La machine à tuer

ClickHandlerJe vais vous parler de « La bête humaine » un roman ecrit pas Emile Zola publié la toute première fois dans un habdomadaire illustré : La Vie populaire le 14 novembre 1889 au 2 mars 1890 . Elle fait partie de la grande série de Zola les « Rougon-Macquart »
Ce roman est un roman qui cherche a dénoncer le coté sombre de l’homme « la Bête » comme le dit Zola .
On commence tout d’abord avec Roubaud un hommme qui semble être le personnage principal de ce livre et qui va découvrir que Grandmorin ,un homme qui a aidé Séverine,(la femme de roubaud) abuse d’elle depuis longtemps et Roubaud décide donc de se venger. Or premiére suprise dans ce livre c’est que le personnage principal qui a donné son nom au livre n’apparait que dans le chapitre 2 : Jaques Lantier
Jacques Lantier qui est donc le personnage principal de ce roman est soumis à des pulsions meurtrières , ce qui lui donne donc le nom de Bête Humaine .
Mais comment se fait-il que ces deux personnages réunis juste par l’envie meurtrière aient un lien ?
Et bien car ce roman ne tourne qu’autour d’histoires de meutre et que très vite ces deux personnages vont se retrouver liés à une histoire bien sombre que je vous laisse le plaisir de  découvrir.
J’ai donc bien aimé ce roman car au final il nous plonge dans cette histoire sombre et nous cherchons donc à comprendre comment tout cela a pu se produire. Nous sommes confrontés à des hommes qui donnent l’impresion d’être des machines à tuer , ils semblent avoir perdu la raison et ne peuvent pas cacher leur envie de tuer et cela m’a captivé pendant tout le livre . Dés le début nous sommes confrontés aux envies meurtrières des principaux protagonistes et cela nous tient en haleine et on lit ce long roman sans s’arréter.
Il y a ensuite certains points négatifs comme trop de descriptions dans   son roman et donc cela m’a un peu ennuyé du fait que nous en savons peu en lisant beaucoup.Mais cela permet de rendre le contexte de l’histoire encore plus sombre.
C’est un livre qui contre toute attente m’a plu et qui donc m’a donné envie de lire d’autres oeuvres écrites par Zola.

Alexandre Lecorché.

4 réflexions sur « La machine à tuer »

  1. Roubaud, sous-chef de la gare du Havre est en déplacement à Paris pour régler un conflit avec le sous-préfet. Il loge avec sa femme Séverine dans un petit appartement. Séverine a perdu ses parents très jeune. Son père était le jardinier du Président de la compagnie Grandmorin, ce dernier l’a adopté par la suite. Roubaud étant d’un tempérament colérique bat sa femme lorsqu’il apprend qu’elle lui a menti sur la provenance d’une bague. Séverine avoue donc à son mari que le président Grandmorin a abusé d’elle pendant de longues années. Roubaud décide alors de le tuer.

    Jacques Lantier, un conducteur de train, a quelques jours de repos durant lesquels il décide de rendre visite à sa marraine Phasie. Cette dernière est très malade et accuse son mari, Misard un garde-barrière, de vouloir la tuer pour avoir son argent. Phasie a une fille, Flore. Elle ne se laisse pas facilement approcher par le sexe opposé mais accepte les avances de Jacques. Celui-ci est pris par une irrésistible envie de la tuer. Il fuit se balader dans la campagne pour calmer ses pulsions meurtrières. En marchant le long de la voix ferrée, il aperçoit à l’intérieur d’un train un homme tranchant la gorge à un autre. Quelques minutes plus tard alors que Jacques était chez Phasie, Misard l’appelle car un corps à été jeté d’un train. Flore reconnait le président Grandmorin.

    Par la suite, M.Denizet interroge les Roubaud et les Lachesnaye (couple formé par la fille du président et de son mari). Après, il annonce comme coupable Cabuche. Soulagés, les Roubaud rentrent chez eux.

    Séverine et Jacques Lantier ont une relation cachée. Ces derniers décident de tuer Roubaud qui est un obstacle à leur amour. Ils ne vont pas jusqu’à exécuter leur plan. Prise de jalousie lorsqu’elle apprend l’éxistence de cette relation, Flore decide de faire dérailler le train de Jacques et Sèverine, tout deux survivent et Flore met fin à ses jours. Ayant à nouveau une folle envie de tuer, Jacques Lantier tue sa maitresse.

    Après tout ça, Jacques et Pecqueux, le deuxième conducteur du train, se battent aux commandes de la machine. tout deux sont éjectés du train en marche, laissant le train continuer sa route sans conducteurs. On les retrouvera au bord des rails sans tête et sans pieds.

    Après ce drame, Cabuche est accusé de la mort du président Grandmorin car on a retrouvé sa montre à son domicile et Roubaud est accusé de la mort de Séverine.

    Malgouyres Mallory, 2°4

  2. La Bête Humaine est le 17ème roman de la série « Les Rougon-Macquart », écrit par Emile Zola et publié en 1890. Cette histoire est une enquête qui se passe dans un train sur la ligne Paris-Saint-Lazare _ Le Havre. Il y a neuf grands personnages qui vont changer le cours de l’histoire :

    Roubaud, le sous chef de gare au Havre dont on ne connaît pas le prénom et qui va tuer le président Grandmorin par pure jalousie et qui après cela, va tomber dans une longue dépression.
    Séverine Roubaud, la femme de Roubaud et amante de Jacques Lantier et complice du meurtre de Grandmorin. Son mari, lui, devient odieux et elle le fait éliminer par son amant.
    Jacques Lantier, employé de sa locomotive » la Lison », devient l’amant de Séverine Roubaud avant de devenir son meurtrier. Il évite le pire avec sa cousine Flore et est gracieux avec Phasie, sa tante.
    Le président Grandmorin, un bourgeois et le président de la compagnie de chemin de fer. Il offre sa protection à Séverine et à son mari Roubaud, en leur réservant en héritage la maison où Séverine mourra, à la Croix Maufras. Il meurt assassiné dans un train par les Roubaud.
    Flore, la cousine de Jacques Lantier, elle l’aime en secret depuis longtemps mais sera trahie par lui lorsqu’il ira vers Séverine. Une fois que sa mère Phasie décède, Flore déboulonne et a l’envie de tuer Jacques et Séverine qu’elle n’arrivera pas à supprimer malgré une catastrophe ferroviaire dont elle sera la cause. N’y arrivant pas, elle décide de se suicider.
    Le juge Denizet, c’est lui qui sera chargé de l’affaire du meurtre de Grandmorin qu’il n’arrivera pas à élucider. Il condamnera finalement un innocent.
    Phasie, la tante de Jacques Lantier et la mère de Flore. Elle est employée dans la compagnie des chemins de fer.
    Misard, il est le beau-père de Flore, il est lui aussi employé comme sa femme dans la compagnie de chemins de fer. Il tuera sa femme Phasie en l’empoisonnant pour lui faire avouer où elle cache son argent, mais il ne le saura jamais.
    Cabuche, l’homme des bois, il est témoin des rapprochements de Grandmorin avec Louisette, il est aussi témoin des meurtres et des catastrophes ferroviaires.

    J’ai bien aimé ce roman car il y énormément de retournements de situations. Les enquêtes se mêlent et se démêlent lorsque les vérités ‘éclatent’. On se demande à chaque moment quelle sera la prochaine victime, pourquoi, et comment se passera le meurtre qu’il ou elle subira
    Hugo Bigeyre

  3. Roubaud et Séverine, deux fiancés vivent ensemble depuis déjà quelques années, mais un jour, l’homme demande à sa femme, qu’elle est la bague que celle-ci porte depuis toujours autour de son doigt. C’est alors qu’il apprend le terrible passé de sa femme, qu’a-t-il appris? Comment a réagi l »homme? et que va-t-il faire par la suite?

    Entre action, meurtre, hérédité, alcoolisme, misère, problèmes familiaux et jalousie, découvrez l’histoire de la famille Rougand-Macquart illustrée par Emile Zola.

    Ce livre était plutôt captivant, mais beaucoup trop long avec beaucoup de passages qui pourraient très bien ne pas avoir lieu.

    HEBERLE Mathilde 2°4

  4. J’ai bien aimé ce roman, car les personnages sont bien construits, et il y a beaucoup de retournements de situations. Beaucoup de facettes sombres de l’homme sont énoncées dans ce livre, dont l’envie de meurtre très présente tout au long de l’histoire. J’aime aussi beaucoup comment Zola, a imaginé Jaques Lantier, ce personnage principal mystérieux aux nombreuses pulsions meurtrières, qui lui a valu d’être considéré comme « une bête humaine », que l’on retrouve citée dans le titre de ce livre. Il y a aussi de captivant, la façon dont Zola a recréé les sentiments de colères, jalousies, déceptions ressentis par le personnage Roubaud, qui ont fait de lui, un homme perdu dans sa noirceur. Le lien entre ces deux personnages Roubaud et Lantier, qui se renforce au fur à mesure du roman est très intéressant. Les moments d’action me plaisent beaucoup, ils nous entraînent vraiment dans le roman, dans ce coté thriller, bien que certaines pauses descriptives me paraissent un peu longues.
    Ma citation préférée est «  Les deux hommes, tombés ensemble entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse furent coupés, hachés, dans leur étreinte,dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient vécu en frères. » car cette citation marque dans le sang la fin de la vie de cette bête humaine, accompagnée dans la mort de Pecqueux. Ils était tous deux si différents mais prisonniers, non libres de tous leurs actes: Jacques était possédé par sa bête, Pecqueux soumis à l’alcool. Mais cet acte marque aussi la fin de la bête qui désigne le train qui continue de rouler encore et encore en tenant dans ses mains la vie de plusieurs soldats.

    Viollet lucile

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