L’art magique permet de se lancer dans la passion des collectionneurs. En effet pourquoi pas collectionner les boites de magie. C’est une chose qu’apprécie les anciens illusionnistes. Finis les plateaux des théâtres, place à la recherche d’objets sortant de l’ordinaire. La première chose est d’acheter une vitrine à placer dans le salon.
Du temps libre pour chercher l’objet
On est entré des 2 pieds dans l’air du temps libre. On possède de plus en plus de moment de loisir. Que peux-ton faire ? Se mettre les pieds sur le fauteuil pour regarder la télévision. C’est pas une bonne solution, surtout si on ne veut pas grossir, car l’inactivité entraine rapidement des kilogrammes en plus. Quoi de moins bon pour le corps que de se scotcher devant un poste de télévision.
Faire les foires à la brocante pour magie ou autre
Il est conseillé alors de prendre sa voiture et d’aller chiner dans les foires à la brocante et de se lancer dans une collection de magie mais ce n’est pas tout, du côté de Lyon il existe d’autre voies. Pourquoi pas la thématique des marionnettes. Ce petit pantin nommé guignol bien connu à connaitre a enthousiasmé la vie de milliers d’enfants et ce sur plusieurs générations.
Des idées
Voici quelques photos qui donneront des pistes. Cela peut-être par exemple des cartes postales des années 1900 ou on voit dans les parcs publiques un castelet et au centre se démenant devant des personnes, cet héros des temps anciens et modernes.
Et pourquoi additionner des petites marionnettes pur les mettre dans une vitrine et à cela on peut ajouter des petits recueils chinés tout au fond des malles des exposants. Car ceux-ci sortent rarement les livres de leurs corbeilles ou cartons.
Les couleurs sont importantes pour les collectionneurs
A notre connaissance, un seul système symbolique fonctionne en Europe, applicable au spectacle : celui des anthroposophes, adeptes de Rudolf Steiner. Pour eux, le choix des couleurs, notamment, entre dans un système de correspondances.
- Le rose correspond au sommeil et au réveil
- La mort au violet
- La volonté et la pensée au bleu
- L’esprit de Lucifer et l’harmonie profonde au vert
- L’initiation au rouge, la référence étant Le traité des couleurs de Goethe
Le spectacle a pour fonction de désigner la vérité dans un monde harmonieux où tout se répond et s’accorde. Sans appliquer à la lettre les théories steineriennes, Guy Jutard prend en compte certaines de ces données pour ses propres créations (La dame bleue, par exemple).
Considérant l’image spectacularisée (les marionnettes, le décor, l’éclairage) comme un tableau — les personnages sont des taches mobiles — il privilégie une couleur principale pour un personnage, puis d’une à trois tonalités complémentaires. Les liens entre les personnages, tout comme leurs oppositions, se lisent dans les couleurs. Des dissociations dans les différentes parties du corps de la poupée sont faites selon que le personnage exprime plutôt la pensée (sphère de la tête), le sentiment (sphère du «respir») ou la volonté (sphère des membres). La couleur n’est pas séparée de la taille des poupées ni du jeu des éclairages. La fabrication est pensée non seulement en fonction d’un objet qui exprime, mais aussi d’un élément qui bouge dans une situation de jeu.
Et la marionnette la-dedans ?
Selon la tradition,la poupée plate du théâtre d’ombres est finement découpée dans une peau de buffle «n’ayant jamais été frappé» pour les marionnettes indonésiennes, dans une peau de chameau ou dans celle, très douce et fine, du ventre d’un âne pour Karagôz.
Auparavant, la peau a été soigneusement huilée. Des variantes modernes choisissent des matériaux non conventionnels, sans oublier qu’il s’agit de jouer sur la transparence (la forme est alors évidée) ou sur le contour (le découpage demande plus d’attention). S’il est souhaité de laisser passer les couleurs, des matières plastiques (cellophane, gélatine, rhodoïd) sont utilisées, de préférence à des matériaux opaques (cuir, carton). C’est l’une des finalités du Théâtre de l’Ombrelle que ce travail sur la transparence.
