portrait des mauvais jours

Sujet: triptyque=tête des bons et mauvais jours,des mauvaises heures,

Consigne:  en »2 temps,2 poses/3 mouvements

• 1) Montrez  votre portrait des  très mauvais jour (raison?)
• 2)Il s’est passé quelque chose
• 3) votre Portrait des très bons jours (raisons).

le sens des 3 moments peut-être dans un autre sens =3 2 1

 

Technique:Vous réaliserez  réponse graphique/pictural/collage

et une réponse photographique-numérique.(mise en scène…cadrage…) Séquence photo +ordi.

 

tête des mauvais jours & avoir sa tête des mauvais jours ; gueule des mauvais jours ; figure des mauvais jours ; regard des mauvais jours=colère (être/mettre en), énerver, humeur (mauvaise), bouder, mécontent=avec sa gueule des mauvais jour!!!

Questionnement

• « La ressemblance – le rapport au réel et la valeur expressive de l’écart en art ; les images artistiques et leur rapport à la fiction, notamment la différence
  entre ressemblance et vraisemblance. »
• La narration visuelle : l’organisation des images fixes et animées pour raconter.

Notions:Portrait/Autoportrait – Ressemblance/Dissemblance – Altération –

 

Avant la réalisation vous ferez un pré projet avec dessin,schémas explicatifs,dimension,démarche

 

CRITÈRES EXPLICITES DE RÉUSSITE

-Expérimenter, produire, créer
Elève capable de : Assumer un choix technique au service de ses intentions.
-Mettre en œuvre un projet artistique
Élève capable de : identifier des éléments plastiques qui amplifient l’impact d’un portrait de suggérer une  histoire.
-S’exprimer, analyser sa pratique, celle de ses pairs et établir une relation avec celle des artistes, s’ouvrir à l’altérité .Elève capable de : extraire des phénomènes à partir d’une photographie, analyser une peinture ou un dessin d’artiste pour en extraire les pertinences techniques et l’expression des émotions et du temps narratif et les ré-exploiter dans une production.
-Se repérer dans les domaines liés aux arts plastiques, être sensible aux questions de l’art
Elève capable de :
Cerner la question du portrait comme un sujet fondamental de la pratique artistique.

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Sujet:I  Voici notre abécédaire publique et privé après sa lecture, en 26 lettres images vous nous connaîtrez presque de A à Z.

 

mode d’emploi :pour chaque lettre vous choisirez un mot qui vous parle, parle de vous et sa représentation (ce qu’il évoque pour vous) :opinion/pensée du moment/préoccupations/passions/histoires..Pour une même lettre en fonction de vos ressemblances ou différences un ou plusieurs mots peuvent être choisis ou  apparaître.

Technique:mixte (dessins/collages..)

Dimensions: 2D/relief/3D

Travail: individuel à deux ou trois maxi.

II)Dans un second temps vous penserez à la monstration, présentation de votre travail au spectateur.Quelle forme lui donnerez vous pour vous résumer en un mots une image?Quel sera le  fil conducteur?Comment vous découvrira t’il? espace publique espace privé?(préserver sa sphère privée).

Notions:Dispositif/Privé/public/Envelopper/Recouvrir/Combiner/Ouvrir/percer
Disposer /Point de vue /masquer/montrer/suggérer/cacher/coder/Transparence/
opacité/Dedans/dehors…

Avant la réalisation vous ferez un pré projet avec dessin,schémas explicatifs,dimension,démarche.

Références:

• Divers abécédaires typiques : à gauche, un ancien, au milieu, un hornbook anglais plus tardif ; à droite un battledore en carton.
• Livre de lecture allemand (1830).

L’Abécédaire (1993) de Philippe Perrin est composé de 26 dessins, illustrant chacune des lettres de l’alphabet. L’abécédaire référent, celui avec lequel l’enfant se construit, apprend le monde associant un mot à chaque chose : A comme Animal, B comme Bébé, M comme Maman… est ici détourné de façon corrosive. L’artiste renvoie la société à la réalité effective qu’elle a engendrée et énonce ainsi les référents des nouvelles générations, non plus issus des livres d’images mais des quotidiens d’informations, des journaux télévisés, de la presse à scandale… A comme Attentat, B comme Bagdad, M comme Mesrine, P comme Préservatif…

L’Abécédaire,1993,26 dessins, collage, crayon, feutre sur papier
29,7 x 21 cm chaque acquisition 1993 | à la galerie Air de Paris, Paris

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Auto-évaluation brouillon à coller au dos    NOM:   PRENOM:            CLASSE:3em4

Mettre en œuvre un Projet artistique

P3/ Identifier et assumer sa part de responsabilité dans un processus coopératif de création.

• J’ai su collaborer avec mon camarade (dialoguer, entente, partager mes idées, travailler ensemble     ) NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+    1p=

P4/ Faire preuve d’autonomie, d’initiative, de responsabilité, d’engagement et d’esprit critique dans la conduite d’un projet artistique.

• J’ai su être concentré ,attentif                      NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+ 1p=
• apporter de quoi travailler pour mon projet, images de magasines NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+ 1.p=
• J’ai su gérer mon temps pour avoir aujourd’hui en début de cours terminé le brouillon?NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+ 1.p=

P1/ Identifier les principaux outils et compétences nécessaires à la réalisation d’un projet artistique.

• Je sais ce dont j’aurai besoin pour mon projet et je l’ai indiqué sur mon brouillon:outils, matériaux,technique, collage          NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+1p=

S’exprimer, analyser sa pratique.

A2/ Justifier des choix pour rendre compte du cheminement qui conduit de l’intention à la réalisation.

• Quel est mon idée de départ mon projet projet?………………………………………………………………………………………………….. ……………………….                   1p=

• P1/ Concevoir, réaliser, donner à voir des projets artistique.

 

• J’ai su expliquer  par l’écrit et le dessin au brouillon ce que j’allait faire de façon, claire, précise, organisées etcompréhensible NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+    2.5p=
• J’ai un dessin qui représente à quoi ressemblera au final notre oeuvre NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+ 3p=
• J’ai un schéma qui me montre comment j’effecturerai mon travail NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+    2p=
• J’ai montré comment j’ai  créer un dispositif permettant la présentation publique ou privé des informations  NE/NA/NA+/VA/VA+/A/A+ 1.5p=
•                                                                                                                                       15p=

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Pour la réalisation des images n’oubliez pas d’inscrire le mot ou les mots+ le représenter sans oublier de montrer visuellement pourquoi cela parle de vous.Ex vitesse=guépard=car je suis rapide course en sport ou car je suis pressé ou ….

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amitié=parce que c’était lui

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« Je réalise un oeuvre plastique :thème « Les opposés s’attirent »…..FORCE« D’Attraction ou  de répulsion ».

contrainte:

1. Vous réaliserez  une production qui rassemble deux choses et montre leur relation.: votre réalisation mettra en évidence les contrastes entre les éléments choisis.
2. vous provoquer attraction, fascination et répulsion=en regardant votre travail le spectateur ressentira ce sentiment ambiguë à la fois  d’attraction et  d’aversion (rejet, dégoût,Malaise…
3.  se ressenti pourra chez celui qui découvre l’oeuvre simultanément (EN MEME TEMPS OU A LA SUITE). la production artistique, quelle qu’elle soit, doit générer de l’émotion : surprise, ravissement, joie, fascination, attraction, répulsion…elle doit questionner et interagir avec celui qui la regarde.

Technique/outils/dimensions libres selon projet:(Projet dessiné à faire pour dans 2 semaines)=croquis+liste des matériaux+explication écrite+réflexion sur sa présentation.

Les élèves travailleront seul ou en groupes de 2  (maximum) autour de la thématique.

• OBJECTIF: développer la sensibilité et les capacités d’expression, installer des habitudes de questionnement sur le monde.

Compétences:

[ C 5.4.3 Pratiquer diverses formes d’expression à visée artistique ] [ C 7.3.3 Manifester curiosité, créativité, motivation, [ C 1.3.3 Prendre part à un dialogue, un débat : prendre en compte les propos d’autrui, faire valoir son propre point de vue.

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Attraction/répulsion

Qu’avez vous fait expliquez votre idée , votre projet?:………….

…………………………………………………………………………………………………………..

…………………………………………………………………………………………………….

• J’ai su créer plastiquement/sémantiquement 2 choses opposée NE/NA/VA/A             =1.5p
• J’ai sur mettre en relation deux choses opposées NE/NA/VA/A =1.5p

En quoi elles s’opposent? comment voit- on plastiquement/visuellement qu’elles sont opposées:…………………………………………………………………

……………………………………………………………………………………………………

………………………………………………………………………2p=

Comment montrez vous plastiquement qu’elles s’attirent?:…………

……………………………………………………………………………………………………...1p=

J’ai su représenter visuellement l’attraction entre ces deux choses NE/NA/VA/A  2p=

J’ai pris en compte le spectateur dans mon travailNE/NA/VA/A 1p=

Mon travail provoque l’attraction  O/N

par quel moyen j’attire le spectateur?:………………………………………..

…………………………………………………………………………………………..…1p=

Mon travail provoque la répulsion O/N

Par que moyen je repousse le spectateur?:………………………………....1p=

……………………………………………………………………………………….

L’attraction/répulsion se fait simultanément/en 2 temps?

J’ai su faire un travail qui attire et répulse  4p=

j’ai su faire une recherche brouillon   NE/NA/VA/A   1p=

Mon idée est originale, personnelle, intéressante  2p=

Quelles difficultés avez vous rencontré? comment les avez vous dépassées:……………………………………

…………………………………………………………………………………………………0.5p=

Entre mon idée de départ et mon projet final, y a -t’il des différences? :

………………………………………………………………………………………………0.5p

Mettre en œuvre un Projet artistique

P1/ Concevoir, réaliser, donner à voir des projets artistiques, individuels. NE/NA/VA/A

P2/ Mener à terme une production individuelle dans le cadre d’un projet NE/NA/VA/A

P3/ Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique et en anticiper les difficultés éventuelles… NE/NA/VA/A

P4/ Faire preuve d’autonomie, d’initiative, de responsabilité, d’engagement NE/NA/VA/A

P5/ Confronter intention et réalisation NE/NA/VA/A

E5/ Prendre en compte les conditions de la réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa
présentation, NE/NA/VA/A

E1/ Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique NE/NA/VA/A

 

Analyse d’images

Pourquoi ces deux oeuvres ont manifesté de la part du publique de l’attraction puis de la répulsion?……………………………………………………

………………………………………………………………………………………………………..

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The Holy Virgin Mary, 1996

Ofili a reçu une éducation catholique, et interprète à sa façon la tradition biblique. Une de ses toiles, aussi présentée à la Tate, est intitulée « la Sainte Vierge Marie » et avait fait scandale aux Etats-Unis : la Vierge est africaine, des vignettes découpées de magazines pornographiques occupent la place traditionnelle des putti dans l’imagerie religieuse et, naturellement, un crottin d’éléphant s’est invité sur la toile.

«Piss Christ» photo d’andré Seranno, lundi 18 avril, après avoir été vandalisé par un commando «

Andres Serrano’s Piss Christ has been destroyed by Christians who broke into a French gallery and slashed the photograph after weeks of protests.

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• Chris Ofili

Myra: 1995 depiction of the child killer Myra Hindley by the YBA Marcus Harvey

Myra by Marcus Harvey – vidéo Dailymotion

Marcus Harvey born 1963 in Leeds is an English artist and painter one of the Young British Artists YBAs Harvey has shown work internationally in many ex

« Enfin Myra, de Marcus Harvey, s’attaque à un tabou de la conscience collective britannique : la représentation « en majesté » de Myra Hindley, auteure, avec son amant Ian Bradley, d’abominables meurtres d’enfants entre 1963 et 1965 dans la région des Moors près de Manchester, appelés les « Moors Murders² «  »Ce gigantesque portrait, de près de 4 m par 3 m, accueille le visiteur dès son arrivée en haut de l’escalier de la Royal Academy où commence l’exposition, à travers une succession de portes monumentales (fig. 1). Réalisé d’après la photographie judiciaire de l’accusée au moment de son arrestation , il l’embellit – le port de tête est plus altier, l’expression moins butée, les cheveux plus ordonnés, les lèvres plus pleines – et la magnifie. Les pixels de la photographie agrandie ont été remplacés par les empreintes d’une main d’enfant dans la peinture encore fraîche, en référence aux crimes. Comme Myra Hindley faisait face à l’objectif, Myra fait face au visiteur qui se trouve confronté au regard, dur mais insaisissable, aux yeux légèrement exorbités de la jeune femme d’un genre ambigu, mêlant traits féminins (chevelure permanentée, yeux ourlés, robe à motifs et dentelle) et traits masculins (sourcils épais, mâchoire et nez forts). Après sa mort en 2002, un critique qualifie l’œuvre d’« hypnotique » :

Sans affect vis-à-vis des enfants avec lesquels elle sympathise pour les conduire à son amant qui les viole et les assassine ensuite sauvagement, Myra Hindley, par ailleurs coquette et amoureuse, pose la question de la double personnalité féminine, prédatrice et aimante, odieuse et séduisante.

On analysera ici tout d’abord les modalités de la réception de Myra en Angleterre par le grand public et le public spécialisé⁴. On posera l’hypothèse que l’œuvre joue le rôle d’une émancipation psychologique collective par rapport à une période de l’histoire britannique – la misère ouvrière des années 1970 à 1990 – et à un modèle socio-économique – le welfare, le protectionnisme –, dans le contexte de l’émergence d’une nouvelle Angleterre, incarnée par le thatchérisme (1989-1997) puis par le New Labour de Tony Blair, lequel vient d’être élu au moment de l’ouverture de l’exposition. Pour décrypter les mécanismes de cette émancipation qui relèvent de l’inconscient collectif, on comparera ensuite le portrait avec la figure antique de Méduse, en s’appuyant essentiellement sur l’analyse de Jean Clair qui explique, en préambule de son ouvrage sur le sujet, que

Méduse, à l’origine, incarne l’horreur […], sa vision est insupportable à l’œil humain. Son faciès, presque toujours en vue frontale, révèle des traits qui sont à l’origine masculins : la barbe, les sourcils, les verrues. Pourtant elle s’adoucit, elle se […] féminise et, au milieu du V^e siècle, elle devient une adorable et séduisante personne. […] Elle participe, comme les anges, de deux ordres, de deux sexes et de deux mondes : thanathurge et thaumaturge, d’outre-monde et de celui-ci. […] Elle est la Belle comme elle est la Bête.^5« 

source: http://musemedusa.com/dossier_1/vial-kayser/

des Young British Artists constitué par Charles Saatchi en 1992¹.

représentant la Vierge parmi des bouses d’éléphants

.For the Love of God by Damien Hirst (2007)

Politique séduction/répulsion

Damien Hirst à la Tate Modern:

 

 

 

 

Vielle homme et l’enfant?

n Western religious art a Pietà, also called a ‘lamentation’, is an image of the Virgin Mary cradling the dead body of Christ.beauté:laideurjean fabreson œuvre la plus connue est sans doute la couverture du plafond du palais de la salle des glaces du palais royal de Bruxelles, avec 1,4 millions d’élytres de scarabées (2002)

NOTION DE SUBLIME

Le photographe américain Christopher Marley photographie en macro des dizaines d’insectes colorés comme des papillons ou des scarabées puis les présente en mosaïque de façon à créer des sortes de mandalas qui mettent en valeur les motifs créés par leurs formes et de leurs couleurs.

Méret Oppenheim, « Le déjeuner en fourrure » (1936)

ordinaire/extraordinaire

Merda d’artista/manzoni

Paul McCarthy a été agressé pendant l’érection de son œuvre d’art place Vendôme à Paris

Lieu du luxeMonumentale crotte de chien gonflable

Après son arbre vandalisé place Vendôme – Paul McCarthy riposte à la Monnaie de Paris

art /merde

Haute de 7 mètres et large de presque 4 mètres, Agoraphobia se présente comme un anneau s’enroulant sur lui-même, un peu à la manière de celui de Moebius. Cette sculpture, acquise par les Abattoirs en 2005, a trôné plusieurs années sur le parvis du musée, avant d’être déplacée en 2009 dans le jardin Raymond VI.

Agoraphobia surprend par ses contrastes forts. Alors qu’une boucle infinie pourrait évoquer un modèle de perfection, elle n’est ici ni lisse ni régulière et présente d’étonnantes petites excroissances qui brouillent l’identification de la forme. Sa couleur est également inattendue : un rose pâle assez doux mais qui évoque irrésistiblement quelque chose d’organique ; repoussant pour certains, amusant pour d’autres…Si l’on tourne autour de l’œuvre, la diversité de ses profils donne un aspect toujours différent à la forme : tantôt déliée, tantôt emmêlée, elle demeure insaisissable et exige une grande disponibilité du regard.

Agoraphobia » (2005)

Aluminium peint
700 x 380 x 380 cm
Frac Midi-Pyrénées, les Abattoirs, Toulouse
Inv. : 2006.1.10

 

dimension

Kerry Howley, a 23-year old art school student from London’s Middlesex University, has created a collection of interlaced necklaces out of human hair. Insp

Viande/art/

 Vie/ mort/beauté/horreur

légume/guerre/petit/grand

lFoto di Robert Gligorov

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Détourner pour critiquer