La goutte s’écrase et… brûle le cerveau comme un acide

La goutte s’écrase et d’heure en heure transperce le crâne, brûle le cerveau comme un acide p. 41
C’est une image. En fait c’est la pensée. Marie G. dans sa cellule,  pense qu’elle va mourir, elle regrette, elle souffre. Elle ne vit pas directement le supplice de la goutte d’eau, mais sa situation lui semble similaire. « Cette gêne infime à chaque respiration trace une ligne rose claire dans son cou, le long de ses hanches, elle lui rappelle au fond de sa nuit la cellule de la Roquette« . En fait la problème c’est la répétition. C’est la répétition qui lui donne l’impression que son cerveau la brûle comme un acide.
Hayk Youssoufian

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