- se souvenir et se rappeler.aptitude à se souvenir=mémoire=stockage et de récupération des informations ???
- souvenir=réservoire (S Augustin)
- Bergson (matière et mémoire)=reconstruction à partir d’événements réels/fictifs du passé=efforts de synthèse/ressemblance
Pourquoi se souvenir du bon ou mauvais?=
- 1)Construction identité (mieux se connaître)
- 2)partager avec l’autre faire revivre (moment heureux face présent malheureux
- 3) comprendre le sens de sa vie/modifier.
- 4) rendre vivant (honorer quelqu’un évènement
souvenirs indiduels/collectifs.
Le souvenir n’est pas la mémoire (S.freud)
Doit-on oublier?
Quels son les définitions du souvenir?
« Un geste, une musique, un état du moment, un événement, une sensation peut faire renaître, réveiller des souvenirs ,une atmosphère affective oubliés, rendre vivant un passé qu’on croyait effacé. » Le souvenir c’est du temps retrouvé »
Heureux ou malheureux, aujourd’hui ……….à ma mémoire un (ou des ) souvenirs oubliés(?) marquant revient, remonte, refait surface car………………volontaire ou involontaire, il est témoin de mon passé composé/recomposé/reconstitué…..il provoque en moi…………………………………je ne pourrais l’oublier/ je voudrai l’oublier, l’effacer…car….
Mémoires d’outre-tombe
« Dans un… article (publié en 1899, dans Monatsschrift für Psychiatrie une Neurologie), j’ai pu démontrer la nature tendancieuse de nos souvenirs là où on la soupçonnait le moins. Je suis parti de ce fait bizarre que les premiers souvenirs d’enfance d’une personne se rapportent le plus souvent à des choses indifférentes et secondaires, alors qu’il ne reste dans la mémoire des adultes aucune trace (je parle d’une façon générale, non absolue) des impressions fortes et affectives de cette époque. »
« C’est alors qu’une certaine scène me revint à l’esprit, une scène qui, depuis vingt-neuf ans, surgissait quelquefois dans mon souvenir conscient, sans que j’aie pu la comprendre. La voici : je hurle comme un désespéré parce que je n’arrive pas à trouver ma mère. Mon frère Philipp (de vingt ans plus âgé que moi) ouvre un coffre et moi, voyant que ma mère ne s’y trouve pas non plus, je crie davantage encore jusqu’au moment où, svelte et jolie, elle apparaît dans l’embrasure de la porte. Que signifie tout cela ?1,2 ».
Freud écrit par la suite un article, « Souvenirs d’enfance et souvenirs-écrans », en 1899, d’abord publié dans la revue Monatsschrift fur Psychiatrie und Neurologie.
« Il y a une mémoire à court terme qui nous permet de retenir un numéro de téléphone ou une suite de mots pendant plusieurs secondes. Et puis il y a une mémoire à long terme, à l’intérieur de laquelle on trouve la mémoire procédurale qui désigne notre capacité inconsciente à exécuter des savoir-faire, des gestes habituels, des habiletés motrices que l’on a appris au cours de notre vie. C’est grâce à elle que nous savons toujours faire du vélo ou du ski des années après notre dernière expérience.
On y trouve également la mémoire sémantique qui permet de mobiliser les connaissances que nous accumulons au fil de la vie. Nous « savons » que la révolution française date de 1789, que nous sommes nés en telle année et que Paris est la capitale de la France. Nous « savons » parce que nous l’avons lu ou parce que nous l’avons appris.
On trouve enfin la mémoire épisodique pour désigner notre capacité à revivre le passé, à voyager mentalement dans le temps, à visualiser des événements personnellement vécus1. Ces deux derniers types de mémoire forment la mémoire autobiographique à proprement parler. Celle qui stocke les informations et les souvenirs spécifiques d’un individu depuis son plus jeune âge, et qui lui permet de construire le sentiment d’identité et de continuité2. »
photo de Robert Doisneau. Et les souvenirs d’enfance, d’été, de chaleur, de jeux et d’une fraicheur bienvenue, de jardins, de fourmis, d’abeilles,…
https://www.arte.tv/sites/concoursfiction/video/temps-cache-souvenirs/
Thèmes : enfance, mélancolie, âge, vieillesse, souvenirs
Titre original : Lili
Créé par TOM & HANI
Durée : 10 minutes 19 secondes
Thèmes : enfance, mélancolie, âge, vieillesse, souvenirs
Titre original : Lili
Créé par TOM & HANI
Durée : 10 minutes 19 secondes
Réalisé par Rachel Tan en 2015 dans le cadre de son diplôme en design (Université R.M.I.T), « It’s fine » est un court-métrage d’animation qui soigne autant le fond que la forme. Chaque plan pourrait être un tableau tant le dessin est soigné et délicat. L’histoire, a priori assez simple, est celle d’une jeune femme en colère qui claque la porte de chez elle et part se réfugier dans un parc avec des jeux pour enfants.
« Quel est le rapport entre un smartphone perdant peu à peu son espace de stockage et la maladie d’Alzheimer ? La réponse, touchante, dans un spot animé de 4 minutes. »
https://vimeo.com/146226360
Quand on grandit on decouvre que les endroits et les objets qu’on connaissait avant sont beaucoup plus petits que dans notre souvenir. »
Voici « le retour », un magnifique court-métrage d’animation que Marcel Proust n’aurait pas renié.
Et vous, quels sont vos souvenirs les plus tendres ? Qu’est-ce qui les évoque dans votre quotidien
https://www.arte.tv/sites/concoursfiction/video/temps-cache-souvenirs/
https://www.arte.tv/sites/concoursfiction/video/temps-cache-souvenirs/
https://www.arte.tv/sites/concoursfiction/video/temps-cache-souvenirs/
Auto-évaluation
- Quel souvenir positif avez vous représenté/raconté?:……………………………………………………………………………………………………………………….
- Comment qualifieriez-vous ce souvenir?…………………………………….Comment montrez- vous qu’il exprime ce sentiment?:…………………………….
- A quel moment avez-vous décidé de « suspendre » la scène pour en faire une image narrative.:…………………………………………………………………….
- Qu’avez -vous utilisez dans votre image?(entourez) :mise en scène/), cadrage,échelle des plans (, point de vue,composition,l’ espace (profond/plat), la lumière (contrastes), le choix des couleur/position des corps/expression des visages/paroles/idéogrammes
5p=
(idéogrammes/expression du visage/ échelle des plans/cadrage/couleurs
- Quel souvenir négatif avez -vous raconté/représenté?…………………………………………………………………………………………………………………………..
- Comment qualifieriez-vous ce souvenir?Comment montrez vous que c’est un moment malheureux?………………………………..mise en scène/ sujet (thème), cadrage, point de vue,composition,l’ espace, la lumière, le choix des couleur/position des corps/expression des visages/paroles/idéogrammes
- A quel moment avez-vous décidé de « suspendre » la scène pour en faire une image narrative?…………………………………………………………………
Avez-vous mélanger pour chaque plusieurs souvenirs?O/N sont-il précis O/N
- Qu’est- ce qui vous a semblé difficile dans ce travail?………………………………………………………………………………………………………………………..5p=
- Partie 2) ciseaux+ feutres
Quel éléments/ événements a suscité le retour de chacun des souvenirs?:…………………………………………………………………………………………………………….5p=
- Mon travail forme un ensemble à partir des 4 travaux O/N 2P=
- Maîtrise des outils/technique appropriées pour dire/exprimer/représenter son intention. 2p=
- ————————_____________________________________________________________________________
H.D.A:Définition Larousse : se souvenir est verbe qui apparaît au XIIIème siècle, du latin subvenire « se présenter à l’esprit ». Garder la t…………. de quelqu’un, de quelque chose dans la m……………, se le rappeler.
Robert Doisneau- 1936 /Le bonheur d’un enfant après avoir reçu une paire de chaussures par la croix rouge Américaine/Rue des Peupliers (XIII ème arrondissement)
le photographe a fixé des moments de l’enfance dans les années trente.Est-ce de bon souvenir ou mauvais souvenir pour les adultes (alors enfants) qui 20 ans plus tard les regarderont?…………………………………….. Pourquoi? (quels souvenirs racontent-ils?)…………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
_________________
Dans ces peintures le peintre E. Munch raconte quel souvenir par rapport à sa jeune soeur? Est-il positif ou négatif? que raconte-il?Comment peut-on le comprendre le voir sur ces images?…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………..Comment évoque exprime t-il plastiquement cet événement?mise en scène/ sujet (thème), cadrage, point de vue,composition,l’ espace, la lumière, le choix des couleurs/position des corps/expression des visages/paroles/idéogrammes/
Munch, Edvard (1863-1944) – 1895c. Death in the Sickroom /Edvard Munch – Spring (1889)//Bergen Musée des Beaux-Arts Bergen kunstmuseum Edvard Munch : Au chevet de la mort/Melancholie. Melancholie à Edvard Munch.(La toile représenterait l’image de sa sœur cadette Sophie, assise sur son lit, à l’article de la mort. Elle s’est imprimée dans la mémoire du jeune garçon de quatorze ans qu’il est alors. Les longues recherches qu’il entreprend huit ans plus tard ne viseraient qu’à restituer, dans son intensité originelle, cette première impression gravée comme au fer rouge.)
Det syke barn [L’Enfant malade], 1896Huile sur toile, 121,5 x 118,5 cm,Göteborgs Konstmuseum, Göteborg, Suède=
« D’une reprise à l’autre, « […] il y a toujours une évolution et jamais la même – Je construis un tableau à partir d’un autre. Comme avec L’Enfant malade qui est dans notre galerie sur lequel j’ai travaillé une année – Combien de fois ne l’ai-je pas repeint et gratté – Je me suis finalement arrêté quand il n’était simplement plus possible d’y travailler – Je n’étais pas arrivé à rendre ce que je voulais – Mais j’en avais sauvé l’âme ! Longtemps l’image est restée plus puissante et plus éclatante de couleur – C’est pourquoi j’ai pu continuer à peindre cette image – mais alors sur différentes toiles […] Tous ces tableaux sont différents – Certains me reprochent d’en avoir peint des quantités – Mais je dis : quand je suis tellement habité par cette image – et – n’est-ce pas aussi valable que de peindre des centaines de pommes ou de violons sur une table ? » »le but c’est de se ressouvenir , tenter de fixer avec acharnement, je n’est de cesse cesse de vouloir « capter la première impression » de cet événement. « J’ai cherché à rendre une vision de la jeune fille malade comme perçue à travers un voile de larmes »
Munch reprend sans cesse les même tableau à différentes moment comme l’enfant malade jusqu’en 1932, ? pourquoi?……………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
« Je ne peins pas d’après nature – Je ne peins pas ce que je vois – mais ce que j’ai vu ». Que veut dire le peintre?…………………………………………………………………
« J’ai cherché à rendre une vision de la jeune fille malade comme perçue à travers un voile de larmes » Qu’entend -il par là?…………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Pourquoi est-ce difficile de capter la première impression ressentie d’un événement, surtout quand il est dramatique?………………………………………………………….
mise en scène/ sujet (thème), cadrage, point de vue,composition,l’ espace, la lumière, le choix des couleur/position des corps/expression des visages/paroles/idéogrammes
le choix des couleur: couleurs primaires/ secondaire/complémentaires=le rouge et le vert=passions humaines
le cri de munch/Erich Heckel/Marcella, 1910, Ernst Ludwig Kirchner, (Berlin, Brücke Museum)/ »Die Brücke »/autoportrait Van gogh/Doineau photo
La posture des corps/l’expression du visage/cadrage/qualité de la ligne/de la touche de pinceau/es idéogrammes/paroles/échelle des plans/composition et mise en scène des éléments (conflit dramatique roi Salomon)
Les incroyables peintures de Masri Hayssam/Egon shiele (autoportrait)/viel homme dans la tristesse van gogh/
)
‘Annie Besant et Charles Webster Leadbeater, membres de la Société Théosophique, publient en 1905, dans un ouvrage commun sur les Formes-Pensées, un atlas des couleurs établi en fonction des sentiments, des aspirations, des désirs ou des frustrations, où l’orangé est associé à la « jalousie ».32 Au-delà du symbole, ces couleurs sont censées correspondre aux degrés de développement spirituel qui transparaissent dans l’aura des êtres, pour qui parvient à les percevoir. Or, Munch théorise également sa pratique en ce sens, cherchant à capter des couleurs invisibles et, comme nous allons le voir dans le chapitre suivant, des ondes communiquant les intensités émotionnelles, les énergies psychiques qui émanent d’un lieu ou d’une personne. »
Auto-évaluation
1)Quelle première fois avez vous racontée:……………………………………………………………………………………….
………………………………………………………..1p= raconter une souvenir par le dessin O/N 4P=
Comment l’avez vous raconté? qu’avez vous représenté?……………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………..1P=
2) Mon souvenir semble vivant O/N 1P= Comment?………………………………………………………………
3)On voit mon étonnement O/N Comment?……………………………………………………………………….1p=
4)On voit que c’est émouvant O/N Quelles émotions sont représentées? Positive/négative?:………..
………………………………………………………………………………………………………….Comment?:………………….
…………………………………………………………………..2P
5) Représenter par le moyen des arts plastiques ses émotions 3P=
Qu’est- ce que vous avez utilisé comme moyen plastiques dans votre travail? entourez les réponses:
Mise en scène/ (thème),/cadrage,/point de vue/composition,l’ espace (plat/profond), vide/ plein, la lumière, le choix des couleurs /couleurs vives/pales/sombres (rabattues)/polychromie/monochromie//position des corps/expression des visages/ des paroles/ des idéogrammes/ 2p=
6) Quels éléments, impressions, événement, situation à pu créer la réminiscense (Souvenir imprécis, où domine la tonalité affective.) de cette premières fois?…………………………………………….
Comment l’avez vous représenté?……………………………………………………………………………….3p=
Maîtrise des technique/outils pour l’intention voulue 3P= ——————-20/
Comment ces trois illustrations représentent la maladie d’Alzheimer?…………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………
« La perte de mémoire est bien sûr au cœur d’Alzheimer. Mais au quotidien, les troubles du comportement peuvent être tout aussi difficiles à vivre?: la pathologie s’accompagne de changements dans la personnalité et les réactions du malade, qui peut devenir anxieux, apathique, voire agressif…« https://www.serengo.net/check-up/alzheimer-coup-de-pouce-medecines-douces/
Jean-Jacques Rousseau:les confessions: que raconte J.J Rousseau ?…………………………………………….
En quoi cet événement fut décisif pour la suite?:……………………………………………………………
« J’étudiais un jour seul ma leçon dans la chambre contiguë à la cuisine. La servante avait mis sécher à la plaque les peignes de mademoiselle Lambercier. Quand elle revint les prendre, il s’en trouva un dont tout un côté de dents était brisé. A qui s’en prendre de ce dégât ? personne autre que moi n’était entré dans la chambre. On m’interroge : je nie d’avoir touché le peigne. M. et mademoiselle Lambercier se réunissent, m’exhortent, me pressent, me menacent : je persiste avec opiniâtreté ; mais la conviction était trop forte, elle l’emporta sur toutes mes protestations, quoique ce fût la première fois qu’on m’eût trouvé tant d’audace à mentir. La chose fut prise au sérieux ; elle méritait de l’être. La méchanceté, le mensonge, l’obstination, parurent également dignes de punition ; mais pour le coup ce ne fut pas par mademoiselle Lambercier qu’elle me fut infligée. On écrivit à mon oncle Bernard : il vint. Mon pauvre cousin était chargé d’un autre délit non moins grave ; nous fûmes enveloppés dans la même exécution. Elle fut terrible. Quand, cherchant le remède dans le mal même, on eut voulu pour jamais amortir mes sens dépravés, on n’aurait pu mieux s’y prendre. Aussi me laissèrent-ils en repos pour longtemps. Il y a maintenant près de cinquante ans de cette aventure, et je n’ai pas peur d’être puni derechef pour le même fait ; hé bien ! je déclare à la face du ciel que j’en étais innocent, que je n’avais ni cassé ni touché le peigne, que je n’avais pas approché de la plaque, et que je n’y avais pas même songé. Qu’on ne me demande pas comment le dégât se fit, je l’ignore et ne le puis comprendre ; ce que je sais très certainement, c’est que j’en étais innocent. (…)Je n’avais pas encore assez de raison pour sentir combien les apparences me condamnaient, et pour me mettre à la place des autres. Je me tenais à la mienne, et tout ce que je sentais, c’était la rigueur d’un châtiment effroyable pour un crime que je n’avais pas commis. La douleur du corps, quoique vive, m’était peu sensible ; je ne sentais que l’indignation, la rage, le désespoir. Mon cousin, dans un cas à peu près semblable, et qu’on avait puni d’une faute involontaire comme d’un acte prémédité, se mettait en fureur à mon exemple, et se montait, pour ainsi dire, à mon unisson. Tous deux dans le même lit, nous nous embrassions avec des transports convulsifs, nous étouffions ; et quand nos jeunes cœurs un peu soulagés pouvaient exhaler leur colère, nous nous levions sur notre séant, et nous nous mettions tous deux à crier cent fois de toute notre force : Carnifex ! carnifex ! carnifex !(….)Je sens en écrivant ceci que mon pouls s’élève encore ; ces moments me seront toujours présents, quand je vivrais cent mille ans. Ce premier sentiment de la violence et de l’injustice est resté si profondément gravé dans mon âme, que toutes les idées qui s’y rapportent me rendent ma première émotion ; et ce sentiment, relatif à moi dans son origine, a pris une telle consistance en lui-même, et s’est tellement détaché de tout intérêt personnel, que mon cœur s’enflamme au spectacle ou au récit de toute action injuste, quel qu’en soit l’objet et en quelque lieu qu’elle se commette, comme si l’effet en retombait sur moi. »
Les Confessions – Jean-Jacques Rousseau – Episode du peigne cassé.
Le modèle du Peigne Cassé de Rousseau (épisode où Rousseau conte un moment de sa vie où il a fait face pour la première fois à l’injustice, ce qui sera à l’origine de son combat contre l’injustice)
Bord de Marne, Henri Cartier Bresson, photo,1938.(1936 )les tout premier congé payés des ouvriers
le photographe a fixé un moment sur la photo en 1938 une famille.Est-ce un bon souvenir pour eux?O/N Pourquoi………………………………………….Qu’est ce qui permet d’en garder la trace?:……………………………………..
le sculpteur japonais Yuichi Ikehata. crée des sculpture Intitulée « Fragment of Long Term Memory », c. On peut y voir un lien évident avec sa maladie d’Alzheimer, mais également avec la nature dégénérescente et fragmentaire de notre mémoire.La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative incurable du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. C’est la forme la plus fréquente de démence chez l’être humain. …
Que nous évoque cet artiste sur la mémoire et le temps?…………………………………………..le personnage connaissant la maladie d’Alzheimer que nous dit-il, et montre t-il les conséquences de cette maladie?:………………………………………………………………………….le travail évoque une expérience heureuse ou malheureuse?Comment le voit-on?………
Dans ces trois peinture Munch raconte quel souvenir par rapport à sa jeune soeur?…
…………………………………………………………
………………………………………………..Comment évoque exprime t-il plastiquement cet événement?mise en scène/dispositif d’énonciation: sujet (thème), cadrage, point de vue,composition,l’ espace, la lumière, le choix des couleur/position des corps/expression des visages/paroles/idéogrammes
Munch, Edvard (1863-1944) – 1895c. Death in the Sickroom .
Edvard Munch – Spring (1889)
Munch Det Syke Barn 1896
Bergen Musée des Beaux-Arts Bergen kunstmuseum Edvard Munch : Au chevet de la mort.
Melancholie. Melancholie à Edvard Munch
Edvard Munch – Jalousie907 · Mordersken [La Meurtrière], 1907Edvard Munch – Séparation
Le Centre Pompidou présente Edvard Munch, L’œil moderne, un ensemble inédit en France d’environ quatre …
Objectifs: Comment raconter avec des images.(narration)/Comment montrer qu’une image est l’expression d’un souvenir?Comment mettre en scène pour optimiser le caractère expressif d’une image?
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