Je vous présente ici le livre : « l’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire IKEA » de Romain Puértolas. En effet, une fois de plus le sujet de l’immigration revient sur le tapis avec une autre histoire qui peut nous aider à comprendre ce phénomène… Mais ce livre n’est pas seulement cela !
Il traite le sujet de façon plus abordable, facile à comprendre et très cocasse. Celui-ci raconte l’histoire d’Ajatashatru Lavash Patel (dans le livre, ils disent qu’on peut le prononcer comme on veut… alors faites vous plaisir !). C’est un fakir qui, comme tout fakir, est un escroc qui se sert de la crédulité des gens de son pays pour gagner de l’argent et survivre. Il vient alors en France pour venir faire l’acquisition d’un nouveau lit à clou IKEA. C’est à partir de là qu’il se retrouve enfermé dans une de ces fameuses armoires et qu’il entame un long périple complètement loufoque et pleins de rebondissements qui l’amèneront aux quatre coins de l’Europe ! Cette histoire, facile à lire, vous aidera à prendre conscience et à comprendre de façon plus simple (et plus digeste), la place de l’immigration et des clandestins dans notre société.
Pour les flemmards : le livre a aussi été adapté en film par le réalisateur Ken Scott « l’extraordinaire voyage du fakir ».
Critique réalisée par Pierre de Calbiac, étudiant en DNMADE joaillerie, 2018-19
Je suis agréablement surprise par cet article. Je ne m’attendais pas a lire une critique faite de bon sens et pleine d’humour ! J’ADORE !
En quelques lignes j’ai plongé dans la vie de ce fakir au nom imprononçable et à la vie trépidante. Et qui d’autant plus parle d’un sujet actuel et délicat de façon plus facile et légère.
Je pense me laisser tenter par cette folle aventure avec Ajatashatru Lavash Patel (oui oui j’ai copié son nom parce qu’en plus d’être imprononçable il est impossible à écrire )!
Je trouve ce résumé intéressant avec le questionnement que tu as mis en lumière sur l’immigration. Par ailleurs je trouve que tu ne t’es pas assez positionné sur ce résumé, sur les ressentis que tu as eus en le lisant et sur la recommandation ou non de ce livre.
Car pour ma part je trouve la fin d’une longueur absolue. Elle décrédibilise le livre, cela devient une épopée et non un livre d’humour dénonçant de façon « réaliste » les réalités de l’immigration.