Folles pensées d’un dictateur en poésie par Faëlle, 3eA

Un homme, oui je suis un homme qui se remémore son anniversaire, un anniversaire où seul le vent sonnait, pas une mouche pas un bruit.

Et oui, je me tenais debout et me donnais confiance.

Oui, je suis seul.

On me voit comme une bête, une bête futée, maline qui tient très bien sa ligne de vie en étant seul.

Je me disais, je suis très très fort comme la purge qui purge chaque avis des personnes sur moi,

Je suis puissant,

Je pourrais vaincre un lion qui montre ses crocs ou bien je pourrais être un rhinocéros qui est comme moi très féroce.

J’aimerais avoir la joie et la célébration d’un torrent de foule, la foule qui m’acclame.

Des danseurs, des joueurs, des jongleurs, en chantant des chants tellement charmants.

Des larmes qui m’émeuvent de joie, qui ruissellent en joie sur mes joues.

C’est là que je trouve mon égal !!!

Qui m’incite à m’égarer, à vouloir m’enfuir.

Fuir ?

Oui, fuir…

Mais en même temps, je voudrais devenir quelqu’un aux yeux de tous.

A présent, ma vie est tranquille et il m’appartient de la façonner selon mon bon vouloir.

Vouloir, oui, à ma façon.

Aucune limite à ce que je peux accomplir,

Aller jusqu’au bout de mes limites voilà ce que je veux accomplir.

Tout se passe comme je veux, on me voit comme je veux.

 

Faëlle, 3eA

novembre 11, 2018

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