De ne pas oublier que, des recherches ont trouvé qu’être paresseux est juste une partie normale de l’adolescence et ne reflète pas en soi de mauvais comportements.
De ne pas oublier que, les gens intelligents ont tendance à penser plus vite, par conséquent, leur écriture est plus bâclée.
De ne pas oublier que, les iPhones sont conçus délibérément pour durer seulement quelques années, ils se détériorent par la suite et deviennent plus lents pour pousser à la consommation.
De ne pas oublier qu’à travers les monuments aux morts, des millions de soldats se sont battus, ont défendu notre patrie et nous ont assuré une vie meilleure se sacrifiant contre l’occupation, les génocides..
De ne pas oublier que, à moins de dix mètres se promène toujours une araignée.
De ne pas oublier que, nos mères ont vécu la deuxième plus grande souffrance qu’un humain peu connaître après l’immolation par le feu : donner naissance. Une souffrance qui peut durer des heures sans répit, mais qui est aussi la plus belle des choses qui peut arriver à une femme..
De ne pas oublier que, la didaskaleinophobie est la peur d’aller à l’école que l’athazagoraphobie est la peur d’être oublié , la basophobie est la peur de marcher, la coulrophobie et la peur des clowns, la dysmorphpobie est la peur des anomalies physiques, l’ématophobie est la peur de vomir, la fumiphobie est la peur de la fumée, la graphophobie est la peur de l’écriture, l’halitiphobie est la peur des mauvaises haleines, la kénophobie est la peur de l’obscurité, la leucosélophobie est la peur de la page blanche (surtout pour un écrivain), la musicophobie est la peur de la musique, la nomophobie est la peur de se séparer de son téléphone, l’ochlophobie est la peur de la foule, la phobophobie est la peur de la peur, la stasophobie est la peur d’avoir à rester debout, la trypophobie est la peur des trous, la zoophobie est la peur de tous les animaux.
De ne pas oublier que, pendant 1 mois ma meilleure amie connaissait mon cadeau de Noël pour mon copain et qu’elle,malgré les multitudes de menaces, ne cracha pas le morceau.
De ne pas oublier que, trop de gentillesse est toujours signe de trahison, car dans ce monde il est difficile d’avoir confiance.
De ne pas oublier que, l’un des pires sentiments est de savoir que vous avez fait de votre mieux, mais que tout cela n’a servi à rien et n’a pas été suffisant.
De ne pas oublier que, les personnes ayant peu de capacités en mathématiques ne sont pas forcément moins douées pour la vie. Il y a un phénomène appelé “anxiété des mathématiques” qui diminue les capacités d’apprentissage et de mémorisation, ce qui mène à moins de connaissances donc plus d’anxiété.
De ne pas oublier que, si j’avais pu voyager dans la temps et si j’avais eu des pouvoirs, j’aurais évité l’attentat du 11 septembre. J’aurais montré une photo de Barack’Obama à Martin Luther King. J’aurais tout fait pour que les parents d’Hitler ne se rencontrent jamais. J’aurais crevé les roues de la moto à Coluche, j’aurais stoppé les tsunamis , les cyclones et les guerres.. J’aurais aimé voir la France gagner la coupe du monde en 1998 et voir le sourire sur tous les visages, même celui de Mado. J’aurais aimé guérir tous les enfants condamnés par une maladie incurable. J’aurais aimé connaître mon grand-père et passer de bons moments avec lui.
Il y a tellement de choses à vivre et à changer…
(Travail à deux : Reverdy Emma et Segonne Anaïs )
appartement ridiculement vide comme si elle venait de l’acheter, est en collocation avec un futur apprenti chômeur. En effet, le père d’Annabelle, alcoolique, chômeur et flemmard de base et sa mère absente à l’appel, ne lui ont pas laissé le choix, ils ne lui ont apporté aucune aide dans son insertion dans la vie active. Pourtant on pourrait croire que maintenant que ses études sont finies, elle va pouvoir trouver un travail glorifiant comme avocate ou juge, mais elle se retrouve caissière de super marché dans un quartier paumé en banlieue. Après avoir obtenu son bac+7, et fait des études une des écoles les plus prestigieuses de Paris, elle finit par se trouver beaucoup de points communs avec son père puisque, à la fin de son service, un jour on l’a retrouvée dans l’arrière de la boutique en train de vider plusieurs bouteilles, assise parterre comme son père le faisait sur leur canapé. Elle tombe peu à peu dans une dépression, se coupe du reste du monde. Plus d’espoir de devenir, avocate, juge. Elle tombe dans une routine, construite de bouteilles, de Malboros aux bouts fumants et de journées sur son canapé dont elle ne sortira jamais. 
