Notre enquête débute par une analyse des termes du sujet : dans le langage commun cela peut signifier :
- être fou et ne pas avoir toute sa tête,
- ou bien alors être idiot et ne pas avoir inventé la poudre…
Autrement dit la question que nous nous posons est bien de savoir si M Larhantec est doué de bon sens et ne dit pas (trop souvent) de choses insensées.
D’après un sondage de longue haleine, effectué auprès des professeurs accompagnateurs, nous avons pu comprendre que la réponse à cette question faisait l’unanimité.
En effet seule Mme Gable pense qu’il a la lumière a tous les étages surtout lorsqu’il s’agit de paperasse. Réponse à l’évidence sous influence, au regard des liens qu’ils nouent depuis des années en tant que coPP.
Pour les autres professeurs c’est une autre histoire ! Chacun s’est accordé à dire qu’au vu de sa petite taille, il avait forcément dû manquer de lumière et qu’en conséquent, il n’était pas très véloce question « éclairage » : selon M.Augel si, au rez-de chaussé la lumière est bien présente, au dernier étage, il faut bien la chercher ! Explication scientifique apportée : comme les petits arbres dans une forêt, la lumière ne l’atteint qu’après que ses congénères (professeurs éclairés) aient été irradiés de clarté. En conséquence, sa lumière est donc de faible éclairage. M Augel poursuit en lui conseillant même de passer aux ampoules LED !
D’autres témoignages concordent en ce sens et même si nos interlocuteurs préfèrent garder leurs identités secrètes, il semblerait que la lumière soit présente mais seulement au sous- sol et en courant alternatif ! C’est ainsi que M Loz….(identité secrète) nous a confié avoir vu M. Larhantec chercher des nains de jardins à quatre pattes dans le patio avec une lampe frontale pendant que les élèves, petits individus en quête de la dite lumière, passaient leur bac blanc… devant une telle anecdote, tout le monde s’accorde alors à penser qu’effectivement il n’est au courant de rien et qu’il ne fonctionne qu’en 12 volts tel un poulet de batterie . Il est à souhaiter que la mise en place de l’éolienne par les premières S1 il y a 3 ans, soit de nature à reconnecter les synapses et les neurones du chercheur qui fut, il y a quelques années encore, le plus grand spécialiste de lézard-hantec.
Autre témoignage recueilli, celui de la non moins éclairée, Mme Bariller. L’étage qu’elle teste le plus souvent chez son homologue en survêtement est celui du cerveau : en résulte la plupart du temps un électroencéphalogramme plat. Peu d’activités constatées, à l’exception d’une fois par an, au ski, lorsqu’il joue au Time’s Up. On assiste alors à un véritable embrasement, un feu d’artifice de mimes, de sons, un pur moment…alors là oui la lumière s’éclaire …..momentanément.
Tous ces témoignages concordants nous poussent à dire qu’il n’est ni fou ni décérébré mais partiellement « éclairé ». A nous de parvenir à rallonger ces moments de connexion cérébrale afin qu’il ne bascule pas du côté obscure de la force…
Les esprits lumineux : Emma, Maëlys, Mathéo, Mathis.
