—–
STREET ART=ART DE LA RUE= Mouvement artistique subversif,contestataire aux pratiques multiples qui inscrit l’art dans la rue, dans l’espace publique= accessible à tous (citoyens et non citoyens de la ville).=un musée ouvert.
« un mot fourre-tout » C215
« un phénomène quasi universel. »…Sa propagation est planétaire à divers titres. »…Ces extension et expansion planétaires ont été thématisées par des artistes français de réputation mondiale comme Space Invader, variant indéfiniment sa chasse à l’alien envahisseur, et JR dont les photographies urbaines collaboratives mobilisent des « communautés » transnationales. Pour Epi2mik, le street art est proprement viral, et se répand de mur en mur dans une contagion visuelle sans limite. En cela le street art dissout les frontières nationales, patiemment composées et arrêtées par les hommes politiques. »
- art non officiel= clandestin=non -conformiste= s’oppose à la loi de la cité.
- EST- CE de l’ ART? un « ART BATARD »?
- Différent du High art=art pur=art de race= art classique. Déjà 1960,Discrimination dans le pop art.(Art populaire) car inspiration PUB/BD.Remise en cause de l’art.
Banksy
Le débat qui cherche à déterminer si le graffiti est un art ou un acte de vandalisme existe depuis toujours.
LE TAG SANS MESSAGE SANS VOLONTE ARTISTIQUE PEUT-IL ETRE INCLU?
- Qu’est ce qui différencie un graffiti artistique et non artistique?
- Qu’est ce qui définit valeur artistique?
LE REGARD SUR CET ART A CHANGE.
Une partie des tags et des graffitis a gagné une vocation esthétique
DU MUR A LA TOILE.
DE LA RUE AU MUSEE
DE LA RUE AU MAGASIN DE LUXE
ART PASSE DE LA RUE A LA GALERIE
ENTRE DANS LE SYSTEME MARCHAND
De la rue à l’entreprise= JR l’artiste.
JR au panthéon
Le photographe JR expose des anonymes au Panthéon.
LE STREET art est A LA MODE=L’ère Banksy
.=La STREET CULTURE=mode
Rencontre entre l’art de la rue et haute couture
Le graffiti entre dans les musés et est vendu. le Street-art glisse vers une institutionnalisation tout en s’embourgeoisant.
EST-ce ENCORE DU STREET ART?????
www.francetvinfo.fr › Culture
Le street art s’invite dans les galeries – Francetv info
L’art de rue a acquis une certaine reconnaissance, et de nombreuses galeries lui ouvrent grand leurs portes ..
Urbacolors, l’application qui vous dit où trouver du street art.
Urbacolors, l’application qui vous dit où trouver du street art
www.konbini.com/…/urbacolors-application-street–a…
Urbacolors, l’application entièrement dédiée au street art compte aujourd’hui près de 7000 utilisateurs et
HORS ART ANTI SOCIAL
réintégré dans le monde de l’art récupération????
N’Y A T’IL PAS CONTRADICTION? POURQUOI?
À partir de 1980, les galeries et grands événements de l’art contemporain s’ouvrent progressivement à la scène underground et le graffiti acquiert ses lettres de noblesse en tant que discipline esthétique. Alors qu’ils sont tous deux invités à participer à la documenta de Kassel en 1982,
Keith Haring et jean michel Basquiat aux= “picturo-graffitis” qui sont de véritables murs peints à réelle valeur artistique.
L’exposition Street Art présentée à la Tate Modern en 2008
l’exposition TAG au Grand Palais en 2009
.A.G. au Grand Palais. Plus de 80 000 visiteurs en un mois.
Collection Grand Palais, François Tomasi – See more at:
EXPOs musées.
L’exposition rassemblera près d’une centaine d’œuvres, réalisées dans les années 1980 et 1990 par les plus grands maîtres du graffiti sur toile
Ventes aux enchers
LE LUXE RENCONTRE LES GRAFFITI
JonOne tags up Eric Cantona’s Rolls-Royce for Artcurial
IL PEUT ÊTRE UNE STRATEGIE POLITIQUE
GAGNER LA POPULARITE auprès DES JEUNES ELECTORALEMENT
INTEGRATION DE LA CULTURE URBAINE DES 1981 LA GAUCHE AU POUVOIR=DEMOCRATISATION DE L’ART.François Mitterand Président SOCIALISTE.=idéologie de GAUCHE=peuple.
la démocratisation culturelle
Jacques lang <ministre de la culture=création de la fête de la musique=le citoyen participe à la création.
André Malraux, Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles de juillet 1959 à juin 1969,
- Il faut permettre à tout un chacun d’y accéder à l’art.
Jack Lang, Ministre de la Culture de mai 1981 à mars 1986 puis de mai 1988 à avril 1992.
- l’élargissement de la sphère de la culture légitime, c’est-à-dire l’intégration dans cette notion de culture de critères qui n’y figuraient pas auparavant, à l’image de la promotion de la BD au festival d’Angoulême, des graffiti…
Jacques lang <ministre de la culture=création de la fête de la musique=le citoyen participe à la création
LE Graffiti:C’est quoi?
inscription:Apposer sa marque, sa signature, son siglet sur un mur,marquer l’espace urbain pour communiquer à l’aide de mots , d’images.
Le mot italien graffiti dérive du latin graphium (« éraflure ») qui tire son étymologie du grec graphein (???????) qui signifie indifféremment écrire, dessiner ou peindre. Ecrire avec un outil agressivement contre un mur (écrire avec un poinçon)
ITALIEN SGRAFFITO ou SGRAFFITE= Coup de griffe,égratignure.
DES 1960 REVALORISATION
REVALORISATION D’UNE FORME D’ART « Sauvage », « Brut »
« ART BATARD DES RUES MAL FAMEES » Brasaï en 1933.“Du mur des cavernes au mur d’usine”,
Intérêt , regard artistique sur ce qui n’était pas de l’art.REGARD NOUVEAU.
En 1960, le photographe Brassaï publie le livre Graffiti, fruit de trente ans de recherches,
Les Surréalistes quelques peu héritiers du “Mouvement Dada” publient l’oeuvre de Brassaï sur les graffitis, dans “Minotaure”,
“THE LANGUAGE OF THE WALL”
Intérêt pour les écritures automatiques proche de l’appariton du tag, qui n’est qu’une signature rapidement posée sur n’importe quel support.
Expression de la pulsion, de l’inconscient.Valorise la spontaneité
LE TAG ET GRAFFITI associé à l’impure/ les lieux du refoulé.
LE GRAFFITI C’EST PAS NOUVEAU:Naissance dès l’antiquité (Agora Athènes), Pompei, dans l’espace publique.
Inscription espagnole au El Morro National Monument, 1605, avec des graffitis ultérieurs.
Graffiti d’un vaisseau romain en provenance de la villa du Viély à Cucuron daté du 3e quart du Ier siècle.
- les graffitis sont par essence éphémères et disparaissent, soit parce que leur support a disparu, soit parce qu’ils ont été effacés ou recouverts manuellement ou qu’ils ont été victimes de l’érosion naturelle de leur support.
POURQUOI FAIRE DES GRAFFITI SUR UN MUR
1)Le mur est un lieu de la parole refoulée.(grossière)..Les mur ont la parole, parole interdite, autorisée.Le mur est légiféré.Loi DE 1881.
obscènes, scatologiques ou satiriques.
Ce récent article du Daily Telegraph nous montre que les Romains n’avaient pas leur langue dans leur poche, et que la plupart des grossièretés que nous employons aujourd’hui ne datent pas d’hier. Entre les « m… à celui qui lira » très premier degré et les « va te faire… » divers et variés, les murs de la Rome antique étaient criblés de graffitis tout aussi crus que les nôtres.
Rome, iie siècle, un âne crucifié. Le commentaire Alexamenos adore son Dieu suggère que ce dessin raille un Romain converti au christianisme.
Caricature d’un homme politique, découverte dans l’atrium de la Villa des Mystères à Pompéi.
« Dans des villes de plus en plus déterminées par la calculabilité du monde, des routes, des immeubles, dans des villes conditionnées par la maximisation des transports et la gestion programmée des flux de personnes, où les voies de communication portent mal leur nom, le street art introduit de l’imprévisiblité et de la communication directe. Il réintroduit de l’incertitude dans un urbanisme déterministe. D’où, pour les pouvoirs publics, une version « allégée » qui consiste, dans les nouvelles zones urbanisées à en faire un décor urbain pour donner unvisage à des façades mortes, et les rendre vivables et conviviales. »
2) Transmettre un message lisible de tous qui fera réfléchir/
Interpeller.= messages politiques, =expressions sexuelles = réalisations ludiques.
UN MESSAGE ENGAGE=LE MUR EST UNE TRIBUNE=LIEU DE LA PAROLE=DE LA LIBRE EXPRESSION= Espace publique=espace du débat démocratique=Espace de la publicité (Habermas) = La parole n’est pas entendue???l’artiste utilise son art comme un medium de communication afin de déclarer son mécontentement envers la société et les hommes politiques.Il peut apporter une conscience citoyenne et être favorable à une paix sociale »
LIBERTE D’expression de la rue du peuple.
1/ Un street art contestataire et radical rejette le système moral, économique et politique en place.Ce street art est alors une éthique comme un vecteur de propagande politique. Anticonformiste, parfois clandestin, il ne reconnaît ni « système » ni le marché de l’art qui en est une manifestation.
« Il veut le renverser pour un autre monde, au nom d’une visée révolutionnaire, libertaire et altermondialiste, ou réactionnaire, identitaire et régionaliste.
il est la mauvaise conscience du capitalisme, sa dénonciation cynique en vue d’un renversement des valeurs, »
Ces activistes revendiquent le vandalisme et l’illégalité.
Street art: art ou contestation ? un outil de révolte devenu ornement urbain.
ANTI -GUERRE, CONTRE LA DOMINATION DU POUVOIR
Banksy
Son déroutant parc d’attraction parodiant Disneyland.
Sujet sur la vie dans la ville, dans la cité.Contestation sur la gestion de l’espace urbain.
Sujet sur le « vivre ensemble », le racisme, l’intolérence.La question de l’identité
Messages politique contestataire=Quoi de mieux pour exprimer son avis que de l’imposer aux passants.PROBLEME DE l’IDENTITE NATIONALE ET DU COLONIALISME
Contre les préjugés
LE FEMINISME: Engagement pour la place de la femme dans la société.
, critique.
La pochoiriste MissTic a dû renoncer à utiliser la rue comme support d’art après avoir reçu deux amandes d’environ 2000 euros. Sa mairie lui a mis à disposition une salle d’exposition où elle peut exposer légalement ses pochoirs.
Revendication:CONTRE LES INSTITUTIONS,
Ouvrir les yeux sur une société nécrosée par le matérialisme, l’individualisme et le bourrage de crâne des médias.Contre un discours ambiant.
L’ETAT
LE MUR EST un espace critique.Il interroge notre vie dans la cité.
espace de propagande/contrepropagande
LE MUR COMME ROLE EDUCATIF CONTRE LA DROGUE: KEITH HARING
Contre la drogue l’artiste de la rue s’engage, participe au débat politique.
BANKSY
Le street art britannique (et pas que Banksy) détourne les JO
CONTRE LA SOCIETE DE CONSOMMATION: LE MUR EST L’ESPACE DE LA PUB affiches
De la publicité à l’expression publique : Grenoble première grande ville européenne à libérer l’espace public. Explications.
Grenoble libère l’espace public et développe les expressions citoyennes
Grenoble se libère de la publicité !Au total, ce sont 326 panneaux publicitaires qui vont progressivement disparaître du paysage urbain. Le groupe JCDecaux commencera leur démontage au mois de janvier, pour trois mois environ.
la ville comme lieu de l’image commerciale.
ZEVS TAKES ON MCDONALDS
LE STREET ART EST TRANSGRESSION/PROVOCATION
le street art est une révolte contre la nudité du vide, une révolution sociale. Le graff ou le tag n’est pas une marchandise d’art qui se cherche à vendre. Ils ne sont pas médiatisés et ne s’achètent pas. Ils rejettent totalement la société de consommation.
“J’veux qu’ça plaise pas à me mère” – Honet
ART TRANSGRESSIF
LE TAG ET GRAFFITI associé à l’impure/ les lieux du refoulé
- 2)être reconnue comme art,:à partir de quel repère une intervention de rue devient art ou cesse d’en être ?????
- Le concept est de montrer que l’art mural est « in situ » FAIRE DE L’ART dans la rue.Apporter de la beauté dans la rue =D’un mur gris sans intérêt, on apporte une nouvelle dimension. Réesthétiser la ville.La faire voire différemment artistique.
Le tricot de rue ou l’art de manier les aiguilles en ville
- APPORTER DE LA COULEUR
- 3)Le graffiti est une façon de s’impliquer dans sa ville, de se faire plaisir et de faire plaisir.
4)L’ART DOIT TENIR COMPTE DU DECOR, S’INTEGRER, Utiliser le lieu. Détourner les éléments de la rue.Surprendre le passant/ Interrompre sa marche et lui permettre de regarder sa rue comme lieu possible d’un imaginaire.
Transformer la rue, les éléments urbains, signalétique qui règle la rue.Perturber.
dérégler les codes.
Cet artiste français vous donne le sourire à chaque coin de rue grâce à ses mises en scène délirantes
QUESTIONNER LE PASSANT EN PERTURBANT SON QUOTIDIEN
- 4)C’est une pratique de rue à finalité identitaire.
- Affirmer une identité artistique ;L’œuvre et sa signature sont un pseudonyme « un blaze » qui donne à l’artiste une identité. Le graffeur est « reconnu » par ses pairs, c’est-à-dire que chaque graff est assigné à un auteur. Le tag et le graff c’est « se faire connaître », « se faire reconnaître »
LE TAG pas artistique devient artistique
JE TAG DONC JE SUIS:Le graff refuse d’être anonyme : derrière chaque signature il y a quelqu’un qui a voulu laisser sa trace, une jeunesse délaissée
les tags et les graffs comme des :
« cris de la jeunesse exilée, marginalisée et sans perspective ».
les graffs permettent de s’évader et de se sortir de l’échec scolaire, la galère, la violence, le manque de repères et de travail.
- Quel est le contexte de création du graffiti?
Le graffiti urbain s’est développé souvent dans un contexte de tensions politiques : pendant les révolutions, pendant la guerre d’Algérie, en mai 1968 au Quartier Latin, sur le Mur de Berlin…
ETIQUETTES à COLLEES PARTOUT« Camarades enragés, découpez ces étiquettes et collez-les partout !… Nous vous recommandons le dos des C.R.S. Si vous n’avez pas de colle, clouez-les ! », L’Enragé, no 1, 1er mai 1968.
Envahir l’espace publique pour contester…manifester.. l’espace de la publicité
Paris en juillet 1968.
En France, les événements de mai 1968 offrent un contexte propice à une expression transgressive et provocatrice. Les messages sont politiques, culturels et sociaux, non dénués d’une certaine poésie et surtout, contestataires.
Mur de berlin
Traverser le mur
LE STREET ART ET LE PROBLEME DE L’ESPACE PUBLIQUE:L’espace publique est réglementé.
Zevs décide alors de faire du street art ‘propre’, de manière à ne pas salir les murs de la ville : il s’initie au Reverse Graffiti !Il utilise un Karcher pour réaliser ses œuvres et va même jusqu’à écrire des messages invisibles à l’œil nu, que seul la lumière noire (ultraviolette) est capable de révéler.
DONC PAS TOUJOURS RECONNU PAR AUTORITES PUBLIQUES.Il est à noter qu’en France, il arrive que les afficheurs ne respectent pas la législation
Supports?Le but premier du graffiti est qu’il se voit et qu’il existe.
Quels sont les supports principaux et privilégiés des writers ?un désir d’exploration du territoire urbain.
La rue est avant tout un espace public, un lieu de passage ou encore un lieu de vie. Pour le graffeur elle représente plus que ça : un espace infini de liberté et de découvertes multiples. Mais elle est aussi un espace d’interdits et de possibilités ce qui attire d’autant plus les graffeurs qui finalement recherchent avant tout l’affranchissement.
À l’origine, la rue:Les années 1950=des artistes se saisissent de la rue comme d’un atelier.
l’idée du « Recyclage poétique du réel urbain » Pierre RESTANY
Les années 1960 marquent la naissance de l’art urbain dans son acception la plus générale. Aux États-Unis, la démocratisation de la bombe aérosol transforme les villes de New York et Philadelphie en un terrain de jeu où les artistes Taki 183, Tracy 168…
Graffiti moderne ? Né dans les années 60=Cette forme d’expression urbaine est née à New York, rejoignant ainsi le mouvement Hip-hop.la culture Hip Hop naît et connaît un essor important sous l’ère Reagan.
sur les métros de la ville. Seul moyen de se faire
« Il est issu de la culture Hip-Hop aux valeurs de paix, d’amour et d’unité »
Le terme “hip-hop” exprime “le fait d’élever son esprit en utilisant sa créativité, son intelligence et son potentiel physique (voix, articulations, mains, oeil, etc …) pour ouvrir de nouveaux champs artistiques et créer de nouvelles sensations”.
Le Tag(1), le Graffe(2) et le Hip-Hop sont nés dans les grandes cités, les quartiers défavorisés et les ghettos noirs aux Etats-Unis, plus particulièrement dans le “South Bronx” (Sud Bronx), à New-York au début des années 70.
Le South Bronx est appelé aussi “Boogie Down” respectueusement, en référence à ce territoire d’infortune et de prédilection qu’il représente pour le Mouvement hip-hop, pour cette culture noire si inventive qui a explosé artistiquement et économiquement aujourd’hui, au niveau mondial !
“Boogie Down Production” était aussi le nom du groupe de rap dont KRS-One était membre.
Hop est une interjection qui fait penser au saut, en anglais « to hop » veut dire sautiller, le hop apporte le mouvement. Le hip-hop prend tout son sens dans ses différentes approches, il est donc défini comme « l’intelligence en mouvement ».
voir et connaître.
Si on date l’origine du graffiti moderne à New York dans les années 70, on y date aussi l’origine de sa répression…
La signature comme marque d’un territoire égo-centré.
TAKI 183 en 1971= imitation par les adolescents = appartenir au crew
TAKI est un diminutif de Démetrius. Je ne me sens pas célèbre, dit-il, mais mes amis me donnent cette impression quand ils me présentent. TAKI dit aussi que l’été dernier, lorsqu’il écrivait son nom et le numéro de rue sur des camions de glace, personne ne faisait quelque chose de similaire
inspiration bd et pub
culture de rue
style de vie quartier de Harlem et bronx
Jean-Michel Basquiat (1960-1988), la référence
Peintre figuratif américain, Basquiat a vu le jour à Brooklyn, né d’une mère portoricaine et d’un père d’origine haïtienne. Très jeune, il fréquente régulièrement le MoMa et s’imprègne des courants artistiques qu’il observe avec passion. Délaissant les études, il commence à couvrir les murs de Soho et de Manhattan de graffitis qu’il signe SAMO (« same old shit« ). Il est considéré dès lors comme le pionnier de la mouvance Underground newyorkaise, née dans la rue et dans le métro.
une démarche d’appropriation directe du réel :
TAG=étiquette de bagages = puis signature=marque
bom stylisé rapide=pseudo +numéro de rue TAKI 183 à Manhathan, monochrome=réalisé par un gest rapide.
bombe, marqueur=C’est une signature codée rapidement exécutée, formant un dessin d’intention décorative sur n’importe quelle surface : mur, voiture de métro … avec des outils divers : bombe aérosol, marqueur … Le tag est aussi un moyen de communiquer grâce à des surnoms, de s’affirmer en tant que jeune créateur et de marquer son passage. TAG est le nom d’un des premiers crews (groupe) de tagueurs dans les années 70 à New-York, qui signifie « Tuff Artist Group », et qui a donné son nom au tag
Taguer, c’est un peu comme braconner sur des terres d’État.
Vandalisme???? dans le lieu de l’art
LAIDEUR???POLLUTION VISUELLE???
Les tags, c’est sale
L’urbanisme moderne est étroitement lié à l’hygiénisme. La propreté de l’espace publique reflète alors un idéal politique de cohésion sociale.
Mise en péril de la cité?
« quand le propre d’une ville devient la propreté comme image unificatrice, tout ce qui ne concourt pas manifestement à un tel objectif exprime la menace de la dégradation. La propreté est donc une expression vivante de la sécurité publique. La saleté est prise comme figure de la violence » (Jeudy, 1991 :
« La culture occidentale accorde à la propreté sous la forme du blanc une place prédominante pour en faire l’étalon de la couleur, une sorte de figure sublime de l’absoluité ; la chromophobie plus que la chromophilie en fait. Dans ces conditions, la ville doit avoir une peau lisse et immaculée. » (Milon, 2003 : 130).
- La souveraineté du propre.
- Une propreté sans identités
- incantation du propre
- Le propre, c’est le propre de soi, le propre de la ville, d’un lieu, d’un monument, d’un espace public.
- tend à uniformiser l’espace+une indistinction spatiale.
- assure une analogie de fait entre l’identité et l’identique.
- prendre soin de son corps se donne pour une véritable symbolique de la ré-appropriation de soi.
- Tout ce qui menace cet équilibre des corps devient l’expression de la dangerosité.
- nouveau ” civisme finit par se fonder sur une idéologie de la propreté et de la sécurité
BUT : marquer son territoire, Ecrire le plus grand nombre dans le plus d’espace possible (dans des lieux difficiles d’accès)
ON EST PROCHE DE LA CALLIGRAPHIE=Maitrise gestuelle=rapport du corps a l’espace
Bando
“C’est même pas écrire pour communiquer, c’est écrire pour le plaisir d’écrire. C’est vraiment fendard”
Graff
Fresque dimension artistique
LE THROW UP ou FLOP ou BUBBlE
style de lettrage comprenant le bubble
entre tag et graff= lettrage plus grand et volumineux+Ombrages+Bicolore FORME RONDE plus difficile que BLOCK style
pas seule gestuelle
GRAFFITI LETTERING
BLOCK style
WILD STYLE =style sauvage + élaboré= lettrage illisible+ flêches, Lettres compiquées style typo et calligraphie japonaise , arabe
3D+ Tri colore+Cloud (fond)+out line (ligne de contour)+caracter (personnage)+high ligne+Coulure.+chevauchement
AVEC CARACTER
Comment reconnait -on un tagger?
WRITER= artiste pratiquanr le street art
Blaze= le nom
TOY= le graffer qui prépare les surface et bombes
Creww = équipe ,bande, groupe hip-hop
Masterpiece= fresque murale
Fixe =le store métallique des magasins.
le mur de la ville/les murs de la ville
friches industrielles/
lieux abandonnés/ illégaux/terrain vague
Sonick – Paris
Lieux inaccessible= défi= voyant= pas accessible pour effacer
Le métro:
Keith Haring
le graff comme revivifacation du lieu
- mobile:le camion/es camions des marchés parisiens.
le train (travail vagabond)=parcourt la ville=wagons du métro usa
« Peindre un mur c’était pour les toys ».JOJONE graff NY
le support idéal dû à son histoire et à sa prise de risque
New-York, 1981 – âge d’or du graffiti, avant la politique de Buffing des métro
Dondi, monument du graff new-yorkais
Une fresque sur un wagon peut prendre des formes multiples.
le « panel » =sous les fenêtre de vagon
le « top-to -botom » qui utilise toute la hauteur wagon
le « whole-car » ou « wole-train »=recouvre tout le train
support idéal car risque et beaucoup de visibilité.
Nécessaire de réaliser un SKETCH en amont
Créateurs sont des GRAFFER/ TAGER/WRITTER
OUTILS:aérosols de peintures “émaillées”, originellement destinées à la peinture d’automobiles
.TECHNIQUES a. Le pochoir =une nouvelle forme d’expression urbaine. depuis 1980
« Femme de l’être », Miss.Tic enchante Paris depuis plus de vingt-cinq ans avec ses pochoirs rêveurs et ironiques, poétiques et cinglants. Rencontre.
Nemo messager
Il permet un travail rapide et la répétition
De nos jours on peut évidement citer le phénomène Banksy à propos du pochoir. Le street-artiste anglais Banksy est aujourd’hui une des nouvelles légendes du Street Art. Originaire de Bristol, en Angleterre,
B)SPRAY CAN ART=BOMBE
C)Le sticker=Le mot « sticker » est anglais et vient du verbe « to stick » c’est à dire « coller ». On traduit donc ce mot en français par le mot « autocollant »
D. L’affiche
Autrefois résumé à la bombe graffiti, la notion de Street-art se complexifie avec l’apparition dans ses rangs d’artistes plasticien de formation, comme Mark Jenkins qui inscrit des mannequins à échelle humaine dans le réel pour interpeller de façon intempestive le quotidien urbain.
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.