Au printemps, que c’est beau la vie
20 03 2010Hommage au Printemps, hommage à la vie, hommage au poète disparu…
Ostiane Mathon
Catégories : actualité, Culture, morceaux choisis, vidéo
Hommage au Printemps, hommage à la vie, hommage au poète disparu…
Si l’hiver est chargé d’eau l’été n’en sera que plus beau!
En attendant l’été et pour profiter de la situation…chantons donc en Anglais, en cœur et en famille…
« Rain, rain, go away! »
And now…
Repeat again
😉
Sur le long chemin
Tout blanc de neige blanche
Un vieux monsieur s’avance
Avec sa canne dans la main
Et tout là-haut le vent
Qui siffle dans les branches
Lui souffle la romance
Qu’il chantait petit enfant :
{Refrain:}
Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui s’en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts…
Oh ! Vive le temps, vive le temps
Vive le temps d’hiver
Boule de neige et jour de l’an
Et bonne année grand-mère…
Joyeux, joyeux Noël
Aux mille bougies
Quand chantent vers le ciel
Les cloches de la nuit,
Oh ! Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui rapporte aux vieux enfants
Leurs souvenirs d’hier…
Et le vieux monsieur
Descend vers le village,
C’est l’heure où tout est sage
Et l’ombre danse au coin du feu
Mais dans chaque maison
Il flotte un air de fête
Partout la table est prête
Et l’on entend la même chanson :
{au Refrain}
Boule de neige et jour de l’an
Et bonne année grand-mère !
Vive le vent d’hiver !
D’autres chants et comptines de Noël?
Allez, cadeau! Écoutez le souffle du vent et les grelots animés
sur le site de Lire et RéCréer
A l’année prochaine
😉
Consigne: faites le portrait de votre ami secret…Pour cela, inspirez vous en silence de trois de vos camarades. Piochez l’intensité du regard chez l’un, la courbe du nez chez le second, l’épaisseur de la chevelure chez le troisième…arrangez le tout à votre convenance…laissez agir les formes et les couleurs, et vous obtiendrez un portrait original et unique!
Observation, inspiration, imagination!
Mon ami…il sera grand, elle sera blonde, il portera des lunettes, elle aura la peau brune, il sera costaud, elle plutôt timide, il aimera rire, elle préférera sourire…mais finalement, peu importe, puisque ce sera mon ami!
A 10 jours de la rentrée des classes, le calendrier égraine ses heures et notre beau château de sable, à chaque coucher du soleil, semble fondre un peu davantage. Le temps des coquillages, peu à peu, laisse la place à Septembre qui nous rappelle cruellement à notre réalité…
C’est pourquoi ce matin, en guise de douce transition, je vous propose main dans la main, une tranquille promenade vers les rivages du grand retour…Dès à présent et jour après jour, ensemble, imaginons un petit itinéraire tout en rondeur qui tranquillement nous conduira sur le chemin des écoliers…Rien ne sert de courir, il suffit de partir à point…Vous vous souvenez?
J-10 donc: étape numéro 1
Savoir dire « au revoir »
Partir c’est mourir un peu disait Alphonse Allais…
Mais partir, ce peut être aussi pour mieux revenir!
Se dire au revoir, c’est un peu chanter qu’on se reverra bientôt, ici, là-bas, ailleurs, quelque part…
Version nostalgie…
En plus kitch…
Façon Baden Powel…
En Love song…
A la manière de cartes postales…
A demain!
Quand on aime…il y a toujours une solution pour s’aimer….
Une grande amoureuse…PIAF!
Quelle chanson choisir? Quelle déclaration?
En voici une parmi tant d’autres:
BONNE JOURNEE et…
BONNES VACANCES pour ceux que cela concerne!
GAINSBOURG le magnifique!
Plusieurs versions des P’tits papiers. Ce matin, c’est celle-ci que je choisis.
Il y a de belles idées qu’il faut savoir partager, diffuser…pour ne jamais cesser d’y croire.
A vous de faire circuler.
merci PMB!
Un texte fort et sensible à la fois, brut sans être brutal.
Une langue merveilleusement travaillée avec des mots percutants.
Ce n’est ni la fête des mères ni celle des pères…et alors?
UN ENFANT
Un enfant
Ça vous décroche un rêve
Ça le porte à ses lèvres
Et ça part en chantant
Un enfant
Avec un peu de chance
Ça entend le silence
Et ça pleure des diamants
Et ça rit à n’en savoir que faire
Et ça pleure en nous voyant pleurer
Ça s’endort de l’or sous les paupières
Et ça dort pour mieux nous faire rêver
Un enfant
Ça écoute le merle
Qui dépose ses perles
Sur la portée du vent
Un enfant
C’est le dernier poète
D’un monde qui s’entête
A vouloir devenir grand
Et ça demande si les nuages ont des ailes
Et ça s’inquiète d’une neige tombée
Et ça croit que nous sommes fidèles
Et ça se doute qu’il n’y a plus de fées
Mais un enfant
Et nous fuyons l’enfance
Un enfant
Et nous voilà passants
Un enfant
Et nous voilà patience
Un enfant
Et nous voilà passés.
« OCTOBRE », Francis Cabrel, 1994
Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche
Le soleil sortira à peine
Nos corps se cacheront sous des bouts de laine
http://www.dailymotion.com/video/x1h1qp
Je t’offrirai des fleurs
Et des nappes en couleurs
Pour ne pas qu’Octobre nous prenne
On ira tout en haut des collines
Regarder tout ce qu’Octobre illumine
Mes mains sur tes cheveux
Des écharpes pour deux
Devant le monde qui s’incline
Certainement appuyés sur des bancs
Il y aura quelques hommes qui se souviennent
Et des nuages pris aux antennes
Je t’offrirai des fleurs
Et des nappes en couleurs
Pour ne pas qu’Octobre nous prenne
LA FRACTURE LINGUISTIQUE
« Les limites de mon langage signi?ent les limites de mon propre monde. »
Je vous demande de bien vous pénétrer de ce que signifie cette citation de Wittgenstein et d’envisager les conséquences qu’elle induit sur le plan pédagogique :
Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde.
Autrement dit, je ne peux connaître de façon intellectuelle que ce que je peux nommer (7). De façon intellectuelle, c’est-à-dire non pas dans un contact sensoriel ou seulement émotionnel avec tel ou tel objet de connaissance, mais en ayant dans mes réserves linguistiques son représentant oral et/ou écrit dans ma langue : le mot qui le désigne en français. Ainsi, je rencontre le mot « vanel ». Le signe linguistique étant arbitraire, ce substantif ne peut me « parler », me révéler son sens. Le contexte va commencer à m’éclairer : « La truite s’emmêla dans le vanel qui barrait la rivière. » Je suppute – à raison – que le vanel est une sorte de filet placé en barrage. Mais il serait miraculeux que le mot soit aussi facilement engrangé dans mes neurones. Il faudra d’autres rencontres pour que le sens de « filet fixe à nappe simple employé pour la pêche des truites » soit validé et enregistré. Si je connais l’acteur Charles Vanel, cela m’aidera peut-être à mieux me souvenir de ce mot. Après de nombreuses auditions ou lectures, le mot « vanel » sera disponible et utilisable dans mes propres interventions orales ou écrites. Il fera partie de mon vocabulaire actif, utilisable, le vocabulaire passif étant celui que je comprends à peu près dans un contexte.
Les noms propres, les structures syntaxiques, les tours stylistiques doivent aussi être entendus ou lus de nombreuses fois pour être compris, retenus et utilisés. Ce n’est pas en regardant TF1 que les milliers de mots qui sont les briques de la culture vont être donnés à l’enfant. Ce sont d’abord les proches qui vont remplir son réservoir de langue, l’aider à constituer ses « stocks sémantiques » ; l’école continuera ce nourrissage, si elle se donne ce but en priorité. Ensuite, la lecture d’ouvrages littéraires et scientifiques lui servira de source linguistique pendant toute son existence. S’il sait et peut lire !
Le problème se complique par le fait que les mots peuvent avoir de nombreux sens selon le contexte dans lequel ils sont employés. Il faut donc connaître les emplois et les sens des mots et ne pas se contenter d’une vague intuition de ce qu’ils signifient.
Pour donner une idée de l’importance de cette question du lexique, des chercheurs américains estiment de 80 000 à 120 000 le nombre de mots qu’un bon élève de Terminale maîtrise, au moins de façon passive (compréhension). Mots dans le sens que leur donnent les linguistes : va, vas, sont des mots différents ; cure : logement, cure : thérapie aussi. C’est l’ordre de grandeur qui est intéressant car il montre que l’enseignement du lexique devrait être une préoccupation constante et centrale. Dans l’enseignement du français comme dans celui des autres langues, et dans celui des vocabulaires spécialisés : scientifiques, techniques ou artistiques. Un enseignement lexical extrêmement précis avec un contrôle rigoureux de l’acquisition effective dans le vocabulaire actif des enfants. L’accumulation de mots inconnus ou mal compris empêche tout simplement les élèves de comprendre ce qui est écrit dans leurs manuels ou ce que disent leurs professeurs.
C’est dans le domaine de la langue que se produit la première fracture entre les enfants qui ont été nourris d’une langue très riche et ceux qui sont restés sur leur faim. Fracture déterminante pour l’avenir scolaire, fracture que l’école a le devoir de combler, fracture que l’on doit inlassablement tenter de réduire quand un enfant est en échec. Cette fracture s’élargit au fil des ans, car les enfants nantis de langue peuvent lire et augmenter leurs stocks de mots, de structures, de tours stylistiques, de connaissance des contextes alors que les autres ne peuvent pas lire et ne sont alimentés que par de chétives sources orales car ils ne manipulent couramment et avec pertinence que quelques centaines de mots. Des centaines de fois, leur compréhension de ce qu’ils lisent ou de ce que dit le professeur est nulle ou vague. Les énoncés et consignes sont vaguement perçus. Oublis, erreurs, punitions découragent vite ces enfants démunis de langue.
Mais comment donner aux enfants ces outils linguistiques indispensables ? Puisqu’ils ne peuvent pas lire des textes nourrissants, faute de mots pour les comprendre, il faut chercher une autre porte et passer d’abord par l’oreille. Alain Bentolila ou Christian Jacomino proposent de lire des textes littéraires aux enfants, dès la maternelle, afin de les nourrir de riche langue. Je ne suis pas convaincu par cette proposition qui devrait être appliquée plus tard, car la lecture auditive d’un texte littéraire est encore plus difficile à déchiffrer et interpréter que sa lecture visuelle sur papier. On ne peut interrompre le flux oral, revenir en arrière, poser des questions. Les enfants démunis auront de grandes difficultés à faire leur miel de cette pratique, à moins de choisir des textes très pauvres, ce qui rend l’exercice peu utile.
Depuis la nuit des temps, il existe quatre autres supports, autrement efficaces, pour transmettre ce que je nomme la « haute langue orale » aux enfants : les textes de la tradition orale, la poésie, le théâtre, les chansons. Ces textes, redits ou chantés par les enfants, induisent une rétention remarquable des contenus linguistiques, culturels, symboliques qu’ils portent. Ils doivent être réitérés pour être efficaces, donc répétés soit par l’enfant, soit par l’adulte.
Les textes de la tradition orale sont très riches de langue, de grammaire, de figures stylistiques et de symboles. Leur caractère polysémique appelle l’interprétation qui laisse la liberté à chacun d’en tirer ce qu’il veut. La capacité d’interprétation est une des compétences indispensables (8) pour des lectures intelligentes et c’est l’une de celles qui manquent le plus cruellement. Souvent, le médiocre auditeur ou lecteur récupère un mot ou deux et transforme complètement le propos émis. Loin de l’interprétation, on est en pleine incompréhension ce qui provoque des conflits constants.
Le corpus de ces textes de l’orature comprend : les proverbes, les dictons, les devinettes, les contes, les légendes, les épopées, les mythes, les chansons. Chacun de ces textes possède une fonction particulière dans le développement des enfants ou des adultes qui les écoutent ou les disent. Un ouvrage cité plus haut indique les fonctions et le mode d’emploi de tous ces textes de l’orature. Je ne m’y attarderai donc pas ici.
Ces trésors du patrimoine, donnés dans une belle (9) langue orale, procurent un vif plaisir aux auditeurs et provoquent l’addiction à une drogue douce : la littérature, dans laquelle les enfants iront chercher à renouveler ce plaisir quand la source orale deviendra insuffisante. Ces textes ne doivent pas être réduits, pastichés, transformés, mais être donnés dans une langue riche, précise et poétique, avec le respect absolu de ce corpus fabuleux dont la voix nous transmet la sagesse accumulée de nos ancêtres.
Avantage supplémentaire : les contes, les légendes, les mythes s’inscrivent dans un déroulement narratif fictionnel ce qui permet à l’enfant de prendre de la distance par rapport au réel, de façon à mieux l’organiser et le maîtriser. Ils sont également riches d’émotions profondes, relevant du symbolique, qui permettent à l’enfant de plonger « corps et âme » dans le récit.
Chapitre 3…. à venir!
Christian MONTELLE
Ornans, août 2008
Diffusion libre
( 7) En fait, si on ne peut les nommer, il y a beaucoup de choses que l’on ne perçoit même pas. Ainsi, on peut marcher des heures dans une forêt sans voir ni entendre les mésanges, les pipits, les rouges-gorges qui pourtant sont bien là et se manifestent constamment.
(8) Les textes de la tradition orale sont en général assez mal utilisés. Les critères d’âge ne sont pas connus, la parodie remplace souvent le contage, quand on ne se limite pas à l’étude de LA structure du récit, comme s’il n’existait qu’une seule structure narrative !
(9) Je sais combien cet adjectif : belle, pose problème. Le mot : fondateur, peut le remplacer s’il signifie : qui vise à élever le récepteur, en l’opposant à tous les messages à visée mercantile.
A l’école
Comptine picarde
À l’école pinche mol
Tchu battu j’ n’irai pu
À coup d’ cachoére j’y courirai coér.
Variante :
À l’école pinche mol
Tchu battu éj n’irai pu
À coup d’ ramon j’ n’irai pont.
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Pour écouter À l’école (Format MP3) |
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A l’école
Comptine (traduction française)
À l’école pince un peu
Cul battu, je n’irai plus
À coups de fouet, j’y retournerai.
Variante :
À l’école pince un peu
Cul battu, je n’irai plus
À coups de balai, je n’irai pas.
Un site pour découvrir tous les trésors du monde et avant qu’ils ne disparaissent, ceux de la CULTURE FRANCAISE.
Le breton en chansons
le basque en comptines
et de nombreuses autres berceuses en occitan…
Une autre, pour le plaisir ?
Jean-François, voulez-vous des petits pois?
Non, maman, ils sont trop froids.
Jean-François, voulez-vous une tartine?
Non, maman, elle est trop fine.
Jean-François, voulez-vous une fessée sur votre cul?
Non, maman, je ne le ferai plus.
Comptine picarde des années trente.
Moi, j'aime bien!
Et vous?
Alors, aujourd'hui...cap ou pas cap?
On se pose la question à 5 ans, à 12 ans, à 20 ans, tout naturellement...Mais et quand on est "grand"?
Cap ou pas cap, la première formule contre le vieillissement de l'âme, garantie à vie...sans prescription nécessaire!
Nom du titre : Le Blues De L’Instituteur
Interprété par : Grand Corps Malade
Année : 2008
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Ce titre est extrait de l’album Enfant De La Ville |
Paroles de Le Blues De L’Instituteur
Allez entrez les enfants et arrêtez de vous chamailler,
Avancez dans le calme je sais que vous en êtes capables,
Asseyez-vous tranquillement, chacun sa place, ça y est,
Ecoutez-moi, mais ce matin, n’ouvrez pas vos cartables.
On va pas faire de grammaire, de géométrie et de conjugaison.
On parlera pas de complément d’objet et encore moins de Pythagore.
Ce matin pas de contrôle et personne n’aura raison.
Aujourd’hui aucune note et personne n’aura tort.
Les enfants écoutez-moi, je crois que je ne vais pas bien.
J’ai mal quand je vois le monde et les Hommes me font peur.
Les enfants expliquez-moi, moi je ne comprends plus rien.
Pourquoi tant d’injustices, de souffrances et de malheurs.
Hier soir une fois de trop j’ai allumé la télévision,
Sur les coups de 20H, c’était les informations.
Et tout à coup dans la pièce s’est produit comme une invasion,
De pleurs et de douleurs, c’était pire qu’une agression.
Hier soir l’actualité comptait beaucoup plus de morts,
Que de cheveux sur le crâne de Patrick Poivre d’Arvor.
C’est comme ça tous les jours un peu partout sur Terre.
Je crois qu’il fait pas bon vivre au Troisième millénaire.
Comme aux pires heures de l’Histoire, les hommes se font la guerre,
Des soldats s’entretuent sans même savoir pourquoi.
S’ils s’étaient mieux connus, ils pourraient être frères.
Mais leur président se sentait le plus fort c’est comme ça.
Et puis il y a toutes ces religions qui prônent chacune l’amour,
Mais qui fabriquent de la haine, des assassins, des terroristes.
Pour telle ou telle croyance, des innocents meurent chaque jour,
Tout ça au nom de Dieu, on sait même pas s’il existe.
Les enfants, désolé, on vous laisse l’Humain en sale état,
Il faut que vous le sachiez alors aujourd’hui j’essaie.
Les certitudes des grandes personnes provoquent parfois des dégâts.
En fait l’adulte est un grand enfant qui croit qu’il sait.
J’ai mal au ventre les enfants quand je vois l’argent mis dans les armes.
Dans les fusées, les sous-marins et dans les porte-avions.
Pendant que des peuples entiers manquent d’eau, comme nos yeux
manquent de larmes.
Et voient leur fils et leur filles mourir de malnutrition.
Apparemment la nature elle-même a du mal à se nourrir,
Les homme ont pollué l’air et même pourri la pluie.
Quand tu auras plus d’eau nulle part, faudra garder le sourire.
Et même l’odeur des forêts sera tombée dans l’oubli.
Les enfants vous savez ce que c’est des ressources naturelles,
Si vous savez pas c’est pas grave de toute façon y’en a presque plus.
Les mots « humain et gaspillage » sont des synonymes éternels.
L’écologie à l’école serait pas une matière superflue.
Les enfants, désolé on vous laisse la Terre en sale état,
Et bientôt sur notre planète on va se sentir à l’étroit.
Gardez vos doutes, vous seuls pourrez nous sortir de là,
L’enfant est un petit adulte qui sait qu’il croit.
Bah alors les enfants vous êtes bien sages tout à coup,
J’ai un peu cassé l’ambiance mais je voulais pas vous faire peur.
Ce que je veux vous faire comprendre c’est que je compte sur vous,
Ne suivez pas notre exemple et promettez-moi un monde meilleur.
Allez les enfants c’est déjà l’heure de la récréation,
Allez courir dans la cour, défoulez-vous, profitez-en.
Criez même si vous le voulez vous avez ma permission.
Surtout couvrez-vous bien, dehors il y a du vent.
Voici pour les élèves et leurs parents quelques liens à visiter
Au passage, je remercie Monsieur Raingeard chez qui j’ai trouvé ces précieuses ressources.
Ouf, c’est vendredi…L’école est…presque finie. Encore une matinée pour certains! Courage, l’année prochaine, plus de samedi!
Et pour débuter le we, je vous invite à partager une petite pause Kfé. Merci Aude pour le tuyau!
Juste un lien…et savourez…avec modération!
Qui a un bon plan pour le thé de 16h30?
Sinon, une autre adresse, plus sérieuse mais qui ne manque jamais d’Expresso: http://www.cafepedagogique.net/
Le coin des bavards!