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Communiquer dans les « nuages »
Formateur communicant
Aujourd’hui, la communication que le développement du numérique nous autorise, est très aisée et rapide.
A une époque, qui parait lointaine pour nos apprenants, je devais attendre de rencontrer mes professeurs ou formateurs pour avoir une réponse à une interrogation. Grâce aux divers moyens de communication et de partage, les apprenants actuels peuvent prétendre à recevoir « instantanément » l’information dont ils ont besoin.
Il en est de même dans le quotidien du formateur. A l’aide du CLOUD, véritable « nuage numérique », la communication entre nous est aisée. Nos emplois du temps respectifs ne nous permettent pas de toujours nous rencontrer. Nous avons la possibilité d’échanger, à distance et de manière asynchrone, sur des sujets concernant notre quotidien professionnel.
Le métier de formateur évolue grâce aux évolutions des outils numériques. La formation ne se déroule plus simplement en présentiel aujourd’hui. Nous devons trouver un savant équilibre entre le cours magistral, l’autoformation tout en tenant compte de l’individualisation dont nos apprenants ont besoin.
Hervé MATHEY
Les ressources en toute légalité
L’utilisation d’outil numérique dans la sphère professionnelle doit se faire dans le respect de la loi et plus particulièrement l’article L335-2 du code de la propriété intellectuelle.
« Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin, de peinture ou de toute autre production, imprimée ou gravée en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon et toute contrefaçon est un délit.
La contrefaçon en France d’ouvrages publiés en France ou à l’étranger est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende.
Seront punis des mêmes peines le débit, l’exportation, l’importation, le transbordement ou la détention aux fins précitées des ouvrages contrefaisants.
Lorsque les délits prévus par le présent article ont été commis en bande organisée, les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 750 000 euros d’amende »
Source : https://www.legifrance.gouv.fr/
Cette législation nous impose d’être des plus vigilent vis-à-vis des ressources utilisées dans notre quotidien de formation. Ci-dessous quelques exemples :
- Les Technologies de l’Information et de la Communication nous amènent à utiliser internet sans rappeler les méthodes et conditions de réutilisation de supports.
- Il est aisé de « franchir » la ligne entre consultation et copie sur internet, le copyright étant parfois peu visible ou complètement absent de documents, d’images, de vidéos…
- Nos consultations, privé et professionnelle, d’internet fait que nous utilisons les mêmes moteurs de recherche, les mêmes sites dans les deux situations.
- Lors de l’utilisation de ressources « trouvées » sur internet (blog, site, etc…) nous n’avons pas la garantie qu’elles sont exemptes de Copyright.
A ce jour, lors de mes nombreuses navigations et recherches dans la gigantesque toile que me propose internet, je n’ai pas forcément été vigilant sur le droit d’utilisation des ressources. Pourquoi ? Simplement par ignorance et ce malgré cet adage d’origine latine (Nemo censetur ignorare legem : personne ne peut invoquer l’ignorance qu’il a de la loi pour échapper à son application).
Co-écriture :
Mohamed MAHI / Hervé MATHEY
Nom de domaine
Pourquoi un nom de domaine ?
Déposer un nom de domaine permet de protéger ma « Web identité ». Cela permettra aussi de retrouver plus facilement mes publications est apportera une protection quant à leur utilisation.
Espace de partage
Les nouvelles technologies permettent aujourd’hui de partager et de diffuser des informations en temps réel. Une interactivité quasi immédiate avec nos apprenants qui compose la « génération connectée » et pour lesquels la réponse dans « l’instant » est très importante.
Identité numérique
Elle permet de se « protéger » des traces sur internet. En utilisant un nom de domaine, voir un « PSEUDO », nous avons la possibilité de faire une séparation entre nos identités réelle et virtuelle ce qui pour moi, permettra aux visiteurs du site de se faire une « image » d’après des publications plus que d’après un « physique ».
Hervé MATHEY
Nom de domaine
Pourquoi un nom de domaine ?
Déposer un nom de domaine permet de protéger ma « Web identité ». Cela permettra aussi de retrouver plus facilement mes publications est apportera une protection quant à leur utilisation.
Espace de partage
Les nouvelles technologies permettent aujourd’hui de partager et de diffuser des informations en temps réel. Une interactivité quasi immédiate avec nos apprenants qui compose la « génération connectée » et pour lesquels la réponse dans « l’instant » est très importante.
Identité numérique
Elle permet de se « protéger » des traces sur internet. En utilisant un nom de domaine, voir un « PSEUDO », nous avons la possibilité de faire une séparation entre nos identités réelle et virtuelle ce qui pour moi, permettra aux visiteurs du site de se faire une « image » d’après des publications plus que d’après un « physique ».
Hervé MATHEY
Réflexion suite à l’enquête de terrain
En complément de l’enquête de terrain, La politique Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement au CFAI permet aussi de répondre à la révolution numérique des entreprises.
Notre statut de Pôle de Formation de l’UIMM fait de nous des acteurs incontournables pour l’avenir des entreprises 4.0.
Cette 4° révolution industrielle (voir ci-dessous), qui mise sur des technologies telles que la cobotique, la réalité augmentée, l’impression 3D, l’intelligence artificielle et donc, à la numérisation de l’industrie, nous oriente naturellement à l’utilisation de ces outils indispensables dans l’informatisation des processus de fabrication industriel.
Les usines intelligentes sont une caractéristique importante de l’industrie 4.0. Elles sont capables de gérer la complexité, sont moins sujettes aux perturbations et sont capables de fabriquer des biens plus efficacement. Dans les usines intelligentes, les êtres humains, les machines et les ressources communiquent entre eux aussi naturellement que dans un réseau social.
Nous devons donc répondre aux attentes et besoins de nos partenaires industriels en déployant des moyens et méthodes qui nous fassent devenir des « Centres de Formation 4.0 ».
Nous devons ainsi adapter nos méthodes à un public qui est « né » avec le numérique et qui a une méthodologie différente de la nôtre en termes d’apprentissage.
L’avenir leur appartient, à nous de les préparer au mieux.
Hervé Mathey