Connaître ses tables de 6 à 9 sur le bout des doigts !

Bonjour !

Voici un petit cadeau déniché sur YouTube pour savoir multiplier un nombre compris entre 6 et 9 par 6, 7, 8, 9 voire 10 sans forcément connaître ses tables ! Avis à tous ceux qui connaissent des troubles dans leurs apprentissages, ou manquent de confiance en eux…

MAIS ATTENTION ! Savoir ses tables par cœur reste préférable à l’usage unique de cette astuce pour la plupart des gens : je rappelle que faire rapidement et mentalement un calcul vous permet de suivre avec beaucoup plus d’aisance une démonstration mathématique, une résolution de problème, les commentaires d’un artisan ou d’un vendeur, etc… Recalculer sans cesse les résultats des tables vous fait perdre du temps. Néanmoins, cette astuce pouvant vous rassurer sur un calcul ou vous aider si vous « saturez » sur l’apprentissage des tables, regardez ce lien :

  • L’usage de cette astuce suggère que vous sachiez vos tables de 0 à 5, puisqu’elle ne fonctionne pas si l’un des facteurs est inférieur ou égal à 5. Par exemple, si vous calculez les produits :
    • 5×7, il faut savoir la table de 5   (NB : 5×7 = 35)
    • 3 = 3×8, il faut savoir la table de 3   (NB : 8×3 = 3×8 = 24)
    • etc…
  • Vous pouvez aussi multiplier un nombre entre 6 et 9 par 10 avec cette astuce (mais franchement, ça ne sert à rien quand on sait qu’il suffit d’ajouter un zéro à la droite du nombre ! 7×10 = 70).
    • La main correspondant au facteur 10 : vous avez alors 5 doigts levés,
    • et aucun doigt plié, ce qui revient à multiplier par zéro les doigts pliés de l’autre main.

Astuces ! DIVISION : méthode des « boîtes » et méthode Montessori

Bonjour, voici une nouvelle vidéo (en anglais, mais ça ne peut pas faire de mal ! Je vous rassure : l’image suffit à elle-même pour comprendre) pour découvrir une manière originale de diviser un nombre par un autre (mêmes décimaux) ! il s’agit de la « méthode des boîtes ». N’oubliez pas les méthodes classiques, mais cela peut vous aider à mieux comprendre la division.

Avantage principal : les élèves ayant du mal avec les tables de multiplication peuvent s’en sortir par des calculs plus faciles (multiplications par 10, 100, 1000… dans de nombreux cas). il n’y a pas qu’une seule manière d’arriver au bon résultat.

Inconvénient : elle peut être un peu plus longue que la méthode classique.

Rappel : pour diviser des nombres décimaux, je vous rappelle qu’on peut ignorer dans un premier temps les virgules. On n’en tient compte qu’à la fin des calculs… (Cf. votre cours, votre professeur ou un bon copain !)

Pour revenir un peu aux sources (élémentaire, élèves en difficulté…), voici en bonus la présentation de la méthode Montessori pour diviser. Petite précision, les unités (vert), dizaines (bleu), centaines (rouge) sont comptabilisées grâce à des billes de même couleur contenues dans chaque fois 10 éprouvettes contenant chacune 10 billes.

Trigonométrie : encore quelques astuces…

Je viens de découvrir quelques astuces accessibles librement sur un site pro d’aide en mathématiques et sciences physiques. Je ne sais pas ce qu’il vaut, mais les astuces sont originales et complètent ce que j’ai mis dans mes fiches.

Une petite recommandation tout de même : trop d’astuces parasitent parfois la compréhension. Si cela peut vous aider, tant mieux. Mais si vous pouvez comprendre la fiche et la retenir sans regarder vos doigts, vous gagnerez en rapidité et vous encombrerez moins votre mémoire. A chacun de faire sa « soupe » !

Connaître les tables de trigonométrie sans effort

Piaire Carré

La multiplication japonaise

Méthode très intéressante !

Ce n’est pas forcément une méthode rapide et pratique pour qui se débrouille en calcul, mais c’est un outil didactique merveilleux pour égayer l’apprentissage et offrir de belles issues aux élèves en difficulté (notamment ceux qui ne savent pas encore leurs tables de multiplication) !!

Un lien ci-dessous vous montre presque tout en détail (et en anglais…) !

Les premiers traits tracés représentent autant de centaines, puis de dizaines, puis d’unités que le multiplicateur. Puis dans l’autre sens, on fait la même chose avec le multiplicande.

Exemple : 21 x 23 = ?

21 –> 2 traits pour les dizaines, puis 1 trait pour l’unité.
23 –> 2 traits pour les dizaines, puis 3 traits pour les unités.
Ensuite, on s’intéresse aux intersections de traits (marqués par les points rouges) : les traits étant en biais, on peut définir 3 zones d’intersection verticalement (dans le cas : 21 x 23), ou 5 zones verticales (dans le cas : 123 x 321), etc…

En comptant ces intersections, on obtient dans l’ordre (de gauche à droite) les chiffres du produit cherché ! (tadaaam !)

PS : Seul le cas où le chiffre zéro apparaît n’y figure pas. En ce cas, il faut tracer un trait (d’une autre couleur par exemple) dont les intersections ne compteront pas.

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