L’allégorie des sentiments…

J’aimerais aujourd’hui vous parler d’un artiste particulièrement touchant, qui se fait appeler Udeyfa. Afin de transmettre ses émotions et son ressenti, il combine deux styles de musique plutôt proches l’un de l’autre. Le slam ainsi que le rap. Pour cette fois, j’ai choisi de m’intéresser à son single intitulé « poésie de rue 2 ». Il transmet un message puissant, et ne me laisse pas indifférent face à toutes ces réalités si bien illustrées à travers ses paroles. Alors si vous ne l’avez jamais écouté, je vous invite à le faire avant de poursuivre cet article.

https://www.youtube.com/watch?v=CiJS9t4hfRg

Vous l’aurez surement remarqué dès la première écoute, mais il utilise énormément les figures de style afin de retranscrire ses idées. Sa façon de prononcer les paroles permet également de porter une certaine attention sur l’importance de celles-ci. Mais pour qu’un message soit fort il doit obligatoirement être compris. Logique ! Cependant il est très compliqué de poser des mots sur des sentiments ou des ressentis, car c’est quelque chose d’abstrait et de personnel. Un exemple très concret qui parlera à tout le monde. Quand une personne vous demande ce qui vous rend si triste, vous le savez au fond de vous- même, mais mettre des mots sur cette cause est parfois plus compliqué que l’on pourrait le croire. De plus, faire comprendre votre ressenti est encore plus difficile !

Udeyfa utilise une technique particulièrement efficace pour faire comprendre et entendre ce qui l’habite au plus profond de lui-même. Celle-ci est souvent utilisée dans les poésies. Je parle bien évidemment des métaphores et des allégories. On peut dès lors comprendre son inspiration à travers son titre.

J’aimerais porter l’attention sur l’une des phrases qui m’a le plus touché par sa justesse et sa tristesse :

 » tu kiffes plus les footeux qu’ton père, je comprends pas la logique, dis-moi où est placé Messi dans ton arbre généalogique. « 

A travers ses dires, il touche un sujet très actuel et rependu à travers le monde, le football. Ayant un petit frère de dix ans, passionné de foot, et particulièrement admiratif de Messi, ces paroles m’ont fait monter les larmes aux yeux. Les relations entre mon père ainsi que mon frère sont très compliquées depuis quelque temps… Alors pas la peine de vous faire un dessin, mais ces mots reflètent parfaitement la situation qui persiste d’exister.

Je pourrais parler des heures en reprenant chacune de ses strophes, tout en sachant que tous ses autres titres sont tous aussi touchants les uns que les autres. Alors si jamais vous ne savez pas quoi faire, je ne peux que vous les conseiller !

N’hésitez pas à partager les mots qui vous ont le plus bouleversé dans les commentaires.

Pour conclure, à travers le slam et le rap, Udeyfa a su allier la poésie à ses ressentis, afin d’exprimer et transmettre des émotions très fortes.

Je terminerais avec cette splendide citation d’Emmanuel Kant :  » la musique est le langage des émotions. « 

Olivier CAILLER, DNMADE 23HO Le 23/12/2021

L’argent, l’ennemi de L’humanité…

Si vous êtes en train de lire mon article, c’est que mon titre vous à interpeler. Alors bien évidemment quand on pense argent, on pense à la prospérité mais aussi au bonheur. Mais est-ce vraiment les bons termes auxquels penser ? C’est à vous que je le demande.

Pour illustrer ce sujet, je vais m’appuyer sur cette série coréenne qui a fait sensation à sa sortie sur Netflix. Je parle bien évidemment de « Squid Game ». si vous ne l’avez pas vue, je vous la conseille vivement. Certes celle-ci est violente, mais en prenant de la hauteur, elle révèle certains principes de la société qui font de nous ce que nous sommes. La première fois que je l’ai vue j’étais quelque part choqué par le comportement des différents personnages, face aux différentes situations auxquelles ils étaient confrontés. Mais après réflexion, je me suis rendu compte que leur comportement est en réalité juste humain ! C’est difficile de l’admettre mais l’homme est parfois plus animal qu’il prétend l’être.

Pour résumé un peu cette série afin de savoir de quoi je parle, il s’agit d’un jeu permettant de remporter une somme d’argent conséquente. Les organisateurs de celui-ci vont alors recruter 456 participants, tous endettés ou dans une situation financière instable, dans le but de les motiver à l’aide de la récompense. Pour remporter celle-ci, il faut alors gagner toutes les épreuves durant six jours. Tout participant qui échoue ou qui triche est « éliminé », autrement dit : tué. Mais ce mot à glacer le sang, n’est en aucun cas utilisé, ce qui a comme conséquence de surprendre les joueurs lors de la première étape. Autre chose, tous les jeux sont issus de l’enfance, comme par exemple 1,2,3 soleil. Cela installe un contraste entre l’innocence et l’atrocité, assez déstabilisant. L’un des passages le plus intéressants est au début de la série. C’est juste après le premier jeu. Les participants choqués par ce qu’ils viennent de vivre, demandent alors de quitter l’aventure. Il faut savoir que si la majorité est d’accord, alors tout le monde rentre chez soi sain et sauf mais sans aucune récompense. Ils procèdent alors à un vote qui s’avère être plus serré qu’on pourrait le croire. La décision se joue à un seul vote…. Cela montre déjà deux catégories de personnes. Ceux qui ont une certaine morale, et ceux qui n’en ont pas. Vouloir continuer à jouer après un tel massacre humain, c’est être aveuglé par l’argent, le désir et c’est surtout se rapprocher de l’animalité. Mais le plus surprenant dans cette histoire, c’est que la plupart des participants ayant choisi de rentrer chez eux, y retournent quelque temps après… la soif de richesse est donc une motivation qui pousse l’être humain en dehors de ses principes et ses valeurs.

J’en viens à présent à mon titre qui est le suivant, « l’argent, l’ennemi de l’humanité »! A la fin de cette série, une fois que le gagnant est rentré chez lui avec la récompense le personnage principal se rend compte qu’il a plus perdu au final. Il tombe très vite dans la dépression, les atrocités qu’il a pu voir ou commettre le rongent dans tout son être. Il s’interdit donc de toucher à cet argent qu’il a gagné. Il a perdu goût à la vie ! Mais un soir, lorsqu’il est assis sur la plage, une vieille dame lui propose d’acheter une de ses roses. Avec le peu d’âme qui lui reste, il lui en prend une. Il découvre alors une carte cachée dans l’emballage, semblable à celle qu’il avait reçue au début pour rejoindre la partie. C’est grâce à celle-ci que l’on aura le fin mot de l’histoire…

On comprend donc, que l’un des participants était en réalité le cerveau de toute cette organisation. Une question que l’on se pose tous c’est « pourquoi ? ». Pourquoi avoir créé ce jeu horrible et pourquoi y avoir participé ? Il explique alors qu’il voulait retrouver la joie de vivre et l’épanouissement dans sa jeunesse. Car la richesse qu’il avait accumulée avait rendu sa vie insipide. Plus rien ne le rendait heureux, car il avait déjà tout vu et tout fait. Tout cet argent qu’il avait ne lui servait à rien. C’est pour cela qu’il a décidé de faire ce jeu, afin de se divertir une dernière fois avant de mourir. C’est à ce moment-là que l’on se rend compte de l’absurdité, et de l’égoïsme humain. Tout cela pour satisfaire un besoin !

Ce que je retiens de cette série, c’est que la richesse ne se trouve pas à travers ce que tu peux acheter, mais dans ce qui n’a pas de prix… Celle-ci nous l’illustre parfaitement. De plus, l’homme est un être très compliqué à cerner. Il est capable du meilleur comme du pire. Mais en règle générale, les actes les plus horribles sont souvent motivée par une seule est même source : L’argent !

Je terminerais donc avec cette belle citation de Guillaume PREVEL « la véritable richesse ne se trouve pas dans la possession, elle se trouve dans la liberté d’action« .

Olivier CAILLER – DNMADE 2, le 27/10/2021

Un acte économique maquillé par la violence !

Pour répondre à ce titre provocateur, j’ai choisi le premier film de la saga réalisée par James DeMonaco. Celui-ci se déroule dans un contexte de crise qui dans ce cas présent est représenté par la purge. Je pense que certains l’ont reconnu, il s’agit bien sur, de la célèbre saga Americain Nightmare.

Pour poser le contexte, on est en 2017 aux Etats-Unis, suite à une crise économique et à des troubles sociaux en 2014, un nouveau gouvernement totalitaire appelé « les nouveaux pères fondateurs », établit un évènement de 12 heures appelé « la purge », durant laquelle tous les crimes y compris le meurtre sont autorisés. selon eux, il aurait comme objectif de permettre à l’ensemble de la population de libérer sa haine durant une nuit entière. La question que suscite ce film est la suivante :

Ce dispositif a-t-il été mis au point dans l’unique but de soulager la haine du peuple américain, comme le prétend ce gouvernement ?

A travers les évènements du premier film de cette saga, la violence est au centre de ceux-ci. La société est persuadée que cet évènement est tout à fait  normal et permet de limiter le crime tout au long de l’année, et que cette nuit est nécessaire, afin que les gens puissent libérer leur haine accumulée durant cette année. Et si on regardait les évènements sous un autre angle…

Au début de celui-ci, lorsque le commencement de la purge a lieu, une personne sans abri se retrouve seule dans la rue, et tente en vain de trouver une personne avec assez de cœur pour lui ouvrir ses portes. Ce qu’on peut constater de cette situation, c’est que dans un premier temps, cet individu se situe dans un quartier d’habitants plutôt aisés, avec des systèmes de protection très évolués. On a donc déjà un contraste entre un individu pauvre et d’autres plutôt riches. La situation dans laquelle se trouve ce pauvre homme est totalement injuste, mais il faut l’appliquer pour une généralité, car ce genre de situation est la même pour chaque individu, ou groupes d’individus avec des moyens économiques très bas. Ils bénéficient donc d’une protection moindre par rapport aux autres, et constituent des cibles faciles pour les « criminels » qui hantent les rues durant cette nuit interminable.

Vous voyez sûrement là où je veux en venir, et vous vous posez certainement la même question que moi. Cet évènement aurait-il comme but en réalité, de supprimer la pauvreté dans le pays afin de rehausser l’économie de celui-ci ? Effectivement c’est une forte possibilité, car si on reprend le contexte de la création de cette purge, elle fait suite à la crise économique de 2014. Je pense également que l’écart de 3 ans qui sépare les deux évènements n’est pas anodin. Il est là pour éviter les soupçons de la population. Car si cette fameuse purge avait eu lieu l’année suivante d’une crise économique, bien des personnes auraient fait le rapprochement. Mais laisser couler 3 ans permet de créer un laps de temps important et de décrédibiliser cette possibilité aux yeux du peuple américain. Ce qui est d’autant plus intéressant, c’est que cette loi (la purge) va a l’encontre de la morale. Les lois sont censées apporter une certaine sécurité à la population. Alors certes elle nous prive de notre liberté, mais est-ce vraiment une bonne chose d’être complètement libre ? Pour nous ? Pour les autres ? Je vous laisse réfléchir là-dessus et vous faire votre propre opinion…

J’aimerais terminer sur cette citation de Georges Franjus : « La violence n’est pas le but. La violence est le moyen. »

Olivier CAILLER – DNMADe1 Ho – Avril 2021

L’illusionnisme ou l’Art du détournement d’attention.

Depuis tout petit, j’ai toujours été fasciné par la magie et je suis prêt à parier que toi aussi. Qui n’a jamais rêvé de pouvoir faire disparaître des objets ?

L’illusionnisme est apparu vers 1700 avant J.C, mais cette appellation date de la fin du 19e siècle, cette discipline est plus globale que la prestidigitation. Elle touche aussi bien l’art du spectacle que l’art du trompe l’œil.

Bref, assez parler d’histoire, parlons maintenant de ce qui nous intéresse le plus, comment ça marche ?

L’illusion se base essentiellement sur un des cinq sens de l’être humain. C’est bien entendu la vue. Le but est de mettre notre regard sur ce que l’on veut vous faire voir. En réalité l’illusionniste ou l’illusion s’il s’agit d’une œuvre sur support, est là pour vous faire perdre votre sens de réflexion, afin que vous assimiliez uniquement avec la vue. Et je peux vous assurer que cela fonctionne.

Je vais prendre l’exemple des cercles mouvants que vous pouvez voir ci-contre. Ces cercles vous paraissent en mouvement alors qu’en réalité ceux-ci sont complètement immobiles ! Cela est dû à un effet d’optique qui trompe votre œil, afin de transmettre une réponse fausse à votre cerveau. Il existe beaucoup  d’illusions de ce genre plus dingues les unes que les autres, que vous pouvez retrouver facilement sur Google image. Avec celles-ci, des objets impossibles se mettent à exister, des géométries fixes s’animent, et des couleurs identiques nous paraissent différentes.

Mais est-ce la même chose avec les illusionnistes ?

Le principe de base reste le même, mais la différence c’est que le spectateur se trouve face à une personne qui est réellement en mouvement. Il faut savoir que notre regard est automatiquement attiré vers les éléments mobiles. Et c’est sur cela que « le magicien » va intervenir pour vous tromper.

Il va tout faire pour détourner votre attention, à l’opposé de la zone où il effectue les véritables manipulations, qui va permettre la réalisation du tour de magie. Je vais prendre l’exemple de la téléportation de balles. Ce tour consiste à faire passer une balle en mousse d’une main à l’autre. Pour réaliser ce tour, le magicien va faire semblant de positionner la balle dans sa main gauche, et insister sur cette main en la montrant du doigt avec sa main droite.

A ce moment-là, vous pensez que la balle est à gauche car ce geste vous conforte dans votre première impression. En réalité le tour est déjà joué ! La balle est resté dans sa main droite et lorsqu’il effectue son geste magique, et quand il ouvre sa main gauche, vous n’y croyez pas. Certains vont même à faire totalement disparaitre la balle en mousse. Pour cela il réalise une petite manipulation supplémentaire, qui consiste à dire qu’il va récupérer de la poudre magique dans la poche. A ce moment-là, il utilise sa main droite pour déposer la balle dans sa poche et ressortir avec la main vide. Il fait ensuite semblant de déposer une poudre, et là, plus rien, la balle a totalement disparu.

La différence avec l’illusion sur support, c’est que pour cela fonctionne, il est nécessaire d’avoir une très grande dextérité pour réaliser un geste permettant de tromper le regard du spectateur.

Mais comprendre comment tout cela fonctionne est-il vraiment ce que vous souhaitez ? N’est-il pas plus satisfaisant de ne pas comprendre, afin de garder ce sentiment d’innocence que cet art vous procure ?

Si je peux vous donner un conseil ce serait celui-ci :

N’essayez pas de comprendre, mais laissez vous surprendre !

CAILLER Olivier, DNMADE 1 Horlogerie, Février 2021

La musique est-elle vraiment un moyen de se libérer de ce que l’on ressent ?

Si vous avez commencé à lire ce que je suis en train d’écrire c’est que le titre  vous a interpelé.

C’est un sujet qui me tient à cœur, et pour cette fois je ne vais pas m’appuyer sur une œuvre en particulier, mais c’est mon histoire que je vais vous partager. Depuis près de 8 ans je pratique le karaté, un sport de combat plutôt physique. Ce sport m’a permis de sortir toutes les émotions que je portais en moi chaque jour. Mais là vous vous demandez surement pourquoi je vous parle de ça, et vous avez tout à fait raison mais vous verrez là où je veux en venir.

La musique a toujours été pour moi quelque chose d’assez mystérieux. Je ne comprenais pas comment une personne pouvait réussir à libérer ses émotions, sans frapper dans des sacs ou sans repousser ses capacités physiques, mais tout simplement à l’aide d’un petit instrument. Depuis toujours la musique ne cesse de transmettre des émotions et ça c’est un fait. Mais transmettre ses émotions ne veut pas forcément dire s’en débarrasser.

C’est donc pour cela qu’il y a maintenant quelque mois, j’ai décidé de tenter l’expérience et d’essayer de comprendre cet art très posé. Je me suis alors initié à la guitare, un instrument qui m’a toujours émerveillé.

Au début, je vous avoue que ce n’était pas du tout facile. Apprendre un instrument demande beaucoup de concentration, de patience, mais surtout de volonté. Mais lorsque j’ai réussi à sortir deux accords, j’ai ressenti une grande satisfaction que je n’avais jamais ressenti auparavant. Certes la guitare me rendait en quelque sorte heureux mais je vous assure que lorsque mes problèmes surgissaient, la seule façon pour moi était de me défouler afin de sortir tout le négatif qui me pourrissait la vie. Je laissais donc ma guitare de coté, car ce morceau de bois ne m’était d’aucune aide dans ce genre de situation. Enfin c’est ce que je pensais !

Cet avis, je l’ai gardé pendant très longtemps. Mais cet instrument a su me faire changer d’avis il n’y a de ça que quelques jours. Je vais être transparent avec vous et en ce moment je traverse une période de ma vie assez difficile et je remets énormément de choses en question. Même si au quotidien je peux paraître bien, en réalité le soir quand je rentre chez moi je ne suis plus le même. Si je me livre à vous comme ça c’est que j’ai besoin de vous transmettre mes émotions afin que vous puissiez comprendre réellement la magie que procure la musique. Car si aujourd’hui j’écris ceci c’est grâce à elle…

Cela fait exactement plus de six semaines que je suis tous les soirs seul dans mon appartement à Morteau, et que je n’ai pas vu ma famille, suite aux instructions imposées par l’état concernant le virus qui nous touche en ce moment même. Quelques jours avant l’écriture de ce texte, j’ai complètement craqué et étant bloqué dans 25 mètres carrés, je ne pouvais pas pratiquer le karaté pour me défouler, et pour sortir tout ce que je porte en moi ces temps-ci. Je cherchais un moyen de me débarrasser de toute cette… qui me ronge petit à petit, et c’est à ce moment-là que quelque chose de plutôt étrange s’est produit. Soudain dans cet excès d’émotions je me suis pris à prendre ma guitare, et à jouer.

C’est à ce moment précis que j’ai compris que mon avis était fondé sur tout simplement, une opinion et non sur quelque chose de concret. J’ai joué peut-être une demie heure sans m’arrêter. Bon je m’excuse auprès de mes pauvres voisins qui n’ont pas dû comprendre ce qui se passait… Mais pendant ces trente minutes, chaque coup sur les cordes, c’était comme si un problème disparaissait. Alors j’ai joué, jusqu’à que tous mes problèmes finissent par se libérer. J’avais plus l’impression de jouer de la guitare mais que la guitare jouait de moi. C’est comme si elle me parlait, comme si elle me comprenait. Certes vous allez peut-être me prendre pour un fou furieux, mais mettre des mots sur ce que j’ai ressenti ce n’est pas évident. Je trouve ça fou le fait d’être persuadé d’une chose, et qu’au bout de temps d’années on ouvre réellement les yeux, et on se rend compte que tous ceux à quoi on pensait, n’est autre que des opinions infondées et certainement influencées par une majorité.

J’aimerais conclure là-dessus :

Il n’est jamais trop tard pour changer d’avis car rester sur sa position c’est ignorer les remises en question salvatrices…

Olivier CAILLER -DNMADE1 Ho – Décembre 2020

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