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Communiquer dans les nuages ?

Le métier de formateur évolue et ses moyens de communication aussi …

Communiquer dans les nuages … avec ses collègues :

Travailler en équipe avec des outils numériques permet des modalités nouvelles : partager via le cloud, fichier Docs, Slides… pour produire, échanger, collaborer à distance, en travail synchrone ou asynchrone. Rapide et efficace !

Communiquer dans les nuages … avec ses apprenants:

Ces outils offrent de nouvelles opportunités pédagogiques. Introduire le digital dans sa conception renforce le travail collaboratif, fluidifie la communication et permet des contributions asynchrones.

Un complément à la formation en présentiel :

Je constate une réelle implication de mes étudiants, apprentis ingénieurs, davantage acteurs des projets. Cela donne lieu à des interactions dynamiques. Utiliser des outils bureautiques et dossiers partagés en ligne, où ils écrivent à plusieurs, commentent, modifient leurs travaux en temps réel ou différé s’avère efficient.
Former à l’ère du numérique nécessite d’utiliser les outils adaptés pour travailler en mode collaboratif. De fait, communiquer dans les nuages diversifie et accroît ses pratiques où chacun a contribué pour enrichir le travail commun.

Un regard réflexif sur les méthodes d’apprentissage :

Le digital permet des modalités d’apprentissage à distance mais aussi de faire évoluer ses pratiques de formation, en présentiel, en mobilisant des outils participatifs.

Audrey Cisterne

Utiliser des ressources en toute légalité réalité ou chimère ?

Former à l’ère du numérique suppose d’utiliser les technologies de l’information et de la communication mais impose aussi de s’interroger sur la dimension légale des contenus que l’on consulte mais surtout dont on se sert. De fait, exploiter des ressources digitales dans ses pratiques pédagogiques (photos, vidéos, illustrations, musiques…) est pour un formateur plus compliqué que le laisserait penser l’abondance de documents apparemment disponibles sur internet. Un clic, on enregistre, on réutilise ! Pourtant tout n’est pas utilisable librement et en toute circonstance.

En effet, la plupart des photographies ou illustrations proposées par les banques d’images sont payantes. Aussi la solution alternative consiste à utiliser celles sous licences Créative Commons qui simplifient l’utilisation des œuvres diffusées sur internet, et permettent un partage de ressources en toute légalité protégeant ainsi les droits d’auteur.
Pour informer, sélectionner, réutiliser, innover, partager, collaborer, faciliter … les licences Créative Commons s’appliquent à n’importe quel type d’œuvre, qu’il s’agisse de textes, de vidéos, de photographies… Il existe 6 types de licences qui associent 4 différents types de propositions : la paternité d’une création artistique, les œuvres dérivées, l’utilisation à but commercial et le partage des conditions originales à l’identique. Selon sa volonté de diffusion, l’auteur opte pour la licence qui lui convient le mieux. Ces licences sont utilisées par des sites comme Flickr dédiés à l’hébergement gratuit de photos ou vidéos.
Concrètement, ces licences permettent d’exercer les droits d’auteur tout en autorisant certaines utilisations des ressources sur internet.
Il est aussi très simple de filtrer les résultats de google image pour affiner la recherche en fonction de la licence associée. Par exemple, lors d’une recherche de photographie sur Google Image, cliquer sur « Outils », permet de faire apparaître un menu « Droits d’usage ».
En tant que formatrice, pour illustrer mes supports pédagogiques, je suis amenée à utiliser des ressources provenant d’internet, des images et photographies notamment, mais aussi des vidéos. Je pensais, sans m’être réellement posé la question de ce que je pouvais légalement en faire, que ce qui se trouvait sur le web était par essence libre de tout usage et préservait la propriété intellectuelle. Je me figurais, assez naïvement, que les droits d’auteur étaient alors respectés. Désormais je ne peux plus dire « je ne sais pas».
En définitive, réutiliser des œuvres issues d’internet dans ses pratiques pédagogiques suppose de s’interroger sur les droits d’auteur. Si le web offre pléthore de ressources dans quelle mesure sont-elles réutilisables et de quelle manière ?

Audrey Cisterne

Identité numérique du formateur

Nom de domaine : outil du formateur ?

Un nom de domaine pour communiquer.
Déposer un nom de domaine permet non seulement de créer son identité en ligne et d’offrir une meilleure visibilité mais aussi la certitude de le posséder et d’en interdire l’utilisation par d’autres personnes.

Un nom de domaine pour partager des outils pédagogiques.
Les nouvelles technologies de l’information et de la communication se sont considérablement développées, notamment les blogs et les réseaux sociaux qui proposent pléthore de contenus. De fait, il existe, face à cette surabondance, un enjeu stratégique dans la création d’un nom de domaine, afin d’être plus visible et accessible sur internet et d’ajouter crédibilité et professionnalisme, gage de confiance pour les visiteurs du site. C’est pourquoi le choix du nom est primordial, plus il aura de sens, plus les moteurs de recherche positionneront l’association ou l’organisation efficacement sur le web.

Pour ma part, si je devais posséder une identité numérique ce serait dans l’objectif de créer et de partager des outils pédagogiques accessibles aux apprenants et aux formateurs.

Audrey Cisterne

En complément de l’enquête de terrain

 

La politique Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement au CFAI est liée à la Politique UIMM dont la volonté est d’individualiser les formations en utilisant des moyens numériques.

 

Réaliser l’enquête de terrain m’a permis de me rendre compte du potentiel numérique de notre centre, essentiel pour mettre en place la démarche Approche Emploi Compétences. L’objectif est de permettre aux apprenants de développer les capacités pour devenir des professionnels responsables, autonomes et surtout connectés de l’Industrie 4.0. Cette orientation est nécessaire pour former à l’ère du numérique, notamment la génération Z, née avec les outils numériques, ultra-connectée, qualifiée de « slasher », elle accède à la connaissance via youtube, des tutos, divers MOOC…

 

L’évolution technologique et la diversité des profils d’apprentissage amènent à envisager qu’il faut adapter et s’adapter pour mieux apprendre. Cette évolution contribue aux transformations des dispositifs d’apprentissage. L’enquête de terrain a révélé que nous disposons de nombreux outils pour individualiser les parcours et ainsi développer nos pratiques pédagogiques. Nous sommes, en outre, formés à l’usage du numérique sur notre plateforme e-learning EASI et à la certification C2I2E, et serons très prochainement équipés d’un Espace Numérique de Travail. Utiliser davantage les supports numériques permettra de soutenir notre approche afin d’obtenir une plus-value pédagogique. L’ENT pourra faciliter le travail collaboratif comme, par exemple, la création d’un blog de section d’apprentis.

 

En définitive, les nouvelles générations apprennent différemment c’est pourquoi le numérique permet de répondre aux nouveaux besoins en proposant des solutions d’apprentissage et d’accompagnement adaptées pour favoriser l’appréhension des contenus.

Audrey Cisterne

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