lui-même pour faire changer les choses, peut-être que tout cela aurait des conséquences, de bonnes conséquences. 

(photo Peter Lhuillier)

Nous avons pu parler des manifestations notamment, car nous étions beaucoup à penser qu’il n’y avait pas de résultats ou alors qu’ils n’étaient pas voyants. Mathilde Nassar nous a répondu qu’il fallait beaucoup de patience, et continuer les efforts, car c’est en persistant, que plus de monde se joindra à nous. Elle a également rajouté que chaque personne compte quand il s’agit de choses aussi importantes que celles là.

Agissons ensemble !

Pour conclure, ces interventions nous ont permis pour certains, d’acquérir une toute autre vision de ce qu’est l’engagement. Nous avons pu entendre différentes facettes et opinions que nous ne connaissions pas avant (comme pour le journalisme). L’engagement c’est savoir s’impliquer et se lever face aux problèmes, que l’on soit homme ou femme, nous pouvons tous déjà agir dans notre vie quotidienne. Si l’on veut que les choses changent, il faut savoir prendre des initiatives par soi même et ne pas attendre que quelqu’un le fasse à notre place. Ces engagements nous permettent de s’épanouir et de donner notre pierre à l’édifice afin de lutter pour ou contre quelque chose qui nous tient à cœur.

DEMURU Paola ; COURTOT Elodie ; GAMBARDELLO Léane ; FANDELET Constance
Seconde H

« 21 mars : Journée mondiale de la trisomie 21 »

Vendredi 19 mars, le CVL proposait à la cafétéria du lycée une sensibilisation à la question du handicap et de la trisomie 21 en particulier.
L’heure de mettre en avant une jeune association locale, de la région de Lure : L’extraordinaire21

Journée de la Trisomie au lycée
Vente de sirops, de mugs au profit de L’extraordinaire21

A l’occasion de cette journée, la présidente (et fondatrice) de l’association L’extraordinaire21 a répondu aux questions de l’Illuminé.

Pouvez-vous vous présenter ?

source L'extraordinaire21 (https://www.facebook.com/lextraordinaire21/)
Nathanaël et ses trois frères et sœurs.

Je m’appelle Julie, je suis maman de 33 ans. J’ai 4 enfants de 11 ans, 4 ans et deux jumeaux de 3 ans dont l’un est porteur de trisomie 21. Je suis ancienne commerciale, et à présent je m’occupe de mes enfants. Et aussi créatrice et présidente de l’association L’extraordinaire21.

Qu’est-ce que la trisomie ?

La trisomie 21 est une anomalie génétique qui fait que l’individu a trois chromosomes sur la paire 21 (au lieu de deux). Elle est aussi appelée maladie de Down. Ce chromosome en plus fait que le développement d’un enfant trisomique prendra plus de temps. Il y a également des caractéristiques physiques reconnaissables. Les yeux en forme d’amande, le nez court en trompette, le cou plus fort. Il peut aussi il y avoir un tonus musculaire moindre par rapport à nous, l’enfant est plus faible.

Pourquoi cette association ?

Nous avons créé cette association après la naissance de Nathanaël, notre enfant atteint de trisomie 21. On a vite remarqué qu’ici il n’y avait rien. Et que c’est maintenant qu’il faut créer et mettre en place quelque chose, pour lui mais pas seulement pour lui… parce qu’ici, dans cette région, à part dans les foyers, les enfants ont peu de place dans le monde « ordinaire ».

Quelles sont vos actions et vos projets à venir ?

Tout au long de l’année on a plusieurs actions qui nous permettent de récolter des fonds. Nous faisons des emballages cadeaux, des ventes de savons éthiques bio et responsable, de chocolats en période de fêtes, on a également fait une campagne de fonds participatifs. Et ces fonds serviront dans un premiers temps pour la création d’une épicerie de vrac « zéro déchets ».

Dites-m’en plus sur ce projet d’épicerie :

Les personnes porteuses de trisomies 21 pourront y travailler, à la vue de tous. S’occuper de la mise en valeur du point de vente, gérer les commandes qui arrivent, celles des clients. Travailler vraiment comme un salarié « ordinaire ».

Pourquoi l’appellation « extraordinaire » ?

On dit de la population non porteuse de trisomie qu’elle est « ordinaire ». Les mamans d’enfants trisomiques se sont donc dit qu’ils n’étaient pas ordinaires, pas normaux, mais « extraordinaires ». On les trouvait très beaux et on a décidé de garder ce nom.

Un message à faire passer aux lecteurs ?

Stand proposant des mugs L’extraordinaire21

C’est pas parce qu’on est trisomique qu’on n’est pas capable de faire les choses de la vie courante, être autonome, travailler… Tout ça peut se faire, il faut juste un peu plus de temps et surtout beaucoup de tolérance de la part des personnes ordinaires. J’aimerais aussi que les lecteurs essaient d’ouvrir leur regard sur la personne handicapée, et même plus loin, sur la différence en général.

Dimanche 21 mars a eu lieu la journée mondiale de la trisomie :  vous pouvez toujours vous joindre au mouvement des chaussettes dépareillées.
Participez simplement. Mettez des chaussettes dépareillées. Prenez-les en photos, seul ou à plusieurs. Partagez sur instagram : @lextraordinaire21

Pour en savoir plus : https://www.lextraordinaire21.com/

Manon Tihay, 1G7

Condorcet accueille le Recteur

Le mercredi 20 janvier 2021, le Recteur de l’académie de Besançon, Jean-François Chanet, est venu dans notre lycée et est intervenu au CDI devant une classe de Terminale générale afin de répondre aux interrogations des élèves à propos de leur orientation. Stratégie de communication ou véritable volonté de rassurer les futurs étudiants ?  Un Illuminé s’est infiltré : on vous dit tout ici !

Une date bien choisie

Au CDI : rencontre du Recteur et des élèves de TG8

La date de la venue du Recteur n’est pas anodine. En effet, c’est ce jour là que la plateforme Parcoursup ouvrait, rendant la saisie des vœux accessible pour les Terminales et les étudiants en réorientation. L’autre motif officiel de la visite était la remise des médailles aux deux adolescents, élèves du collège voisin Léonard de Vinci, pour les récompenser de l’acte courageux qu’il ont effectué en sauvant un père et son fils de la noyade.

Après avoir rencontré les élèves du CVL du lycée, le Recteur est donc intervenu au CDI auprès d’une classe de Terminale ; il y a tenu un discours rassurant qui répond aux inquiétudes des élèves qui semblent plus que perturbés par la situation actuelle. Annulation des épreuves, rentrée dans le supérieur en distanciel… tous ces facteurs inquiètent et déstabilisent, en cette année déterminante. Difficile de projeter et d’avoir des perspectives professionnelles en pleine pandémie mondiale ! Le Recteur se montre conscient que c’est une période compliquée pour l’éducation et que cela génère du doute chez les lycéens qui doivent faire des choix importants. Il ira même jusqu’à faire un parallèle avec la situation de 1968, année durant laquelle le bac avait également été annulé.

Le droit à l’erreur…

Le coin orientation, au CDI

Même si les autres intervenants rappellent que la formulation des vœux représente une décision importante, le Recteur insiste sur le fait que les choix ne sont pas définitifs et que les hésitations sont normales, « le droit à l’erreur existe, le droit de changer de voie ». Il est vrai que la formulation des vœux et ces décisions d’orientation semblent décisives, et qu’elles sont bien souvent marquées par le doute et le stress de ne pas savoir quel est le bon choix. Aussi, nous rappelons à nos lecteurs qui nagent en plein doute qu’il y a au CDI un endroit dédié à la recherche d’information concernant les études post bac, le Kiosque, et qu’il est aussi possible de prendre rendez-vous avec la Psy-EN (« Conseillère d’orientation », anciennement COP) auprès de la Vie scolaire.

Pour évaluer le niveau d’incertitude, le proviseur pose la question suivante à l’assemblée : « qui est prêt à formuler ses vœux dès l’ouverture de Parcoursup à 14h ? » Sans grande surprise, peu de mains se lèvent. Mais le professeur principal de la classe -M. Caty- rappelle que, dans cette classe, 95 % des élèves ont pourtant déjà un projet. Le représentant de l’État souligne alors que c’est là sûrement une des merveilleuses conséquences de la réforme du bac et que c’est grâce à cette période de pandémie que les élèves ont pu apprendre à devenir plus autonomes.  En effet, les choix des spécialités ont déjà permis aux lycéens de s’interroger sur leur orientation… D’autres diront que ce choix précoce en constitue la limite.
Rappelons quand même qu
e pour la plupart des élèves, le fait de cumuler nouvelle réforme et confinement n’a pas été aussi instructif et bénéfique pour leur scolarité.

L’intervention se finira par un discours par celui que M. le Recteur appelle « M. Onisep» (ou plus formellement le directeur régional de l’Onisep et délégué à l’orientation de l’académie), intervention plus théorique sur le fonctionnement de Parcoursup. En résumé, Pacoursup est un outil qui donne accès aux informations, muni d’un algorithme qui ne traite pas les demandes mais applique des lois et des quotas.

Quelles perspectives pour notre vie étudiante ?

Pour conclure la réunion, avant de partir en salle 316 où il devait ensuite rencontrer les élèves de TSTMG1, le Recteur encourage les élèves à ne se fermer aucune porte en allant au-delà des stéréotypes de certaines filières – comme le secteur culturel et artistique – qui sont essentielles.

Lors de cette présentation rassurante de l’outil Parcoursup, soulignons tout de même que le Recteur n’a proposé aucune perspective sur le retour en cours des élèves de l’Université dont la détresse s’exprime depuis plusieurs semaines sous le « #etudiantsfantomes ».

Difficile d’imaginer ses débuts dans la vie étudiante en cours sur zoom dans sa chambre alors qu’on rêve d’émancipation…

Alice B.

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