Folles pensées d’un dictateur en poésie par Riyane, 3eA
Ha ! ha ! Encore un…
Ils parcourent les rues de bon matin
Les militaires ne servent tellement à rien
Qu’on dirait des larbins.
Moi, à mon époque,
Des personnes, j’en provoquais.
Faire de mon corps une coque
Ça n’empêchait pas les balles de pare choc.
La dictature me manque tellement
Qu’ils soient petits ou grands
Les missiles faisaient du boucan
Moi, dictateur, j’en étais le grand
Les mitraillés et les fusillés
Le bon vieux temps est passé
Je n’avais qu’une seul envie
C’était de tous les tuer.
Riyane, 3eA
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