Ecrivain et professeur

Ce vendredi 4 décembre, Hélène Lenoir est venue nous rencontrer à Rascol. Nous avons pu lui poser de nombreuses questions sur l’écriture de son dernier livre Tilleul. cette rencontre fut très enrichissante pour moi car elle à élucidé de nombreuses questions que je me posais sur ce livre.

Elle m’a notamment renseigné sur le déroulement de l’écriture de ses nombreux romans. J’ai appris qu’elle préférait écrire à la main plutôt qu’à l’ordinateur, elle préfère également écrire le matin mais cela  est compliqué car son travail de professeur de français en Allemagne lui prend beaucoup de temps. Cela ne la dérange pas spécialement et elle trouve que c’est mieux d’avoir des contraintes liées à l’emploi du temps, elle écrit seulement quand elle a 4 ou 5 heures devant elle. Elle tient deux cahiers à jour où elle écrit toutes les idées qui lui passent par la tête pour ses futurs romans, elle nous a également montré l’un de ces deux cahiers. Elle trouve très important d’avoir plusieurs activités dans la vie, elle a fait le choix de concilier son métier de professeur à son loisir d’écrivaine car, d’après elle, l’écriture est une activité très solitaire et elle a besoin de son métier pour se changer les idées et pour voir des personnes différentes. Elle a également des moments dans l’année où elle n’écrit pas beaucoup car elle a l’impression que son travail n’est pas productif, elle fait alors des pauses dans l’écriture de ses livres ce qui lui permet de penser à autre chose et de retrouver l’inspiration.

Le harcèlement numérique

Lors de la rencontre avec Hélène Lenoir, l’auteur du livre Tilleul, nous avons posé quelques questions sur l’écriture du livre.

Nous avons dit à l’auteur: « On sent qu’il y a quelque chose de trouble entre Gilles et Carole sa nièce qui a 17 ans. Au début, on croit à quelque chose de grave comme l’inceste ou des attouchements, mais à la fin on apprend qu’il s’agit d’harcèlement numérique. Pourquoi avez-vous intégré cette histoire dramatique dans votre roman? »

Elle a répondu en disant que c’est un sujet qui lui tient très à cœur, une chose très grave pour elle. Elle a dit que parfois des journalistes lui posent ce genre de question en disant que finalement ce n’est pas si grave que ça se qu’il se passe, mais pour elle c’est un sujet très grave, et qu’il faut en parler. Elle dit que aujourd’hui c’est quelque chose qui arrive fréquemment, mais personne n’en parle assez.

Charline Sonrier

une rencontre enrichissante

La rencontre avec Hélène Lenoir a été très enrichissante puisqu’elle nous a permis d’éclaircir certains points restés confus( en raison d’un style d’écriture particulier) mais aussi et surtout d’aborder des sujets sensibles comme le harcèlement, en effet dans son livre Tilleul , Hélène Lenoir a choisi d’aborder le thème du « cyber-harcèlement » de plus en plus fréquent de nos jours et dont on ne parle pas assez.

J’ai passé un agréable moment en compagnie de l’auteur qui est une personne très ouverte et pour qui l’avis des lecteurs, même des plus jeunes, reste très important,effectivement, à plusieurs reprises, celle-ci nous a demandé ce que nous pensions de certains thèmes ou passages, qui laissaient libre recours à l’imagination du lecteur.

Les questions posées à Hélène Lenoir étaient diverses et variées mais celle qui m’a le plus marqué était quand l’auteur expliquait comment la passion d’écrire lui était venue, sa réponse fut quelque peu « étrange » puisqu’elle nous parle d’une passion qu’elle assimile à la souffrance, d’une part, il y a le plaisir d’écrire mais d’une autre part la souffrance, le plaisir d’écrire devient donc rare, chose que je n’aurais jamais imaginé pour un écrivain.

Poline

Un titre parfumé

La rencontre avec Hélène Lenoir m’a particulièrement plu. J’ai trouvé l’auteure sympathique, on sent qu’elle était heureuse d’être là et qu’elle aime savoir les impressions de ses lecteurs.

Le titre « Tilleul » nous a intrigués, c’est vrai que l’arbre est important dans l’histoire puisqu’il sépare les deux propriétés et de plus il permet la rencontre entre Jonas Raasch, le jardinier et Sophie. Alors pourquoi Hélène Lenoir a-t elle choisi ce titre? A t-elle hésité avec d’autres titres ?

Hélène Lenoir a choisi le titre de « Tilleul » car c’était tout d’abord le titre de son fichier. Au début, elle se disait qu’elle verrait plus tard pour le changer, elle a même hésité avec « L’arbre ». Mais au final plusieurs personnes dont son éditrice le trouvait pas mal, elle l’a alors gardé. Elle nous a fait part de sa vie personnelle car en effet ce mot lui rappelle des souvenirs d’enfance et il y a ,de plus, beaucoup de tilleuls près de chez elle, à Berlin. L’auteur nous a fait sentir un extrait de  parfum de cet arbre qu’une amie  lui a offert, c’est une odeur connue et commune. Quand elle n’avait plus d’inspiration, elle sentait le flacon qui  dégageait quelque chose qu’elle ne pouvait expliquer. Mais il y a quand même un petit point négatif dans cette odeur, il y a quelque chose de trop lourd, trop sucré… Le tilleul est alors splendide et magnifique mais à la fois poisseux, ce qu’on peut retrouver dans l’histoire de son livre « Tilleul ».

MENDES LOPES Mélanie

Une écriture floue

 

La rencontre avec Hélène Lenoir s’est déroulée le vendredi 4 décembre au CDI. Nous avons pu lui à tour de rôle lui poser des questions intéressantes sur son roman Tilleul mais aussi sur ses autres livres. Ensuite , nous avons fait un goûter où l’on a pu parler avec elle plus intimement. C’est une écrivaine très sympathique et d’après moi cette rencontre a été très enrichissante , on a pu comprendre certains points du livre , lui poser des questions sur son écriture et lui parler en vrai.

Parmi ses réponses , une a attiré mon attention plus que les autres. La question posée était “  Votre livre est difficile à lire parce que vous mélangez les pensées intérieures des personnages ainsi que leurs paroles à haute voix. Pourquoi écrire de cette manière et est-ce difficile d’écrire comme cela ?”. Suite à cette question, elle a répondu sur un ton d’humour “ ça doit être moins dur à écrire qu’à comprendre alors”. Elle a donc expliqué que pour écrire comme cela , elle rentrait dans le personnage et donc pensait comme lui. Ce style d’écriture représente notre flux de conscience , écrire de cette manière retranscrit ce qu’il se passe dans la pensée , ici du personnage. En effet , lorsque nous sommes dans nos pensées , nous utilisons “Il”ou “Elle” parce que nous savons de qui nous parlons. C’est pour cela aussi qu’il y a beaucoup de phrases non terminées et de points de suspension. A la fin de sa réponse , elle dit “ J’aime bien écrire sur tout ce qui est flou” ce qui donne l’impression qu’elle aime aussi que le lecteur s’imagine l’histoire et qu’elle ne donne pas toutes les indications tout de suite

 

Bron Coralie

Une femme passionnée

Après avoir longuement étudié le roman en long et en large d’Hélène Lenoir Tilleul, nous avons eu enfin l’honneur et la joie de la rencontrer, ici en France, dans notre lycée. Au bout de nombreuses séances de cours de préparation à cette rencontre avec mes jeunes camarades de 1er ES du lycée Louis Rascol, le grand jour est arrivé.Cette rencontre s’est faite le 4 décembre 2015 dans le CDI du lycée, où nous avions pris le temps d’installer tout ce qui était nécessaire au confort de l’auteur. De cet échange, nous espérions avoir de multiples réponses à nos questions et on en a eu !

Tout d’abord, Hélène était très heureuse de pouvoir discuter avec nous qui sommes d’ assez jeunes lecteurs comparé à son public habituel. De ce fait, la rencontre n’était pas  enrichissante que pour nous, mais pour elle aussi. Tout le monde était un peu timide au début, car c’est quand même une femme impressionnante de par son écriture. Après quelques questions ,j’ai pu remarquer que son livre reflétait en outre sa personnalité. En effet, son livre est « flou » tout comme elle : quand elle répond à nos questions on a l’impression qu’elle se perd dans ses pensées, ce qui fait que sa réponse n’est pas forcement très nette, précise. Mais c’est une femme très terre à terre, sa réflexion ne s’élève pas au-dessus de la réalité de la vie, on peut le retrouver dans ses personnages ; son histoire est réaliste et aborde des sujets qu’on peut rencontrer dans la vie courante, comme le harcèlement subi par Carole par exemple. D’ailleurs, Hélène Lenoir m’a donné l’impression que ses personnages de roman étaient de vraies personnes humaines. La façon dont elle en parle montre qu’elle est attachée à eux : ils vivent avec elle tout au long de l’écriture, de début jusqu’à la sortie du livre. Ce qui peut être relativement long. Elle nous a confié qu’il était difficile de les laisser partir quand le bouquin est publié. Ce que j’ai bien aimé c’est qu’elle nous a fait part d’un objet qu’il l’a aidé a écrire : un flacon d’extrait de tilleul, qui pour elle lui rappelle son enfance. Pour finir, beaucoup de questions lui ont été posées par rapport à son livre et ses personnages ainsi que sur son style d’écriture. Mais pour ma part, je lui ai demandé comment elle arrivait à concilier son métier et sa passion de l’écriture et comment elle écrivait. Son métier d’écrivain en soit m’intéressait plus. Elle m’a donc répondu je cite, que pour elle son métier de professeur est très important car ça lui permet de sortir de l’écriture, qui est une activité très solitaire et de voir d’autres personnes, des personnes extérieures. Elle a donc des « plages horaires » pour écrire. Hélène Lenoir est très maniaque et pour elle le papier est très important. C’est pour cela qu’elle travaille seulement au crayon et à la gomme, très importante selon elle et qu’elle n’utilise l’ordinateur que quand l’idée est concrète.

En conclusion, cette rencontre a été énormément enrichissante et très active. C’est femme est joyeuse et très gentille. On a eu la chance de lui parler en toute normalité au tour d’un goûter ce qui nous a permis de lui parler en tête à tête, pour avoir plus de détails sur sa vie personnelle.

Mercereau Justine

Une rencontre touchante

Le vendredi 04 décembre 2015, j’ai eu la chance de rencontrer madame Hélène Lenoir qui au début semblait assez réservée puis peu à peu de notre ‘interrogatoire’ s’est détendue et nous a fait partager sa passion pour la lecture et a répondu à nos questions du mieux qu’elle pouvait. Notre rencontre s’est avérée être touchante, quand elle nous a décrit sa passion d’écriture comme  » plaisir et souffrance » .J’ai directement senti qu’elle se livrait à nous et qu’une certaine complicité naissait. Nous étions là, assis devant elle à l’écouter. Le but de cette rencontre était d’éclaircir un peu plus notre champ de compréhension du livre mais aussi d’avoir le privilège de rencontrer une artiste dirais-je.

Mes questions étaient les suivantes: « Le titre ‘Tilleul’ m’a beaucoup intrigué. Nous savons que c’est un élément fondamental dans l’histoire qui a permis la rencontre entre Jonas Raasch et Sophie Harper. C’est également lui qui sépare les deux propriétés (Harper- Borman). Mais pourquoi ne pas avoir mis de déterminant devant « Tilleul’ ? Avez vous hésité avec d’autres noms de titres ? Ou simplement, pourquoi Tilleul ? »

Après avoir réfléchi, les yeux en l’air. Elle m’a tout simplement dit qu’à la base Tilleul était le nom qu’elle avait donné à son fichier de sauvegarde. Elle ne pensait pas que dés le début celui-ci allait être son titre. Mais elle a quand même eu l’idée de l’appeler ainsi car là où elle habite,en Allemagne, il y a une longue avenue où des rangées de Tilleuls forment un décor. Le Tilleul fait donc partie de son paysage quotidien. De plus elle ajouta que le plus difficile dans la construction d’un roman c’était le nom qu’elle allait lui donner. Parfois c’est l’éditeur qui lui en propose une ‘gamme’ et c’est à elle de choisir mais cette fois-ci elle n’a pas eu à le faire. Son éditeur lui a dit que ‘Tilleul’ allait très bien. C’était pertinent et ça conviendrait.

Emma MELCHIORI

Une odeur familière

Le vendredi 4 décembre, de 9h à 11h, la classe de 1ère ES2 a eu le privilège de rencontrer l’auteur du livre Tilleul, Hélène Lenoir. Durant la rencontre, qui s’est déroulée au CDI, nous avons pu lui poser des questions sur son livre, sur son métier d’écrivain ainsi que sur ses autres romans ou nouvelles. Certains ont également pu lire des passages de Tilleul. Hélène Lenoir a répondu à nos questions, nous a permis de mieux comprendre son livre et, elle nous a également fait partager sa passion pour la lecture. Cette rencontre fut à la fois touchante et enrichissante.


La question à laquelle j’ai décidé de répondre est la suivante : « Le titre Tilleul nous a intrigués. C’est vrai que l’arbre est important dans l’histoire : il sépare les deux propriétés, il permet la rencontre entre Jonas Raasch, le jardinier et Sophie, mais pourquoi ce titre sans déterminant « le » ou « un » ? Avez-vous hésité avec d’autres titres ?

Hélène Lenoir a choisi ce titre sans déterminant car Tilleul était tout simplement le nom de son fichier sur son ordinateur. Ce dernier avait pour titre « Les jardiniers » avant qu’elle ne le change. Elle a choisi ce titre car elle trouve que tout d’abord, c’est un mot beau et simple qui fait référence à l’odeur et à la couleur. L’odeur du tilleul lui est familière et lui rappelle l’enfance. Elle nous a d’ailleurs rapporté un échantillon de parfum de tilleul et nous l’a fait sentir. Ensuite, il y a beaucoup de tilleuls en Allemagne, pays dans lequel elle vit, en effet cet arbre a une référence symbolique. Hélène Lenoir a également ajouté que le choix du titre d’un roman était le plus difficile dans le procédé d’écriture d’un livre, généralement son éditeur lui propose des titres et elle en choisit un, elle n’a pas eu à le faire pour Tilleul car ce dernier était pertinent.


MAURIES Margaux

L’infidèle

ClickHandlerL’entracte est un livre d’Hélène Lenoir publié en Septembre 2008:  il est composé de 5 nouvelles : L’entracte ; Les Etrangères ; Les escarpins Rouges ; Le verger ; L’infidèle . Dans chacune de ces nouvelles, la femme occupe le role principal ,c’est elle qui va créer l’histoire. Souvent les histoires sont composées d’un second personnage principal qu’est l’homme . Soit c’est lui qui est infidéle soit c’est la femme mais l’auteur nous présente ces situations à chaque fois.
Dans chaque nouvelle le personnage féminin a un âge différent. On voit qu’à travers ces âges,  l’auteur nous montre les différentes situations que l’on peut rencontrer dans la vie .

Le passage que j’ai choisi vient de ma nouvelle préférée  « L’infidèle« .Dans ce texte le nom des personnages nous reste inconnu du début à la fin . On suit une femme qui semble vivre une relation trés ambiguë , un soir lors d’une relation amoureuse qui semble lourde et pesante pour notre protagoniste elle dit avec peur à son mari  » Retourne voir les putes » ce passage et marquant et montre une relation difficile et qui semble louche :
 » Elle regarde son visage ou la grimace s’est figée, équivoque . Elle regarde ses doigts posés sur ses chevilles. Et l’espace immense qu’occupe son corps inerte entre sa tête tournée vers le plafond et ses pieds fatigués. Elle pense qu’un jour il sera mort. Brusquement elle le lâche , s’écarte , murmure: Retourne voir les putes. S ‘effraie; s’assied par terre et serre ses genoux relevés contre elle . C’est fait . C’est dit. Elle tremble . Attend. »On voit qu’il y a un certain stress, elle semble regretter,  attend la sentence. Elle a peur, l’ambiance est froide.

Dans tous les textes comme dans  Tilleul , les familles, ou couples, ont  une partie sombre, louche et à chaque fois l’auteur nous laisse  sur un blanc , nous laissant imaginer  la fin.On retrouve également la forme d’écriture de Tilleul , on en sait peu au début de chaque nouvelle sur les personnages et petit à petit,  on en apprend un peu plus et on découvre ainsi le vrai visage de chacun.
Dans chaque nouvelle apparait  un élément déclencheur important . Dans  Tilleul c’est la rencontre avec Raach qui fait commencer l’ histoire mais on peut dire que Gilles  est un élément extrêmement perturbateur. Dans L’infidéle c’est ce murmure qui est l’élément perturbateur.A partir de cet élément l’histoire devient plus sombre et plus pesante.
On reconnait ainsi le style d’Héléne Lenoir à travers ses différents ouvrages.

Lecorché Alexandre PES2

La crue de Juillet

ClickHandler-2La crue du fleuve

Thérèse une jeune femme journaliste arrive dans une ville pour interviewer Will Jung, une artiste célèbre que doit lui présenter Dora, une amie qui doit aussi la loger. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une femme tchétchène s’est noyée dans le fleuve en voulant sauver sa fille et on ne parle évidemment que de cela dans la ville où il fait très chaud. L’ambiance est lourde. Dora n’est pas au rendez-vous et la rencontre avec Will Jung ne se fera pas. Thérèse fait alors connaissance de Karl Ritter, un architecte. Une relation compliquée va naître entre cet homme au passé douloureux et Thérèse qui semble aussi tourmentée. Ils se rapprochent puis s’éloignent à plusieurs reprises.

Dans ce livre les personnages principaux sont donc Thérèse qui est une jeune journaliste de 38 ans, envoyée à l’étranger par son patron avec qui elle a eu une relation compliquée car il profitait d’elle. Elle va au cours de cette histoire être attirée par Ritter. Karl Ritter fait aussi partie des personnages principaux, c’est un architecte de 50 ans qui a un passé douloureux. On dit de lui qu’il rend les femmes folles, sa mère était folle et son ex femme aussi. Il vit dans la solitude et n’ose vivre une nouvelle aventure.

Le passage qui m’a particulièrement plu est à la page 159
« Thérèse…! répète-t-il à bout de souffle en lui ouvrant les bras, le reste se noyant dans l’assourdissant tumulte de protestations gueulées et klaxonnées avec une fureur nouvelle, du jamais vu  dans ce quartier d’ordinaire si paisible, évènement dont les rumeurs le lendemain attribueront tout naturellement la cause de l’arrivée bien trop brutale et déboussolante de la chaleur. »
Ce passage m’a plu car enfin Thérèse et Karl se retrouvent.

Il y’a des points communs entre ce livre et Tilleul. Les deux racontent une histoire d’amour compliquée entre deux personnes qui vivent une vie qui ne les satisfait pas. Le début de ces deux histoires est long avant qu’il se passe quelque chose.

Belkheir Yasmine 1ère ES2.