Menaces sur les abeilles

Disparition des abeilles : le tueur est démasqué 

Un peu partout, la disparition des abeilles est source d’inquiétude. Au Québec, les apiculteurs appellent les pouvoirs publics à l’aide et le dessinateur Côté, à sa façon, se joint à cet appel.

On demande qu’il y ait une réduction rapide et très importante de l’utilisation des pesticides parce que du poison, ça reste du poison”, explique Raphaël Vacher, cité par le quotidien Le Devoir. Témoignant fin septembre devant la commission parlementaire sur les pesticides du Québec, le premier vice-président du syndicat “Apiculteurs et apicultrices du Québec” a raconté qu’en moyenne les apiculteurs perdent chaque année un quart de leurs ruches qui, chacune, peut abriter entre 20 000 et 80 000 abeilles.

 

 

“Selon les Apiculteurs du Québec, environ le tiers des pertes de ruches seraient directement attribuables aux insecticides”, rapporte pour sa part La Presse. Et c’est pourquoi le syndicat demande que tous les pesticides soient soumis à une “prescription agronomique” pour en réduire l’usage. “C’est ce qui est arrivé avec l’atrazine, un puissant herbicide utilisé dans la culture du maïs, dont les ventes ont diminué de 40 % depuis qu’il est contrôlé”, constate Le Devoir.

La plus grosse contrainte c’est bien les pesticides.

https://www.courrierinternational.com/dessin/le-dessin-du-jour-disparition-des-abeilles-le-tueur-est-demasque

 

lien du site fiable (bien sûr ) où les informations ont été trouvées.

Antonin

Les vols de ruches

Je sais que ce n’est pas la solution: pourquoi des apiculteurs piquent les ruches de leurs voisins

 

Déjà menacés par l’effondrement des colonies d’abeilles, les apiculteurs français sont désormais confrontés à des vols de plus en plus conséquents, commis par d’autres apiculteurs.

témoignage complet d’un apiculteur:

Quand on arrive et qu’il manque 50 ruches, ça se voit tout de suite.Pascal Thiryà franceinfo

« Je me suis trouvé bête », se souvient l’imposant quinquagénaire, perché sur une chaise haute, dans son laboratoire. « Cinquante ruches, c’est cinquante reines et à la louche un million d’abeilles à ce moment de l’année », détaille-t-il. Pascal Thiry produit peu de miel, « juste pour tester les essaims » et pour la petite boutique où son épouse accueille les clients. Il est surtout éleveur de reines et d’essaims, qu’il vend à d’autres apiculteurs, ou dont il propose les services de pollinisation pour les vergers, acacias, châtaigners et lavandes de la région. Il estime le dommage causé par le vol à 10 000 euros. « C’était à la fin de l’hiver, on avait commencé à soigner les essaims, qui étaient prêts pour démarrer la saison », raconte l’apiculteur.

Pascal Thiry, apiculteur à Montélimar, dans l\'un de ses ruchers, le 5 juin 2018.
Pascal Thiry, apiculteur à Montélimar, dans l’un de ses ruchers, le 5 juin 2018. (CAMILLE CALDINI / FRANCEINFO)

« Le vol, c’est avec la mortalité, due aux pesticides notamment, l’autre fléau de l’apiculture », selon Francis Gruzelle, président du syndicat local L’Abeille ardéchoise. Il n’existe aucune statistique officielle, mais les vols seraient « de plus en plus fréquents »« Et plus importants », selon Frank Aletru, président du Syndicat national de l’apiculture (SNA).

source:  https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/je-sais-que-ce-n-est-pas-la-solution-pourquoi-des-apiculteurs-piquent-les-ruches-de-leurs-voisins_2788471.html

France info.

Antonin K

 

Comments are closed.