COLLECTION HIGHLIGHTS: WOMEN ARTISTS: TEXTILES
et un lien vers leur collection textile
le made in autun
Message de Kengo Kuma
Notre mode de vie a radicalement changé a cause du COVID-19. Le travail à distance est devenu normal, et les gens mangent aussi plus souvent à l’extérieur, pour éviter l’encombrement. La distinction entre les tables et les bureaux pourrait désormais ne plus se faire. Ce nouveau mode de vie commence également dans la ville d’Higashikawa. Veuillez proposer des tables non-conventionnelles pour adapter à ces nouvelles circonstances. Kengo Kuma Juge principal du Concours de Design KAGU “Kengo Kuma & Higashikawa”
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Pierre-Michel Menger, professeur au Collège de France, Chaire de sociologie du travail créateur
Virginie Perdrisot-Cassan, conservatrice du patrimoine au Musée national Picasso-Paris, commissaire de l’exposition « Picasso-Rodin »
Une conception du travail de création peut être forgée à partir de l’étude des cas de Picasso et de Rodin, avec leurs similitudes et leurs différences. Le travail créateur est paradoxal : chaque projet d’œuvre obéit à une série de choix et de contraintes, mais, comme l’écrivait Picasso, « si l’on sait exactement ce qu’on va faire, à quoi bon le faire ? ». Les choix initiaux ne dictent pas un plan de réalisation, car parmi les contraintes figurent aussi celles que se donne l’artiste, et notamment les défis qu’il peut se lancer pour expérimenter, tâtonner, recommencer. Si l’artiste savait exactement comment il invente, il se rendrait la tâche plus facile. La curiosité des publics est immense à l’égard du problème de l’invention et de l’effort créateur, mais l’artiste lui-même s’interroge aussi sans cesse, et le fait savoir. Et il en fait un sujet de fascination en ouvrant éventuellement son atelier aux visiteurs. Picasso et Rodin s’y présentent dans l’exercice ordinaire de leur travail, et font percevoir les problèmes qu’ils veulent résoudre, pour en rendre autrui témoin.
Créer c’est travailler. Mais comment travaille-t-on à inventer ? Picasso et Rodin à l’œuvre from Musée national Picasso-Paris on Vimeo.
JUSQU’AU 18 JUILLET 2021 – Pavilllon de l’Arsenal – Paris
Dans un autre domaine de la mode, celui de la broderie, Studio MTX transpose interprète la broderie en repoussant et redéfinissant ses limites en permanence..
A la demande d’architectes d’intérieur, de décorateurs et de designers, le studio MTX invente sur mesure des surfaces et des textures inédites, s’appuyant sur son savoir-faire patrimonial pour donner naissance aux réalisations les plus singulières. Les créations s’intègrent alors à l’échelle du mobilier ou se déploient à celle de l’architecture : un paravent qui met en tension le métal et la soie, une micro-architecture de feutre et de verre, une série de claustras qui ne semblent être composés que d’éclats et de lumière, des sculptures fractales qui émergent directement des murs.
Dans un esprit de valorisation des déchets, la philosophie de l’économie circulaire, est une incitation à la créativité.
Un remeublement au plus près de l’état documenté par les inventaires anciens.
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