Knock, J Romains

La pièce intitulée Knock a été écrite par Jules Romains de son vrai nom Louis Farigoule qui est un écrivain, poète, dramaturge et philosophe français, membre de l’académie française. En 1923, il écrit une comédie, mise en scène par Louis Jouvet, qui marque le début de sa célébrité :

Knock, ou le triomphe de la médecine.

Après la Grande Guerre, Jules Romains se lance dans l’écriture de pièces de théâtre. Le personnage principal, le docteur Knock est un médecin novice qui arrive dans un petit canton du nom de Saint-Maurice. Celui-ci vient remplacer le docteur Parpalaid qui vient de lui vendre son cabinet. Moins médecin que commerçant, Knock parvient à faire fortune et à exercer un véritable pouvoir en manipulant tous les habitants du canton. A l’image de Molière, cette pièce fait la satire des médecins. Il dénonce les dérives de la société de son
temps, et notamment la manipulation des individus par la médecine comme de n’importe quel commerce. Cette œuvre confère à Jules Romains une notoriété immédiat

Rayan

Quelques mises en scène par Nessrine et Zoé. Et Charline

 

 

THE SQUARE : un film odieux ou réaliste ?

Et si la réalité était odieuse ?

Un film digne des plus grands… Cette opinion a été le sujet de beaucoup de débats car comme on peut le voir  il n’a pas fait l’unanimité auprès du public. Malgré cette Palme d’Or remportée en 2017, celui-ci provoque plu

tôt une division au sein des spectateurs. Pour certains, ce film est une satire et un véritable fruit du génie. Cependant pour d’autres, c’est un film qu’ils jugent de « malaisant », de « provocant », mais ces sensations ne seraient-elles pas le but de Östlund. Ce personnage bourgeois qu’est Christian, conservateur au musée Royal de Stockholm, va se retrouver bouleverser après l’installati

on d’une nouvelle exposition, intitulée « The Square ». Celle-ci a pour but d’inciter les visiteurs à l’altruisme et leur rappeler leur devoir à l’égard de leurs prochains. Alors, Ruben Östlund essaie t-il de nous faire parvenir un message à travers cette oeuvre. L’arrivée de celle-ci va chambouler sa vie ainsi que son regard sur le monde d’une façon pour le moins inattendue et surprenante… 

En effet, le personnage principal est montré comme cultivé avec une vie bien planifiée cependant on montre à travers celui-ci la société d’aujourd’hui, une société qui n’est autre qu’égoïste et lâche où tout le monde ne pense qu’à sa petite personne rien de plus ni de moins. Effectivement, il n’y a qu’à se remémorer la scène où Christian confie ses sacs à un parfait inconnu afin de retrouver ses filles, cela ne cherche qu’à nous montrer que les gens exigent des autres d’être aidé néanmoins quand c’est à notre tour de les assister, nous ignorons. En outre, on remarque que dans ce film les classes sociales sont totalement distinctes. Pour cela, revenons sur certains personnages d’un côté nous av

 

ons Christian, homme bourgeois, connu dans son milieu et habitant un magnifique appartement. D’un autre côté, nous retrouvons un petit garçon venant d’une banlieue et issu d’une famille modeste, c’est pourquoi on parle de critique de la bourgeoisie. Cette catégorie se veut au-dessus et joue de tout le monde, on voit donc que cela en devient ridicule. 

Et c’est la raison pour laquelle ce carré nous tend un miroir devant lequel le public crie « calomnie » et « agression ». Toutefois, le réalisateur ne veut-il pas nous faire prendre conscience de la réalité de l’Homme ? Assurément, face à cette vérité, les gens décident de la cacher et de la critiquer afin que celle-ci

 

 soit considéré comme u

 

n mensonge et une insulte, toute cette réflexion tourne autour du personnage de Christian. Sa petite vie bien organisée n’est plus que désordre lorsqu’un obstacle lui fait face, on peut notamment se référer à la scène où celui-ci se fait voler son téléphone et c’est d’ailleurs à ce moment précis que sa vie bascule du tout au tout. On peut donc dire que Christian est incontestablement le reflet piteux de chacun d’entre nous et dans chaque personne sommeil de l’égoïsme et de la lâcheté. Alors, cette satire de la bourgeoisie et de la lâcheté humaine ne cherche t-elle pas à nous montrer que lorsque l’on dépasse ce carré, symbole de sécurité, de perfection mais aussi d’enfermement. Alors à ce moment précis, nous nous retrouvons face à lui et surtout face à nous-même impuissant et désarmé. Nous pourrions qualifier ce film de révélateur, révélateur de la faiblesse humaine car il nous confronte à notre quotidien qui est parsemé de symboles. Le cadrage nous montre notamment cet enfermement dans lequel on vit car on remarque des plans souvent enforme de carré et limité. 

En bref, vous l’aurez compris ce bijou plutôt incompris en vaut le détour. Alors,l’intention de Ruben Östlund n’est donc pas de plaire mais de nous questionner sur la vérité qui règne autour de nous. Cette onde à laquelle nous ne savons comment réagir nous laisse dérouter. Cet esprit, que l’on peut qualifier d’avisé a donc réussi son pari car la réflexion émane en nous. Tant de questions auquel nous ne saurions répondre. Où se trouve la sécurité ? A qui faire confiance ?, La superficialité de la vie ? Même si cette palme n’attire pas l’oeil de tout le monde, un regard affuté et éclairé trouverait son bonheur et un véritable chef d’oeuvre. Toute cette euphorie et incompréhension qu’a dévoilé le public en défaveur de ce film ne devrait pas vous rebuter au contraire ne vous fier pas aux apparences… 

Manon Lagneaux 

Lycéens au Cinéma continue

OSS 117:le Caire, nid d’espions.

Ce premier opus qui adapte au cinéma le personnage  de Jean Bruce, retient l’attention par un subtil dosage : oeuvre au second degré, mêlant pastiche, parodie et détournement. Le Caire, nid d’espions fait rire tout en conservant une relation directe au cinéma d’aventure.  De la même manière, les défaut de ce personnage macho, sexiste, colonialiste, pas futé et arrogant sont plus que compensé par un miracle de bonne humeur et de franchise.

Retrouvez les contributions et

autres avis des secondes 4 et 6

                                                                                                                                         

Fait avec Padlet

Psychose, un cauchemar réaliste ?

Aurore vous offre sa réflexion sur ce sujet : 

 

  • Un cauchemar est un rêve causant un sentiment d’horreur d’angoisse, d’anxiété  qui nous tourmente. Tout d’abord, de même que dans nos rêves, au cinéma nous ne pouvons que rester immobile, assis sur notre siège et assumer nos peurs jusqu’au bout . Ensuite le réalisateur recrée le même processus qui, dans notre sommeil, libère de notre cerveau nos fantasmes et angoisses. En effet, Hitchock s’inspire de nos songes pour sa mise en scène. C’est un médium de nos angoisses subconscientes : l’œuvre coïncide avec la projection mentale du public. Il garde contact avec la terreur qu’on a en soi , celle véhiculée par exemple durant notre enfance par les contes de fées. Pour cela, il utilise des thématiques qui parlent à notre inconscient : sexe, angoisse, mort.  Il nous oblige également à imaginer le pire en nous suggérant des images. Dans Psychose, ce sont les images qui créent le contenu, le meurtre de Marion en est la preuve : l’image d’un couteau s’abattant sur un corps sans jamais y pénétrer, implique dans notre esprit la déchirure de la chair, donc le sang. Il en est de même pour le meurtre du détective. On remarque d’ailleurs qu’il insiste tout particulièrement sur les faits les plus sanglants : la scène de la douche dure 43 minutes, l’information du meurtre aurait pu être donnée en beaucoup moins de temps, mais c’est ce qui la rend aussi terrifiante et horrible.
  • Dans le film, l’angoisse est principalement créée par la surprise. Elle repose sur la succession d’événements qui nous dépassent: le meurtre du personnage principal au milieu du film rompt la narration et détruit notre identification au personnage qui était rassurante. De plus, une tension est créée par un faux suspens, qui repose sur nos souhaits. Nous pensons avoir un temps d’avance sur les héros mais Hitchcock joue en fait au jeu du chat et de la souris et nous manipule jusqu’à la fin avec par exemple le Mac Guffin ( l’argent). Prenons par exemple la scène où la sœur de Marion se dirige vers la cave. Nous savons qu’elle se dirige vers la mère de Norman, meurtrière et alors, le réalisateur transfert la menace qui est sur l’écran au public qui voit tour à tour le danger et la prise de conscience du héros. Cela aboutit à notre propre prise de conscience, notre surprise, lorsque nous apercevons le cadavre puis Norman. Passant du doute ( suspens ) au trouble ( surprise ) nous sommes déstabilisés et effrayés. Notre esprit est aussi mis à l’épreuve par la musique , stridente qui met en place une atmosphère oppressante et insupportable que nous endurons durant plus de 2 heures. Enfin, le film ne finit pas mal, il ne finit pas. Il n’a pas de résolution logique ni rationnelle, ce qui installe une ambiance onirique et crée un véritable malaise. A la sortie du cinéma, le malaise continue de hanter l’esprit du public, comme l’on est hanté par les souvenirs d’un cauchemar au réveil.
  • Néanmoins, ce film Psychose est un miroir de la réalité. Premièrement, Hitchcock va à l’encontre du cliché du film d’horreur en bannissant les monstres, créatures ou les univers fantastiques et en les remplaçant par un cadre qui nous est plus familier plus banal : une Amérique ordinaire avec de modestes employés. Il fait alors rentrer l’étrange dans notre espace domestique. Il utilise et transforme par exemple un lieu de sécurité : la salle de bain, la douche, en un lieu de meurtre. La confusion entre le réel et l’imaginaire commence avec la mise en abyme du spectateur au cinéma lors du prologue. En effet la caméra survole la ville et choisit un immeuble (tout comme nous choisissons un cinéma ), elle s’en rapproche et centre sur une fenêtre avec des rideaux ( les portes de l’entrée du cinéma ). On quitte la lumière du jour pour entrer dans le noir de la chambre ( mise en abyme de la salle obscure du cinéma ). Hitchcock nous suggère qu’il nous fait passer en image. On entre alors dans le film, une fusion s’opère entre les personnages fictifs et nous, entre le monde fictif et le nôtre : le film peut alors débuter. Il démarre d’ailleurs avec une scène érotique ( Marion et Sam dans un môtel ) qui nous fait rentrer dans l’intimité des personnages et renforce notre lien d’empathie avec ces derniers.

 

  • Tout au long du film le spectateur va s’identifier à 4 personnages successivement : Marion , Norman , Arbogast et Lila (sœur de Marion ). Il va ainsi coïncider avec le point de vue subjectif de chacun d’entre-eux et partager ses peurs, ses crimes ou ses envies. Il ne regarde le film, il y prend part . Marion vit une situation insatisfaisante (elle veut un mariage avec son amant ), cette envie peut se traduire par notre propre et premier désir collectif : la recherche du bonheur. C’est ce qui va la conduire à voler l’argent et nous souhaitons donc qu’elle réussisse  lors de la poursuite avec le policier. Malheureusement son meurtre en milieu du film ,nous oblige à remettre en question notre identification à ce personnage et nous nous attachons à Norman.  Il est un héros touchant pour nous :  la découverte de sa chambre, restée intact depuis son enfance et celle de sa mère, est la représentation  même d’un fils introverti, trop aimant. En effet, l’un des désirs, la psychose de Norman est, d’une part,  de rester en enfance,  de lutter contre le temps , de surpasser la mort. C’est cette psychose qui nous pousse à prendre, à l’instant même où nous sommes dans le cinéma, l’écran pour la réalité.
  • De plus, la relation entre la mère de Norman et ce dernier, nous fait réfléchir à l’influence parentale. Qui sommes-nous ? Sommes-nous l’image de nos parents ? Hitchock nous propose alors la mise en abyme de notre difficulté à exister par nous-mêmes . C’est pourquoi, en s’identifiant à lui , nous ne voulons pas croire qu’il est méchant et nous trouvons un autre coupable au meurtre de Marion : sa mère. Lorsque Arbogast, détective privé, qui est la projection de notre forme d’esprit déductif, raisonneur, entre en scène, nous comptons sur lui pour démasquer la mère et découvrir la vérité. Mais par ses questions, il va déstabiliser Norman. Nous prenons alors le garçon pour une victime et souhaitons inconsciemment que le détective soit puni. Arbogast sera alors tué.
  •      Dans le film, aucun des personnages n’est réellement sympathique ni  mauvais, tout comme dans la réalité . Norman et Marion représentent la norme humaine, ils ont tous deux des désirs, des secrets dont ils se sentent coupables qui ne leur laissent d’autres choix que de punir l’objet du désir ( meurtre de sa mère ou de Marion par Norman ) ou de se punir ( don de soi à sa mère. On peut conclure qu’Hitchcock nous  propose à travers Psychose, à la fois un film qui relève du cauchemar  et une substitution de la réalité. On peut alors se demander si le fait que le film soit réaliste ne le rend pas encore plus cauchemardesque. Ce film est aujourd’hui toujours considéré comme un chef d’œuvre et un des meilleurs films du maître Alfred Hitchcock .

Psychose, A Hitchcock : Décodage et lecture par la génération 2018

Quand les élèves de seconde 6 décryptent, décodent, analysent « Psychose », voila ce que cela donne

Meurtre d’Arbogaste vu par Louis 

Dans cette scène, Arbogaste décide de pénétrer dans la maison de Norman Bates  et espère y trouver la mère de celui ci pour l’interroger. Malheureusement, cela ne se passe pas comme prévu. En montant les escaliers, il devient de plus en plus inquiet, le choix de la musique et l’expression de son visage nous l’indiquent. C’est alors que l’assassin de Marion Crane  se retrouve nez a nez avec Arbogaste qui subit deux coups de couteau dans le visage et qui,  par la suite dévale les escaliers et finit au sol. Le meurtrier s’empresse de se jeter sur Arbogaste et l’achève.

Des plans signés Hitchcock

On constate que la caméra s’éloigne du personnage et monte les  escaliers en même temps que lui. Ensuite avec un peu d’attention,  on observe que l’arrière plan devient légèrement flou pour permettre au spectateur de ce concentrer sur le personnage et son intention. En ce qui concerne la musique, à l’arrivée d’Arbogaste nous avions des coups de violons aigus et quand il se met a monter les sons aigus du violon deviennent linéaires et prolongés jusqu’à l’arrivée du personnage en haut des escaliers.

Le deuxième plan nous montre quelque chose d’original. En effet, juste avant l’arrivée du meurtrier, la camera nous offre un champ de vision assez profond; une vue d’en haut, comme si nous étions les oiseaux empaillés de Norman Bates en train d’observer discrètement la scène. Ce plan est également original en ce qu’il propose une structure extrêmement symétrique de l’environnement avec seulement des lignes, des carrés et des rectangles, comme si après avoir franchi le pallier. Arbogaste était déjà emprisonné et piégé dans ces lignes;  il est donc destiné à mourir. La musique se met ensuite à s’emballer, les coups de violons reprennent et se synchronisent non pas avec les coups de couteaux, comme avec la scène de la douche vue en classe, mais avec les pas que fait le meurtrier avant d’atteindre Arbogaste.

Le troisième plan est très intéressant d’un point de vue cinématographique. Il présente Arbogaste dévalant les escaliers de façon exagérée. Après avoir subi un coup de couteau, on retrouve la première scène où Arbogaste monte les escaliers mais dans le sens inverse. La camera se recentre sur le personnage et l’arrière plan est flou. En revanche, la musique change, les coups de violons sont saccadés contrairement au premier plan. Durant sa descente, la camera zoom l’arrière plan mais pas le premier plan avec Arbogaste. Cela prouve bien que les deux scènes ont été filmées séparément, puis superposées au montage. Cette scène démontre qu’il s’agit d’un film à  petit budget. En effet,  les mouvements de bras de l’acteur ne sont pas en accord avec la musique et l’arrière plan. Mais je pense tout de même que Hitchcock a fait exprès de faire cette scène de cette manière pour amplifier l’effet de déséquilibre que nous ressentons tous au fur et à mesure de ce film.

Pourquoi Hitchcock nous propose ce type particulier de PLANS CINÉMATOGRAPHIQUES ?  

Psychose est sorti le 2 novembre 1960. Il est l’un des premiers films de catégorie « THRILLER ». Le réalisateur Albert Hitchcock doit faire un film de qualité et avec peu de moyens. Il va donc se mettre en tête tout un scénario avec un Mac Guffin et une mise en abyme. Son film est en fait une enquête à résoudre pour le spectateur qui doit chercher tous les indices glissés par Hitchcock dans son film, à savoir : – Formes Géométriques – Mac Guffin – Mise en abyme – musiques – Femmes blondes et surtout Plans séquences particuliers.

La scène du  meurtre d’Arbogaste en est une preuve car elle joue énormément avec les plans, la musique, la synchronisation, l’intrigue. Cette scène manipule le spectateur, elle le fait réfléchir et c’est le but de Hitchcock. Hitchcock utilise ce type de plan particulier et ces musiques angoissantes pour semer le doute,, montrer que c’est l’histoire du film qui contrôle nos émotions, nos réactions et surtout notre envie de suivre l’histoire avec attention et aimer le film. Il sait que une fois le film  commencé, il peut manipuler nos sensation alors il prend le parti de faire un film des plus originaux qui soit d’un point de vue cinématographique.

Arbogaste monte les escaliers de manière lente et intrigante la camera se recentre sur lui et l’arrière plan devient flou pour que l’on se concentre sur le personnage, la musique est linéaire et prolongée. Une fois arrivée en haut on change de plan,la camera vient filmer d’en haut pour que l’on puisse observer une symétrie au sol construit que de lignes qui emprisonne Arbogaste. Puis la musique repart et les coups de violons saccadés se synchronisent avec l’arrivée du meurtrier et plus précisément ses pas. Arbogastes prend un coup de couteau avant de dévalé les escaliers ce plan est similaire au premier mais en sens inverse et la musique n’ai plus linéaire. La caméra ce recentre sur le personnage et zoom l’arrière plan pour sur joué l’incrédibilité du montage et que à ce moment précis le spectateur ce pose des questions. Une fois arrivé au sol c’est comme si il avait atteint le point le plus profond à savoir la mort.

Louis, seconde 6

 

                                                                

 

Salon du Livre 2018

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vendredi 16 mars, les TL et les élèves du Club Lecture se sont rendus au Salon du Livre, Porte de Versailles, afin de découvrir l’univers, économiquement et culturellement diversifié, du livre.

Profitant de ce déplacement, les TL sont allés visiter l’Expo « Crevez l’écran » à la Cité des Sciences pour mieux comprendre et découvrir les secrets de fabrication des trucages. Coeurs sensibles s’abstenir  !

Pour les élèves du club lecture, au programme : rencontre avec les maisons d’édition, visite de l’exposition du mouvement de libération des femmes … 

Arrivés Porte de Versailles, Olivier Laurent leur avait donné rendez-vous pour les initier au journalisme, en leur permettant de monter de créer leur propre capsule radiophonique sur le plateau de « France Info ». On écoute Lia Alamichel, Thomas Auzou, Emma Sanson, Alix Mielle, Maya Gun, Claire Massot, Zélie David et  Benjamin est à la technique ….Une prestation très réussie.

PJRL : Carré 35

Après la projection de Carré 35 d’Eric Caravaca, les Terminales L prennent la parole et réagissent avec pudeur face à un film qui ne les a pas laissés insensibles.