Nana est un roman de Émile Zola, publié en 1880. Nana fait partie de la série les Rougon-Macquart dont il est le neuvième épisode. Nana parle de la prostitution féminine en suivant le parcours d’une courtisane dont les charmes ont rendu fou les plus hauts dignitaires du Second Empire. L’histoire débute en 1867 et se finit en 1870, cela dure donc trois ans.
Nana est une femme née dans la misère du monde ouvrier, elle est la fille de Gervaise et de Coupeau (deux personnages de la famille Rougon-Macquart) ainsi que la mère de Louiset qu’elle a eu à l’âge de seize ans. Le début de l’histoire présente Nana dans sa misère. Mais malgré cela elle habite tout de même dans un appartement luxueux offert par un de ses amants. Elle commence à se faire connaître tout d’abord grâce au rôle de Vénus dans un théâtre parisien, après cela son ascension ne s’arrête pas et ne cesse de séduire chaque homme qu’elle croise qu’elle humiliera tout le long du livre par des procédures différentes (ruiné, suicidaire, escrocs..). Elle finira par trouver l’amour mais ce dernier la battra et elle finira par fuir pour se réfugier dans une relation avec la prostitué Satin. Elle reviendra avec un de ses amants qu’elle ruinera également avant de disparaître. Elle réapparaîtra alors que son fils est mort d’une maladie qu’elle attrapera également pour mourir en juillet 1970.
Ce livre n’est pas vraiment mon genre mais je le conseille pour les grands lecteurs, ceci dit c’est un classique il est donc utile de l’avoir lu une fois.
Gaches Manon
Émile Zola durant sa série des Rougon-Macquart a publié Nana, qui en est le neuvième ouvrage, en 1880. Nana est, comme on peut le voir le personnage principal du livre. Elle est la fille de Gervaise (L’assomoir). Tout au long du roman elle va se servir de son corps pour avoir ce qu’elle veut. C’est une jeune femme qui vit au jour le jour et qui ne réfléchit pas trop avant d’agir. Ses coups d’impulsivité lui vaudront d’ailleurs quelques problèmes. Tous les hommes la désirent et elle en est consciente. C’est surtout vers la fin du roman qu’elle va en profiter et liquider littéralement la fortune de plusieurs de ses amants. Elle sera la cause de la jalousie d’un certain nombre de femmes autour d’elle. Elle tombera tout de même amoureuse mais elle se fera battre par son soi-disant amant et fuira pour éviter les violences de ce dernier. Elle finira par disparaître et ne réapparaîtra que lorsque son fils tombera malade et en mourra. Finalement, elle mourra à son tour en été 1970.
Pour moi, ce livre est assez compliqué à lire car Zola a un style d’écriture très détaillé et que certains passages sont assez longs, je le recommande donc à des personnes qui aiment lire ce genre de classiques.
Morat Chloé,
Nana est un roman écrit par Emile Zola en 1880 composé de 492 pages. Faisant parti de la série des Rougon-Macquart, Nana est le neuvième épisode.
Emile Zola est un écrivain français qui appartient au mouvement littéraire du Naturalisme. Il travaille chez Hachette pendant 4 ans et commence par publier ses 1ére chroniques. Puis il devient Chroniqueur à « l’événement » et défend les peintres impressionnistes. Puis il publia petit à petit ce qui fut une suite de livres de la famille des « Rougon – Macquart », qui connu un très grand succès. Nana en est le IXème Tome qu’il publia en 1880. En 1898 il publie « J’accuse » et écrit une lettre au président pour clamer l’innocence de Dreyfus. Le 29 septembre 1902 il meurt à Paris.
L’histoire est centrée sur un personnage du nom de Nana ( la fille de Gervaise dans l’Assommoir). Tout au long du roman elle va se servir de son corps pour avoir ce qu’elle veut. C’est une jeune femme qui vit au jour le jour et qui ne réfléchit pas trop avant d’agir. Ses coups d’impulsivité lui vaudront d’ailleurs quelques problèmes. Tous les hommes la désirent, et elle en est consciente. C’est surtout vers la fin du roman qu’elle va en profiter et liquider littéralement la fortune de plusieurs hommes. D’ailleurs elle aura pas mal de demandes en mariage, mais elle n’en acceptera aucune. Ensuite Nana attire la jalousie des femmes. En particulier de Rose Mignon, à qui elle a volé un rôle dans une pièce de théâtre. Mais lorsqu’elle est mourante un lien d’amitié soudain se créer : Rose reste à son chevet durant 3 jours jusqu’à ce que ça soit fini …
J’ai aimé l’histoire, malgré ce que fait Nana, malgré ses caprices, on l’apprécie et on s’attache à elle. Mais j’ai trouvé qu’il n’y avait pas assez d’actions, de péripéties. Il y a des longues scènes détaillées qui parfois sont un peu ennuyeuses, mais c’est la caractéristique de Zola de bien décrire les événements. Et puis de telles descriptions permettent de voir la vie à cette époque, et dans ce livre on décrit la vie mondaine. La dernière scène du roman où Zola décrit le cadavre de Nana est très bien faite, elle met en opposition le fait que tout au long du roman cette femme était superbe et désirée de tous, mais qu’elle mourra extrêmement défigurée.
Cependant ce livre reste pas mal.
Hardes Mélinda 2nd4
Au commencement du livre nous retrouvons Anna (alias Nana) au théâtre des Variétés dirigé par l’impitoyable Bordenave. Elle interprète un rôle très audacieux Vénus dans une pièce qui l’ai tout autant « La vénus blonde ». Nana n’a aucun talent ni pour le chant ni pour interprétation pourtant sont charmes fait que tous le monde va beaucoup l’apprécier. Un journaliste du Figaro était présent dans la salle et fait un article très élogieux sur Nana. Après son incroyable prestation Nana est réveillée par Zoé et lui avoue qu’elle a besoin d’argent pour continuer à mener son train de vie et s’occuper de son fils. Elle commence donc à se prostituer. Elle continue à représenter « La vénus blonde » et le succès est toujours au rendez-vous. Elle entretient des relations avec des personnes très haut placées notamment le compte Muffat. Puis elle tombe amoureuse de Fontan un autre comédien, elle s’installe chez lui mais très vite il se met à la battre et elle doit se prostituer avec Satin une de ses ancienne amie de pension, puis il la met à la porte. Elle n’a pas eu pas de mal à trouver de nouveaux prétendants tout en continuant sa relation avec Satin. Grace à ses relations intimes avec le comte Muffat elle fait marier sa fille Estelle avec un de ses ancien amant Dagunet Paul. A chaque fois qu’elle termine une relation avec un homme il finit ruiné (le compte Muffat, Steiner le banquier…). Certains de ces hommes se suicident même (le compte Vandeuvres, George…). A la fin on retrouve Nana qui revient à Paris pour voir son fils qui est en train de mourir de la variole, une de ses anciennes ennemies Rose apprend que Nana aussi a attrapé la variole et veut l’aider mais malgré cela elle meurt.
Bonnet Laura
Nana est un roman écrit en 1880 par Émile Zola, c’est le neuvième épisode de la série des Rougon-Macquart.
L’histoire se passe à Paris, on suit une femme nommée Nana qui est née dans la misère. Elle a eu un fils, Louiset, à l’âge de seize ans et sera prête à tout pour pouvoir le récupérer. Malgré sa misère elle dort dans un appartement de luxe que lui paie un de ses amants, elle va se servir de son corps pour avoir se qu’elle désire. Elle se fait connaître en jouant Vénus dans une pièce de théâtre puis elle ne cesse de séduire les hommes et à chaque fois elle les humiliera. Elle elle va tomber amoureuse d’un homme mais malheureusement celui-ci va la battre, elle va donc fuir et entretenir une relation avec la prostituée Satin. A la fin Louiset attrape la variole est en meurt, Nana l’attrapera aussi, Rose Mignon restera à son chevet jusqu’à ce que Nana meurt.
Ce livre est très bien écrit mais il y a énormément de scènes descriptives et pas beaucoup d’action, ce livre est difficile à lire donc je le conseille aux personnes qui aiment lire les classiques.
Diet Mathilde
Je n’ai pas aimé l’histoire, ce que fait Nana, ses caprices, ses histoires avec les hommes et tout ce qu’elle a pu faire ne m’a pas aidé à avoir envie de continuer de lire ce livre. J’ai trouvé qu’il n’y avait pas assez d’actions et de péripéties. Il y a trop de longues scènes détaillées qui sont ennuyeuses… Nana se moque bien des ses amants et pousse même quelques hommes au suicide ! Mais j’ai quand même aimé la dernière scène du roman où Zola décrit le cadavre de Nana où il met en opposition le fait que tout au long du roman cette femme était désirée de tous, mais qu’elle meurt défigurée.
Je conseille donc ce livre à des personnes aimant les histoires longues et détaillées.
« C’était trop bête d’aimer, ça ne menait à rien. Puis, elle avait des scrupules, à cause du jeune âge de Zizi ; vrai, elle s’était conduite d’une façon pas honnête. Ma foi ! Elle rentrait dans le bon chemin, elle prenait un vieux. »
Mercier Alexia