Folles pensées d’un dictateur en poésie par Riyane, 3eA

Ha ! ha ! Encore un…

Ils parcourent les rues de bon matin

Les militaires ne servent tellement à rien

Qu’on dirait des larbins.

Moi, à mon époque,

Des personnes, j’en provoquais.

Faire de mon corps une coque

Ça n’empêchait pas les balles de pare choc.

La dictature me manque tellement

Qu’ils soient petits ou grands

Les missiles faisaient du boucan

Moi, dictateur, j’en étais le grand

Les mitraillés et les fusillés

Le bon vieux temps est passé

Je n’avais qu’une seul envie

C’était de tous les tuer.

 

Riyane, 3eA

novembre 11, 2018

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