Le business de la mort en ligne

Après l’iPhone, l’iPad ou encore l’iPod, voici l’i-Postmortem!

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agit pas d’un nouveau joujou du géant Apple, mais du nom d’une nouvelle start-up. Sa mission, offrir à ceux qui le désir, la possibilité d’établir leur propre tombe dans un cimetière virtuel. Pour cela, deux services d’immortalité sont proposés: l’i-tomb et l’i-mémorial.

La cyber -immortalité à néanmoins un coût. Ainsi, si vous souhaitez vivre éternellement sur la toile, il vous faudra débourser jusqu’à 120 dollars par an!

Si le concept peu choquer, la start-up, i-Postmortem n’est pourtant pas la seule à exploiter le filon funéraire. La question de l’e-reputation concerne aussi bien les vivants que les morts. Selon Jacques Mechelany, directeur de la start-up, les avantages d’un cyber-cimetière sont multiples: possibilité d’honorer les morts qu’importe la distance, gain de place grâce à l’absence du corps, pas d’entretien de la sépulture…

L’i-Postmortem apparaît donc comme un substitut numérique de la pierre philosophale…

Si certains sont prêts à tout pour survivre sur la toile après leur mort, ce n’est pas le cas de tout le monde. En effet, suite au décès d’un de leur proche, certaines familles aimeraient pouvoir leur garantir l’oubli numérique -suppression de leur compte Facebook ou Twitter-. Malheureusement pour ces familles, cela n’est pas toujours possible. Sans l’accord des sites en question ou en l’absence de possession des codes et identifiants du ou de la défunte, il est impossible de procéder à toute suppression de compte.

Pour en savoir plus : http://www.lesinrocks.com/2011/10/11/medias/internet/jusquou-ira-le-business-de-la-mort-en-ligne-118731/

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Twitter : gadget électoral ou outil de démocratie numérique ?

 

Quel est la nature du lien unissant Barack Obama, François Hollande et David Cameron?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas la fonction exercée par ces hommes qui est au cœur de l’article que je souhaite vous présenter. Ce qui nous intéresse ici, c’est avant tout l’investissement des réseaux sociaux par les hommes et femmes politiques. En effet, qu’ils soient présidents, ministres ou députés, un nombre croissant d’hommes et de femmes politiques possèdent aujourd’hui un compte Facebook ou Twitter.

Se montrer proche des jeunes générations, réactif, moderne, tels sont les souhaits des hommes politiques qui ont fait le choix de créer des comptes sur les réseaux sociaux. Cependant, le tableau n’est pas tout blanc. Beaucoup d’entre eux, craignent ces réseaux, qui peuvent dorer leur blason ou à l’inverse, ternir leur image! Les mécanismes de ces réseaux leur échappent encore quelque peu, et l’argument de proximité reste de l’ordre de l’imaginaire. Les comptes créés sont souvent laissés aux bons soins des assistants, et la communication directe entre hommes politiques et citoyens lambda n’arrive qu’a de très rares occasions…

Cet article, publié par le journal Le Monde, cette question épineuse, qui est celle de la présence des réseaux sociaux comme gadgets électoraux…

 

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/03/01/twitter-gadget-electoral-ou-outil-de-democratie-numerique_1650057_3232.html
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Protéger sa réputation sur Internet intéresse aussi les particuliers

Maîtrisons notre web réputation…

Qui ne sait jamais inquiété de sa réputation? Protéger notre réputation est un enjeu de taille, aussi bien dans la vie réelle que sur la toile. Cet article publié par le journal Le Monde en août 2012, à pour sujet la maîtrise l’e-reputation. Depuis plusieurs années, en effet, les entreprises tentent de protéger leur e-réputation en supprimant, par l’intermédiaire de sociétés spécialisées, leurs traces sur la toile. Cette volonté dépasse aujourd’hui la sphère des entreprises. Les particuliers, eux aussi sont soucieux de l’image qu’ils dégagent, et sont prêts à payer cher pour « sauver » leur réputation. Cela se fait au profit d’agences de nettoyages spécialisées, ou de compagnies d’assurances, telle que la compagnie AXA, qui s’occupent de procéder au « grand nettoyage ». Les enjeux commerciaux sont élevés pour les compagnies d’assurance et les agences de nettoyages, qui n’hésitent pas à promettre monts et merveilles à des particuliers en détresse.

Bonne lecture et libre à vous de donner un prix à votre réputation…

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