Le rêve, Emile Zola

Le Rêve est un roman d’Émile Zola publié en 1888, le seizième des Les Rougon-Macquart.

L’histoire ce déroule dans la ville de Beaumont,où un couple Hubert et Hubertine, trouvent dans la rue une petite fille perdue. Ils la ramènent chez eux et apprennent qu’elle a été abandonnée, puis accueillie dans une famille qui la battait. Elle prend donc le poste d’apprenti-brodeuse.  Angélique, travaille bien, elle fait des œuvres magnifiques. Elle devient adolescente, et son rêve est d’aimer et d’être aimée, elle s’imagine qu’un prince viendra la chercher. Puis son rêve commence à se réaliser. Un jour elle aperçoit un beau jeune homme. Un jour il lui dit en face « Je vous aime ». Angélique prit peur et s’enfuit. Elle décide après de plus le revoir. Mais elle l’aimait malgré tout. Il commanda une bordure chez elle, et afin de la voir, il proposa de contrôler ce que faisait Angélique, et pendant deux semaines, ils restèrent ensemble, dans l’atelier. Le jour de la procession, les Huberts et la jeune fille découvrirent que ce jeune homme, Félicien, étai le fils du roi. C’était son rêve qui se réalisait. Mais le roi avait déjà prévu le mariage de son fils avec une autre. Angélique avait pas peur, mais Hubertine l’avertit que la date était fixée, et qu’il fallait qu’elle l’oublie. Angélique essaya de l’oublier, tout en sachant qu’il l’aimait. Mais Félicien ne venait plus, alors Angélique pensa qu’il ne l’aimait plus et tomba malade. Mais le roi accepta que son fils l’épouse, mais ça ne changea rien, et elle mourra le jour de son mariage.

J’ai un avis partagé, c’est un  beau roman,mais difficile au début, l’histoire commence réellement au bout d’une centaine de pages, ce que j’ai trouvé lassant, et je me suis plutôt ennuyée près des trois quarts du livre, il aura fallu attendre les derniers chapitres pour commencer à m’intéresser un peu, c’est dommage. J’ai trouvé un aspect poétique à certains moments malgré  le vocabulaire utilisé qui est assez dur.  J’ai eu parfois l’impression que l’histoire manquait de réalisme…

Chloé Haberzettel

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