Cendrillon, Vous connaissez ?

Dans le cadre de l’étude de Cendrillon de Joël Pommerat, les élèves ont décidé de revisiter le personnage de la Fée, la bonne marraine de Cendrillon.  Pour mémoire, la Fée que nous connaissions tous :

La fée dit alors à Cendrillon : 

« Eh bien ! voilà de quoi aller au bal : n’es-tu pas bien aise ? — Oui, mais est-ce que j’irai comme cela, avec mes vilains habits ? » — Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en des habits d’or et d’argent, tout chamarrés de pierreries ; elle lui donna ensuite une paire de pantoufles de verre, les plus jolies du monde. Quand elle fut ainsi parée, elle monta en carrosse ; mais sa marraine lui recommanda, sur toutes choses, de ne pas passer minuit, l’avertissant que, si elle demeurait au bal un moment davantage, son carrosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, ses laquais des lézards, et que ses beaux habits reprendraient leur première forme.

Après avoir comparé les choix de représentation de la fée, ils ont proposé leur propre interprétation du personnage 

A la découverte du Muralisme mexicain

L’entrée culturelle de la séquence  s’inscrit dans l’axe d’étude « Art et pouvoir », sous la thématique du muralisme historique mexicain et contemporain. La problématique qui encadre cette dernière est : ¿En qué medida el muralismo mexicano del pasado y del presente es arte y poder?

Elle permettra aux élèves, dans un premier temps, de s’informer sur la réalité sociale et politique du Mexique à travers des articles de journaux. Puis, le fruit des recherches servira de base de travail dans la construction d’un projet de fresque murale mexicaine pour un concours.

 

Venez découvrir « Les fausses confidences » de Marivaux

Les classes de 1C et 1F vous transmettent leurs impressions de lecture.

 

  • ACTE I

« Un début de pièce intrigant. L’hypocrisie et la thématique du masque sont les éléments principaux de la pièce » (Matéo D)

« Dorante, le neveu de M. REMY met en place un stratagème pour conquérir le cœur d’Araminte » (Maëlys R) 

Toutefois, ce stratagème va-t-il réussir?

« Acte plein de découvertes en terme de personnage et d’intrigue ». Tout cela, pour Clément F s’accompagne d’un « style théâtral moderne » créant de ce fait une « comédie du valet ».

« Je me suis retrouvé plongé dans une intrigue in media res s’ouvrant sur la mise en place d’un stratagème d’illusion orchestré par Dubois. La tromperie est issue de la virtuosité du valet » (Henri B).

Cette pièce nous propose aussi une réflexion sur le « badinage » (Joyce) ainsi que sur « le sens des mots » (Henri)

 

  • ACTE II

« Je trouve que cet acte est rempli de mauvaise foi de la part d’Araminte mais aussi des valets. » / « Un acte plein de rebondissements » (Lucie C.)

Cet acte, selon Luna, nous ouvre les portes du trompeur, trompé et s’avère hautement comique.

Marie constate que la manipulation apparaît comme un processus guidant les personnages vers la vérité. Est- ce la réalité? L’acte III nous le confirmera certainement.

Marton, une victime du stratagème telle Lisette dans « On ne badine pas avec l’amour ».

 

 

  • ACTE III

« Retour à la tradition italienne avec Arlequin », (Valentine) – Véritable parenthèse comique dans cette œuvre.

Un acte plus sérieux avec thématique de l’argent. Cette dimension est également soulevée par Arthur qui perçoit un langage plus sombre fait de manipulation  : Les conversations de Dubois « lui permettent surtout de répandre des rumeurs et de semer le doute dans l’esprit des personnages ».

Cet acte, pour Noa, sonne comme une « victoire de l’amour »

 

Les élèves vous proposent un résumé de cette magnifique pièce sous la forme d’un nuage de mots

site nuagedemots.co