Nous suivons toujours Alice (au pays des Merveilles) mais cette fois dans ses péripéties cinématographiques. A partir du dialogue retranscrit (du court extrait du film de Walt Disney visionné) entre Alice et la poignée de porte, nous travaillons l’expression orale en théâtre mais aussi certaines formes grammaticales du texte.
Alice rapetisse et la poignée de porte lui fait remarquer avec un peu de moquerie qu’elle diminue comme une vulgaire chandelle !
C’est l’occasion de travailler les comparaisons, quelques expressions figées de la langue française.
Comme, conjonction et adverbe, indique un rapport de comparaison, de cause, de manière ou de temps… Comme, dans la comparaison, exprime un degré d’intensité élevée dans la locution adverbiale, l’expression de la qualité est à son comble.
L’expression de cette intensité correspond à une évaluation subjective.
Les locutions prennent plusieurs formes :
– VERBE comme NOM (dormir comme un loir – crier comme un putois – courir comme un lièvre…)
– ADJECTIF comme NOM (bête comme chou …)
– NOM comme NOM ( un nez comme une patate…)
Et l’expression « … comme tout » , vidée de tout contenu sémantique. L’indéfini tout semblant figurer l’infini.
Les termes étalons (le comparé) sont très souvent empruntés au lexique animalier.
LE DIALOGUE RETRANSCRIT :
PETITE LISTE DE COMPARAISONS :
COMPARAISONS – EXPRESSIONS AVEC COMME
UN ALBUM :
ROUGE COMME UNE TOMATE…