Autoportrait aux objets
http://zillisart.over-blog.com/article-l-autoportrait-aux-objets-3eme-124790550.html
J’ai réalise un lieu qui me ressemble O/N Réalisation du travail /15p=
- Qu’est ce que j’ai représenté?……………………………………………. ……………………………………………….. 1p=
- Pourquoi le choix de ce lieu?Pourquoi il me ressemble? Que dit-il de moi:……………………………………………………….
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Titre : Visage de Mae West pouvant être utilisé comme appartement surréaliste/Artiste/Auteur : Salvador DALI/Date de création :1934-35/1974/Nature de la production : Collage / installation (avec l’aide de l’architecte Óscar Tusquets) Dimensions : 28,3 x 17,8 cmTechniques : collages, gouache, graphite sur page de magazine / mixte/Lieu d’exposition : Chicago, Art Institute pour le tableau
Espagne, musée de Figueras pour l’œuvre en 3 dimensions.
- En quoi ce lieu ressemble au personnage?…………………………………………………………………………………………………….1p=
- Quelle est la particularité de cet oeuvre d’art?……………………………………………………………………………………………….1p
- Qu’est-ce que ce type d’oeuvre pourrait nous dire sur le personnage qui a été représenté et celui qui la peint (S.Dali):…………………………….
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Mondrian
- Quel lieu pour un peintre pourrait lui ressembler?………………………………………………………………………..1p=
Y a t-il des similitudes entre les lieux de travail de ces deux peintres et leurs Oeuvres O/N Pourquoi:………………………………………………..
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Francis Bacon
En regardant leur atelier et leur travail , Quels informations pourrions nous avoir sur leur façon de penser? leur vision du monde?pourquoi ils peignent? et leur façon de travailler?:…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
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POUR LE PEINTRE C’EST SON ATELIER (lieu de travail)=dévoile sa façon de travailler=atelier comme autoportrait?
L’Atelier de Francis Bacon : 7, Reece Mews South Kensington .
« DORMIR DANS UN TABLEAU
« Toute coïncidence ou ressemblance avec des personnages ou des lieux ayant existés par le passé n’est ni fortuite ni involontaire… », ainsi commence la description de la chambre louée par Eryk sur AirBnB. Le lieu est identique à celui où a vécu Vincent Van Gogh et immortalisé dans la peinture La Chambre de Van Gogh à Arles: mêmes couleurs aux murs, même mobilier, mêmes objets de décoration.
LA PEINTURE DE VAN GOGH: LA CHAMBRE DE VAN GOGH À ARLES ET LA CHAMBRE D’ERYK. »
http://col21-champ-lumiere.ac-dijon.fr/IMG/pdf/hda_salvador_dali_visage_de_mae_west_pouvant_etre_utilise_comme_appartement_surrealiste.pdf
Yayoi Kusama, Transmigration, 2011Kusama in Yellow Tree room, Courtesy The Whitney Museum and Louis VuittonYayoi Kusama, Infinity Room, 2013Ressembler à l’artiste/influence
Artiste « au look et à l’esprit déjanté= des œuvres à la limite du psychédélisme, perturbant nos notions d’espace et de réalité… »
« #2 Yayoi Kusama, l’artiste femme la plus cotée du monde ».
#5 Yayoi Kusama vit dans un hôpital psychiatrique depuis 1977. » A partir de 1977, elle vit dans l’hôpital Seiwa et dispose d’un atelier en face de l’hôpital où elle travaille tous les jours avec ses assistants. » »#6 Elle dit faire de l’art «psychosomatique»
« #7 À travers ses œuvres, l’artiste exprime le concept d’«effacement de soi»=
#10 Elle déclare «Ma vie est un pois perdu parmi des milliers d’autres pois»« nous sommes plus que de misérables insectes dans un univers incroyablement vaste ».
réf.: Uhttps://blog.artsper.com/fr/la-minute-arty/10-choses-savoir-sur-yayoi-kusama/
« En 1974, Raynaud ouvre au public sa maison blockhaus (deux portes blindées et une seule fenêtre), entièrement tapissée intérieurement de carreaux de faïence blancs et sans cesse modifiée, pendant plus de vingt ans, le carrelage devenant par ailleurs, la même année, le thème d’une série d’œuvres (les « Espaces zéro »). »https://www.mastaba1.fr/jean-pierre-raynaud/
« J’ai voulu construire une maison, mais comme la maison de tout le monde, c’est-à-dire une maison pour habiter avec ma femme. (…) J’ai vécu quelques mois dans cette maison. C’était une expérience nouvelle pour moi, et là, j’ai compris que je ne pourrais jamais m’adapter à un lieu, entre guillemets normal. (…) J’ai senti qu’il fallait que je remette en question tout, une partie de mon existence en tout cas (…) J’ai commencé par divorcer, ça a été la première chose. Je me suis dit : « il faut déjà réapproprier le sens de mon corps, de ce que je suis. »
2/ Recherche de l’utopie d’un lieu idéal
Seul dans sa maison, Jean-Pierre Raynaud part à la recherche de l’esthétique d’un lieu idéal: comment peut-il se définir? Il y parvient avec l’architecture en recherchant la pureté d’un lieu. Il la met en œuvre grâce à la monochromie de surfaces recouvertes par un matériau unique et assez courant: le carreau de faïence blanc . Il devient alors omniprésent dans l’espace et recouvre chaque m² de son habitation. La maison prend dés lors la dimension d’une œuvre d’art avec la pureté qu’elle dégage, l’éclat blanc de la faïence redécoupé par les joints noirs qualifie l’espace.
» Au bout d’un certain temps, je me suis aperçu que ça ne suffisait plus, qu’il y avait une sorte d’engrenage pour récupérer un peu cet espace, mon espace à moi et j’ai fait appel à un matériau qui était déjà dans mon travail depuis les années 62-63 : le carrelage. Ce carrelage, blanc, basique, quinze sur quinze est quelque chose, je crois, qui fait vraiment partie de notre mémoire collective, on ne s’en rend pas compte, mais c’est un matériau que tout le monde connaît au XXe siècle, que tout le monde a rencontré ou rencontrera dans sa vie, simplement pour un séjour dans un hôpital. Et je vais même aller plus loin, sans vouloir être obsédant, mais je suis allé jusqu’à la morgue pour vérifier également qu’il était employé dans ces lieux, comme ça, qui ont besoin d’être nettoyés. Alors, ce matériau, au lieu de me faire peur, au lieu de me raconter des histoires, et tout ça, je me suis mis à l’aimer, à avoir une intimité avec lui, et la plus grande intimité que je pouvais réaliser, c’était de vivre avec. (…) Je deviens fou, dans le sens stimulant du terme, et là, je comprends que je vais vers une architecture absolue…que ma vie va rentrer dans une autre définition. «
3/ Isolement: Ermitage dans un coffre fort
L’artiste reçoit couramment des visiteurs dans sa maison, mais un jour, le 1er septembre 1988, il décide d’être le seul à en franchir le seuil, cela va durer 6 ans! Il est important pour lui que seul son regard se pose et puisse suivre le parcours de la lumière du ciel sur l’espace carrelé. Son fantasme de lieu idéal s’accompagne du désir de protection des agressions du monde extérieur. La maison devient un véritable Bunker: le langage architecturale qu’emploie l’artiste pour désigner les parties de sa maison est un vocabulaire défensif « meurtrière », « crypte », « mirador ». La maison transformée en blockhaus est peinte en kaki, recouverte de filet de camouflage et protégée par des barbelés et des projecteurs mobiles.
5/ Destruction
Enfin du 22 au 26 mars 1993 Jean Pierre Reynaud dirige les travaux de la démolition de sa maison, l’acte est d’une grande violence: il détruit à jamais le travail d’une vie, 24 ans, et la maison dans laquelle il a vécu reclus pendant tant d’années, dans laquelle il a été au bout de ses obsessions. Les gravas de la maison sont répartis dans 1000 containers en acier, ils prennent la valeur de 1000 sculptures indépendantes, ils seront réunis une dernière fois dans la grande nef du CAPC d’art contemporain avant leur dispersion finale.
« Quand j’ai pris conscience, en 1988, qu’elle était réellement terminée, cela a été un choc terrible, comme l’aboutissement d’une recherche, la fin d’une vie. Je n’ai pas voulu accepter que ma relation avec elle prenne fin, aussi, durant quatre ans, j’ai réfléchi sur le sens de cette » oeuvre » qui m’échouait comme si je devais en être le gardien jusqu’à ma mort. J’ai réalisé qu’étant unique elle méritait plus d’audace et d’égard que cette architecture parfaite, figée qu’elle était devenue – ce qui est le propre des objets d’art -, il me fallait lui faire subir un sort exceptionnel, digne d’elle. Je décidai de la métamorphoser, de l’emporter ailleurs, de lui faire vivre une expérience absolue. Pour cela, elle devait se soumettre à une ultime transformation : la démolition. «
La maison de Jean Pierre Raynaud: Construction Destruction 1969-1993, Michelle Porte Broché, Editions du Regard (6 octobre 2011), Paris
Esther ADEQUIN, Emilie BERTHELOT, Julien DENIS, Sarah VASSEUR
Raynaud, Comment l’architecture peut être générée par un acte de marginalité
« Et j’ai fermé la maison : je me suis enfermé dans ce lieu. »
Il s’agit là de vases à l’échelle humaine reprenant l’image mythique de l’homme fait d’argile et d’eau, puis animé par le souffle de la vie.
L’artiste engage ici, encore une fois, son corps dans la matière à laquelle il veut donner forme, en l’informant de son empreinte qui va de l’entre-jambe à la bouche. Le souffle est à la fois geste et objet de cette série de sculptures.Il utilise des copies de vases antiques. Sur des grandes amphores non encore cuites il se jette dessus avant moulage. Mythes de la genèse. La vie vient du souffre de l’haleine. En inscrivant son corps dans un bloc de terre. On a l’illusion que ces urnes sont nées du souffle.À l’embouchure du vase, il a laissé un indice de son geste, le moulage de ses lèvres entrouvertes dans l’action de souffler. La sculpture semble s’animer comme les plis d’une sculpture « baroque »…Entre le sujet et le monde il existe un rapport de réciprocité.Moulage de l’intérieur de sa bouche fixe sur l’amphore idée du souffle créateur. Idée de masculin féminin, l’empreinte masculine donne une empreinte féminine en négatif. »http://art.moderne.utl13.fr/2014/12/cours-du-12-decembre-2014/2/
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)
un phylactère qui me ressemble
Comment décrire une personnalité avec des images ?
Comment parler de soi, de ses goûts, de ses peurs ou d’une personne avec les formes, la couleur, l’espace, les images ou les mots….?
lg-menu.ac-aix-marseille.fr/spip/spip.php?article1105
une image pour l’Art
http://www.citronviolet.fr/category/archives-2017-2018/
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